lundi 25 février 2013

Une soucoupe volante s’est posée à Chabeuil en 1954



Le 26 septembre 1954 à 14h30, la petite ville de Chabeuil (dans le département de la Drôme, en France) fut le théâtre d’une véritable rencontre du troisième type. Ce jour-là, en effet, une habitante se retrouva, malgré elle, nez-à-nez, avec un être d’une origine vraisemblablement extraterrestre. A l’époque, les journaux locaux se sont intéressés à cette troublante affaire. Selon les enquêtes menées sur le terrain, il y aurait eu des preuves physiques et tangibles du passage de cet étrange OVNI.

La « victime » de cette rencontre hors du commun s’appelle Lucienne Lebœuf

Témoignage
Dimanche après-midi, je me trouvais dans le chemin, je ramassais des mures dans la haie. Soudain, mon chien se mit à aboyer. Je me retournais et vis l'animal, le poil hérissé, à l'arrêt devant ce qui me semblait être un épouvantail.

Je me dirigeais vers le chien pour l'empêcher d'aboyer. C'est alors que "l'épouvantail" s'avance vers moi. C'était un petit être; il ne mesurait guère plus d'un mètre. J'avais l'impression que c'était un gosse enfermé dans un sac en cellophane. Ce qui m'a frappé, c'est sa figure très humaine...

"Mais la frayeur s'est emparée de moi. J'ai hurlé et je me suis empressée de me jeter dans la haie. Je ne sais combien de temps j'y suis restée. De là, je voyais le maïs, mais il n'y avait plus personne.

"Puis un engin circulaire de trois mètres de diamètre environ, épais de 50 centimètres, a décollé de derrière le maïs.

"L'engin s'est envolé d'abord en biais, il n'allait pas vite, il faisait le bruit d'une toupie qui ronfle et on entendait aussi un sifflement. L'engin est passé ensuite de la position horizontale à la position verticale. Il est alors monté tout droit à une vitesse vertigineuse.

"Des passants sont passés m'ont vu dans la haie, se sont inquiétés de ma pâleur. Remise un peu de ma frayeur, je leur ai raconté ce que j'avais vu et je les ai conduit à l'endroit d'où j'avais vu décoller la soucoupe volante.

"Comme vous pouvez le constater, il y a sur le sol une "empreinte circulaire" bien visible."

Des preuves …
L’empreinte qu’elle évoque dans son témoignage a bien été retrouvée par les enquêteurs. Cette dernière mesurait environ 3 mètres de diamètre. A cet endroit, les buissons et les mûriers avaient été mystérieusement écrasés. Sur le bord de l’empreinte circulaire, une branche d’un des acacias, d’une épaisseur de plus de 6 centimètres fut littéralement cassé tandis qu’une autre pendait à 2 mètres 30 au-dessus du cercle totalement dépouillée de ses feuilles comme si elles avaient reçu un choc vers du ciel ! Un peu plus loin, plusieurs mètres de blé étaient aplatis « en forme de rayons de roue ».

Bref, l’aspect général des traces au sol indiqueraient donc qu’un objet circulaire se serait bien posé ce jour-là à Chabeuil.

D’autres habitants ont également constaté des phénomènes surnaturels. Certains ont entendu les aboiements sinistres du chien, alors que d’autres ont perçu un sifflement « bien différent de celui d'un avion à réaction ». Un troisième groupe a même affirmé avoir observé la fameuse soucoupe volante. L’ensemble de ces évènements se sont déroulés à des heures qui concordent parfaitement au témoignage de la femme.

Plus troublant encore : la créature extraterrestre aurait fait d’autres apparitions dans cette même région. En effet, dix jours plus tôt, elle fut observée par un agriculteur et le 10 septembre c’est Marius Dewilde qui décrira, aux médias, un alien aux caractéristiques analogues.

Quand à Lucienne Leboeuf, suite à cette observation, elle passa 24 heures au lit avec une fièvre de 39 degrés.

Conclusion
Cette histoire comporte suffisamment de preuves, de témoignages pour paraitre parfaitement crédible. Pourtant les sceptiques ne manqueront pas de noter que tout se tient si bien que l’on pourrait penser à un coup monté orchestrer d’une main de maître par des villageois imaginatifs. Toutefois, l’expérience nous a prouvé que, souvent, les canulars ufologiques sont très rapidement démasqués à cause de leur manque critique de cohérence …

Sources
Journal « Le Provençal » du 26 septembre 1954 
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