samedi 30 juin 2012

Un véritable corps extraterrestre retrouvé en Amérique




Lorsque la science et l’ufologie se rencontrent, cela donne souvent des résultats étonnants ! C’est une découverte archéologique qui pourrait bien remettre en cause notre vision de l’histoire. Récemment, en effet, un scientifique américain a trouvé, en Amérique du Sud, un squelette d’un nouveau-né aux caractéristiques plus qu’intrigantes …

L’homme derrière cette incroyable histoire s’appelle Brian Foerster. Cet éminent scientifique est directeur adjoint du Musée d’Histoire de Paracas, près de la capitale Lima, au Pérou. Pendant des années, il a longuement étudié les cultures ancestrales ainsi que l’histoire. Petit-à-petit, il a tourné son attention vers l’étude d’objets, de technologies, de restes humains qui comportent des aspects mystérieux et paranormaux.

Ce qui constitue sa plus grande découverte est probablement celle du corps d’un nouveau-né, presque intact, ne comportant que 11 côtes. En plus de cela, il possède un cou démesurément épaissis, une colonne vertébrale anormale, et un crâne allongé.

Les crânes allongés sont, on le sait, plutôt répandus dans l’Antiquité. Partout dans le monde, on en a retrouvé : Malte, Pérou, Sibérie, Egypte, Liban … . Toutefois, ce rite n’était jamais pratiqué sur les bébés.

Ces données ont fait penser à Brian Foerster que l’enfant ferait parti, en réalité, d’une race extraterrestre venu jadis sur Terre. Pour lui, il ne s’agit que de la seule explication possible. Le cas est si sérieux qu’il a attiré l’attention de chercheurs renommés.

Ces derniers souhaitent pratiquer des tests d’ADN pour pouvoir conclure définitivement quant à l’origine de ce corps. Les résultats de cette étude devraient nous parvenir au courant de cette année 2012.

Depuis des dizaines d’années des ufologues de renommée mondiale s’acharnent à prouver notre origine extraterrestre ou bien que des visiteurs ont donné un coup de pouce à notre civilisation. On pense naturellement aux théories de Zecharia Sitchin, d’Erich Von Daniken, ou encore celles de Jean Sendy.

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