La Ministre de
l'Intérieur britannique Theresa May a annoncé, ce lundi 16 septembre 2012, que
Gary McKinnon, qui a été accusé de piratage du réseau informatique du
Pentagone, ne sera définitivement pas extradé vers les Etats-Unis.
Gary McKinnon,
un écossais né à Glasgow en 1966, s’est fait connaitre dans le monde entier
après avoir piraté pas moins de 97 ordinateurs appartenant à la NASA et à l’US
Army entre 2001 et 2002. Mais le plus intéressant, c’est qu’il aurait trouvé
des preuves irréfutables, comme nous le rappelle Scott C. Waring, de l’existence
des OVNI et des extraterrestres … .
De ses
recherches illégales, il affirme avoir déniché la preuve que les Etats-Unis
étaient parvenus à récupérer une technologie alien anti-gravitée.
Que l’on ne
croit à ses trouvailles exceptionnels ou pas, on ne peut pas nier qu’il soit
parvenu à pénétrer dans des systèmes informatiques parmi les plus sécurisés du
monde. Donc songer qu’il est réussi à récupérer des informations cachées au
peuple et hautement confidentielles n’est pas farfelu.
En tout cas,
on ne peut que se réjouir que son départ pour l’Amérique a, une nouvelle fois, avorté.
La raison est que le « hacker-ufologue » a de graves problèmes de
santé et que si son extradition était effective, il risquerait de mettre fin à
ses jours.
McKinnon, 46
ans, souffre effectivement du syndrome d'Asperger et s'il est reconnu coupable
aux États-Unis, il encourt jusqu'à 60 ans de prison … .
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