Un géant « fragment d’OVNI » s’est écrasé du ciel près d'un village isolé en Sibérie le 18 mars 2012, ont rapporté les médias russes.
L'objet se présente sous forme de U. Il ressemble à un dôme argenté, et est actuellement en cours d'inspection par des experts russes, après avoir été secrètement enlevé la nuit de la possession des villageois qui l'ont trouvé.
Après avoir découvert l'appareil le dimanche, les habitants du village de Otradnesnky avaient réussi à faire glisser le « fragment OVNI » de la forêt épaisse où il était tombée. Ils l’ont fixé à une remorque et l’ont ramené à travers la neige dans leur village, où des inspecteurs de police locaux ont pu l’examiner avant d'alerter les autorités de Moscou.
Dans une déclaration officielle, Sergey Bobrov, le découvreur de l'objet, avait décidé de le conserver en lieu sûr.
On ne connait toujours pas l’origine de ce mystérieux objet pour le moment. Toutefois, une chose est sûre : l'objet ne provient pas d'une fusée ni d’un missile. Les autorités ont également affirmé qu’il ne pouvait être associé à aucune technologie spatiale terrestre.
« L'objet trouvé n'est pas liée à la technologie spatiale. Une conclusion définitive ne peut être faite qu’après une étude détaillée de l'objet par des experts », a déclaré Roskosmos, de l'agence spatiale russe.
Les experts ont également examiné l'objet afin de déterminer si celui-ci pouvait poser un danger.
« Nous avons mesuré le niveau de radiation proche ou à l'intérieur de l'objet. Nous n'avons trouvé aucune trace de radiation ici », a déclaré Yuri Bornyakov, qui dirige le département des services de secours du district de Kuybyshevsky dans la région de Novossibirsk.
La partie de ce fragment est constitué de titane ultrasolide, a déclaré Valery Vasiliev, le chef du Département de Kuybyshevsky pour la défense civile et les situations d'urgence.
Les spéculations qui objectaient que le fragment provenait d'une fusée raté lancée par le Kazakhstan ou le lancement d'un satellite ont également été rejetées.
« Vous pouvez voir à l'intérieur, que tout est ouvert, il est vide, pas de danger ici. On nous a demandé de le prendre et de le stocker. Nous l'avons amené ici. Et maintenant, nous allons attendre jusqu'à ce qu'ils viennent le reprendre, s’ils en ont besoin », a déclaré le porte-parole de la police locale, Sergueï Sulein.
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