La ville de
Braila, située dans le Sud-Est de la Roumanie, est célèbre pour ses monuments
architecturaux d’une beauté incomparable. Et, dans ce coin tranquille de
Transylvanie, un fantôme a été photographié
à l’intérieur d’une bâtisse datant du 19ème siècle …
Au moment de l’apparition,
Manuela Chirosca travaillait en tant
qu’agent de sécurité dans un vieux bâtiment situé au numéro 29 de la rue d’Ana
Aslan. Elle faisait des contrôles de routine dans la maison quand, le 19
juillet 2012, elle a observé une forme inhabituelle vers 7 heures du matin
:
« Il était environ sept heures et je faisais ma
ronde matinale dans la maison. J'ai eu le sentiment que je n’étais pas seule.
»
Elle poursuit :
« Je me suis rendu à la fenêtre d'une des pièces,
qui était probablement une chambre ou quelque chose comme ça. Je me suis approché
de la fenêtre, donc, et j'ai vu une grande forme féminine qui semblait auréolée
d'un voile blanc. Ma première réaction a été de m’enfuir et de courir aussi
vite que je le pouvais ! »
Malgré sa
peur, elle voulait à tout prix comprendre à qui elle avait à faire. Elle a
alors pris une longue et profonde inspiration, elle s’est calmée puis est
retournée dans la pièce :
« La peur m'a fait me sentir mal, mais j’ai
pensé que rien ne pouvait m'arriver à moi et que je ne pouvais pas manquer l'occasion
de prendre des photos. »
Elle a alors
pris son téléphone portable et a photographié une forme humanoïde, certes floue
mais réellement paranormale :
« J'ai dû prendre plusieurs photos parce que
la forme se déplaçait d'un endroit à un autre. »
L'agent de
sécurité pratique assidûment le yoga depuis plus de 14 ans, et est donc
familiarisée avec la parapsychologie et le spiritisme. De plus, elle affirme
avec vécu d’autres expériences paranormales précédemment, « mais jamais
avec une telle intensité », précise-t-elle.
La bâtisse
servait, avant la Grande Guerre, de marché boursier. Les gens y vendaient et
achetaient des produits agricoles, principalement le grain. Après la Seconde
Guerre Mondiale, le gouvernement communiste la réquisitionna. Les communistes y
torturèrent et assassinèrent des opposants politiques dans son sous-sol.
Ce qui est
intéressant dans cette histoire, c’est qu’une maison, située à une dizaine de
mètres de celle-ci, est aussi réputée être hantée. Elle est située au numéro 27
de cette même rue. L’histoire de cette maison est aussi morbide. Le propriétaire
était un homme d’affaire grec qui avait fait fortune dans le grain. Nicholachi
Mavrocordulas était âgé d’environ 60 ans lorsqu’il rencontra et tomba follement
amoureux de Voica, une jeune femme, fille d’un paysan local. Il l’épousa et l’emmena
à Braila où il fit construire une maison bourgeoise dans la rue d’Ana Aslan.
Quelques années
plus tard, il vivait toujours ensemble. Mais un jour, alors qu’il revenait de
la chasse, il découvrit sa femme dans les bras d’un autre homme. Voica était
allongée nue sur une peau d’ours près de la cheminée. Nicholachi n’hésita pas
et tira de son fusil. Plus tard, la maison fut vendue. Seulement, personne ne
voulait y restée plus de trois mois.
Deux maisons
presque voisines, et toutes deux hantées par des revenants, est un phénomène plutôt rare, voire unique
dans l’histoire du Paranormal. Quoi qu’il en soit, le cliché semble bien
authentique et nous montre probablement quelque chose provenant d’outre-tombe …
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