Le 4 janvier 1960, à 14h10, Albert Camus trouva la mort sur un platane du kilomètre 88,4 de la Nationale 5, entre Pont-sur-Yonne et Paris. Pour l’instant, tout ressemblerait à un banal accident, pourtant quelques heures plus tard le conducteur du fourgon mortuaire de Villeblevin (toujours dans l’Yonne) se tuera sur le même platane ! Etrange … Mais cette maléfique coïncidence ne s’arrête pas là ! En effet, les deux hommes étaient des habitants de Lourmarin dans le Vaucluse. Combien de chances y avait-il que ces deux évènements dans de telles conditions surgissent ? Pratiquement aucune.
Dans cette ville de Lourmarin, il existe un château où vivaient jusque dans les années 1920 des Gitans. Malheureusement, ils furent chassés. Pour se venger, ils auraient jetés un sort à tous celles et ceux qui décideraient de restaurer ce bâtiment. Entre 1925 et 1960, parmi les habitués du château pas moins de 12 personnes périrent. Albert Camus fut la treizième victime.
Source : Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, publié en 1963. ISBN 2-7242-0585-5.
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