
Une interview ancienne de Richard Banduric, aujourd’hui PDG de Field Propulsion Technologies et ancien ingénieur en propulsion pour la NASA et Lockheed Martin, refait surface et alimente de nouveau l’intérêt pour les allégations de technologies d’origine non terrestre. L’entretien, d’abord passé inaperçu, suscite désormais l’attention de certains cercles scientifiques et du grand public à la faveur d’un regain de spéculations autour des objets volants non identifiés (OVNI) et de programmes secrets gouvernementaux. Banduric affirme que le gouvernement américain, en collaboration
avec des groupes privés de recherche, aurait mené des opérations
clandestines visant à étudier et à rétroconcevoir des matériaux
avancés, supposément récupérés sur des engins d’origine inconnue.
Selon lui, certaines de ces technologies seraient si avancées
qu’elles dépasseraient de plusieurs siècles notre compréhension
actuelle de la physique. Parmi les éléments les plus marquants de ses déclarations figure
l’évocation d’un "éclat métallique" capable, selon ses dires, de se
reconfigurer et de se camoufler dans son environnement. Ce
comportement l’aurait convaincu de l’origine extraterrestre de
l’objet. Banduric va plus loin, affirmant que des
"trillions de dispositifs extraterrestres
invisibles" seraient disséminés à travers le monde,
agissant comme des vecteurs de surveillance ou de manipulation de
l’espèce humaine. Il soutient également que ces dispositifs seraient conçus pour
s’autodétruire en cas de tentative d’analyse, et qu’aucune
technologie terrestre ne permettrait de les reproduire ou d’en
comprendre le fonctionnement. Néanmoins, aucune preuve tangible n’a été
présentée pour étayer ses propos. L’ancien ingénieur n’a
fourni ni documentation, ni échantillon, ni témoin corroborant ses
affirmations. La communauté scientifique reste donc extrêmement
prudente, voire sceptique. Alors que certains y voient un appel à reconsidérer la nature de
certains phénomènes inexpliqués, d'autres dénoncent une tentative
de réactiver les récits ufologiques les plus spéculatifs. La
multiplication des révélations de ce type, sans fondement
vérifiable, contribue à brouiller la frontière entre science,
fiction et désinformation. En attendant, la question demeure : s’il existe réellement des
trillions de dispositifs invisibles autour de nous… où sont-ils, et
pourquoi rester si discrets ?
Grok, CC0, https://x

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