L’image de la sorcière chevauchant son balai appartient depuis longtemps à l’imaginaire hollywoodien. Pourtant, une habitante de France affirme avoir été témoin d’une version bien réelle de ce cliché. Depuis la fenêtre de son appartement, elle a enregistré une vidéo montrant ce qu’elle décrit comme une « silhouette humanoïde étrange » flottant dans le ciel.
Contrairement aux représentations classiques, où la sorcière
file à vive allure à travers les nuages, la figure observée
semblait immobile. Ce détail a nourri diverses interprétations.
Certains spectateurs en ligne y ont vu la preuve de pouvoirs
surnaturels. D’autres, plus sceptiques, ont avancé des explications
plus terre à terre : illusion d’optique, drone, trucage numérique
ou simple canular.
À ce jour, aucune réaction n’a été communiquée par les autorités
locales, les responsables gouvernementaux ou l’armée. L’événement
n’a pas donné lieu à de nouveaux témoignages ni à d’autres
signalements similaires.
Reste l’image insolite d’un ciel traversé par une silhouette
énigmatique. Si la maison volante du Magicien d’Oz avait fait son
apparition, la discussion sur l’identité du phénomène aurait sans
doute été plus aisée à trancher.
Lors d’un récent podcast, la représentante de Floride Anna Paulina Luna, présidente de la House Task Force on the Declassification of Federal Secrets, a partagé plusieurs expériences et enquêtes concernant des phénomènes aériens non identifiés (UAP).
Parmi les incidents rapportés, elle cite celui de la base
aérienne d’Eglin, où de nombreux pilotes auraient observé des UAP.
Un autre cas aurait eu lieu à la base spatiale de Vandenberg, où
plusieurs personnes, dont un pilote, auraient vu un objet en forme
de cube rouge, de la taille d’un terrain de football.
Luna a également relaté sa propre expérience alors qu’elle
servait à la Portland Air National Guard Base. Selon elle,
un “incursion dans l’espace aérien” s’y serait produite. En
essayant de l’enquêter, elle aurait été confrontée aux réticences
des pilotes, qui lui auraient dit : « nous ne pouvons pas vraiment
en parler », de peur d’être « retirés du statut de vol ».
La représentante a aussi affirmé avoir observé des preuves de
technologies supposément créées par des « êtres interdimensionnels
», capables de se déplacer « hors du temps et de l’espace ». Elle a
ajouté que certains textes bibliques auraient été retirés car ils
abordaient indirectement ces phénomènes.
Indépendamment des opinions politiques qu’elle suscite, ses
propos attirent l’attention sur la question du disclosure,
alors que les phénomènes aériens non identifiés continuent de
captiver un large public et de susciter des interrogations dans les
milieux militaires et civils.
Le 5 août 2022, l’actrice américaine Anne Heche est impliquée dans
un grave accident de voiture à Los Angeles. Les images diffusées en
direct, montrant l’état du véhicule et les secours mobilisés, ont
rapidement fait le tour du monde et suscité une vive émotion.
Quelques jours plus tard, l’annonce de son décès vient mettre
fin à l’attente et déclenche une vague d’hommages de la part de ses
proches, de ses collègues et de nombreux admirateurs.
Cependant, dès les premières heures qui suivent l’accident,
Internet s’empare de l’affaire. Sur les réseaux sociaux et dans
certains médias alternatifs, de nombreuses interrogations
apparaissent : pourquoi certaines images semblent-elles montrer des
incohérences ? Pourquoi des rumeurs évoquent-elles des pressions ou
des silences imposés ?
Ces spéculations laissent place à une multitude de théories,
parfois contradictoires, allant de l’accident tragique à
l’hypothèse d’un complot destiné à faire taire l’actrice. À ce
jour, aucune preuve tangible ne vient confirmer ces versions
alternatives, et l’accident reste officiellement considéré comme la
cause de sa disparition.
Entre faits établis et questionnements persistants, l’histoire
de la mort d’Anne Heche continue d’alimenter les débats en ligne,
révélant à quel point la frontière entre information, émotion et
spéculation est parfois mince.
Le Bigfoot Field Researchers Organization (BFRO) a rapporté un témoignage inhabituel en provenance du comté de Macon, en Géorgie. Un couple affirme avoir aperçu une créature de grande taille alors qu’il circulait de Sapphire Valley vers Highlands.
Selon leur récit, la voiture qui les précédait s’est arrêtée
brusquement, révélant la raison de cette manœuvre : « un grand être
noir aux longs bras et à la fourrure sombre », apparu soudainement
sur la route. L’animal aurait ensuite franchi sans difficulté la
rambarde de sécurité, avant de disparaître. Le conducteur du
premier véhicule aurait redémarré aussitôt, empêchant tout échange
de témoignages.
Un enquêteur de la BFRO a souligné que la zone où se rencontrent
la Caroline du Nord, la Caroline du Sud et la
Géorgie est connue pour concentrer de nombreux
signalements de ce type. Après avoir recueilli le récit des
témoins, il les a jugés crédibles et a conclu que la créature
observée « ne pouvait être qu’un sasquatch ».
À noter enfin, selon ses propres termes, que cette région
demeure un véritable « sweet spot for sasquatch sightings
» – une formule marquée par une allitération qui pourrait
bien devenir la citation de la semaine.
Le chercheur américain Jesse Michels, connu pour son podcast consacré aux phénomènes inexpliqués, a récemment affirmé s’être rendu au Pérou afin d’examiner de près les fameuses « momies à trois doigts » découvertes près de Nazca. Ces dépouilles, présentées par certains comme des preuves d’une présence extraterrestre, continuent d’alimenter la controverse.
Michels se montre prudent : il dit n’avoir constaté aucun
élément prouvant une origine extraterrestre. Toutefois, il avance
une hypothèse alternative. Selon lui, les momies pourraient
représenter « une espèce souterraine jusqu’ici inconnue ». Cette
idée s’appuie sur l’analyse d’un expert en bio-informatique qui a
étudié l’ADN, accessible publiquement, de certains spécimens. Les
résultats mettent en évidence une mutation génétique associée à
l’ectrodactylie, une malformation congénitale qui entraîne des
déformations des doigts ou des orteils.
Un exemple souvent cité est celui d’une communauté du nord du
Zimbabwe, où un grand nombre d’habitants naissent avec ce que l’on
appelle le « syndrome du pied d’autruche » : leurs pieds ne
possèdent que deux orteils principaux, formant une structure en
V.
Pour approfondir cette piste, Jesse Michels collabore avec
Colossal Biosciences, société de biotechnologie
qui s’est fait connaître par ses projets visant à ressusciter des
espèces disparues telles que le tigre de Tasmanie, le mammouth
laineux ou encore le dodo. L’entreprise prévoit une étude génétique
plus poussée sur de nouveaux échantillons des momies de Nazca.
Les sceptiques, eux, rappellent que plusieurs analyses
antérieures ont conclu que ces « créatures » ne seraient que des
assemblages de restes humains et animaux, façonnés comme des
effigies. Mais si Colossal confirmait un patrimoine génétique
original — voire entreprenait de redonner vie à ces êtres
énigmatiques — le débat autour des momies à trois doigts pourrait
prendre une dimension inédite, digne d’un véritable « Jurassic Park
».
Un objet interstellaire baptisé 3I/ATLAS fait déjà couler beaucoup d’encre, alors qu’il n’atteindra son point le plus proche de la Terre qu’en novembre 2025. Officiellement classé comme une comète interstellaire, 3I/ATLAS est le troisième objet d’origine extrasolaire jamais détecté dans notre système solaire, après 1I/ʻOumuamua en 2017 et 2I/Borisov en 2019.
Mais cette fois encore, comme pour ʻOumuamua, certains
scientifiques n’excluent pas une origine non
naturelle. Dans un article non évalué par les
pairs, le célèbre astrophysicien Avi Loeb
(Université Harvard), en collaboration avec deux autres chercheurs,
avance l’hypothèse que 3I/ATLAS pourrait être une
technologie extraterrestre déguisée, voire «
potentiellement hostile ». Leur raisonnement
repose notamment sur la trajectoire inhabituelle
de l’objet.
Face à ces spéculations, de nombreux experts appellent à
la prudence. Parmi eux, l’astronome Samantha
Lawler, spécialiste de la dynamique du système solaire à
l’Université de Regina (Canada), rejette catégoriquement
l’hypothèse extraterrestre. « Toutes les données disponibles
indiquent qu’il s’agit d’une comète ordinaire,
éjectée d’un autre système stellaire, comme il en existe
probablement des milliards dans l’univers »,
affirme-t-elle.
Avi Loeb ne s’arrête pas là. Dans un autre document
préliminaire, il appuie une proposition selon laquelle la
sonde Juno, actuellement en orbite autour de
Jupiter, pourrait être redirigée pour intercepter
3I/ATLAS. Le plan suggère d'appliquer une poussée
de 2,675 km/s à la sonde le 14 septembre
2025, ce qui lui permettrait de croiser la trajectoire de
l’objet.
L’idée serait alors d’utiliser l’arsenal scientifique embarqué
sur Juno – spectromètre infrarouge, magnétomètre, radiomètre
micro-ondes, caméras et capteurs multiples – pour analyser
de près la nature de 3I/ATLAS.
Mais une telle mission serait complexe, risquée et coûteuse.
Pour l’instant, la NASA n’a annoncé aucune
intention d’agir en ce sens. D’un côté, l’agence se doit
d’être rigoureuse dans l’allocation de ses ressources. De l’autre,
certains s’interrogent : si une opportunité unique se présente
d’étudier un objet interstellaire de près, ne vaudrait-il
pas la peine de la saisir ?
Le mystère 3I/ATLAS reste entier. Et la question en suspens
aussi : faut-il y aller, ou laisser passer cet étrange
visiteur venu d’ailleurs ?
Légende - Photo Nrco0e, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=171411512
Une inscription antique découverte sur un flanc rocheux du site de Serabit el-Khadim, dans la péninsule du Sinaï en Égypte, alimente depuis peu un débat passionné parmi les archéologues bibliques. Gravée dans un alphabet proto-sinaïtique vieux de près de 3 800 ans, cette inscription a été étudiée en détail par le chercheur indépendant Michael Bar-Ron, qui affirme qu’elle pourrait représenter une preuve directe de l’existence du personnage biblique de Moïse.
Selon Bar-Ron, le texte se lit « zot miMoshe »,
ce qui se traduit en hébreu par « Ceci vient de Moïse
». Il soutient que cette lecture, qu’il a développée après
huit années d’analyse à partir d’images haute résolution et de
relevés 3D, apporterait un lien direct entre l’inscription et la
figure centrale de l’Exode. Ce serait, selon lui, la première trace
archéologique tangible associée au Moïse biblique.
Le site où l'inscription a été retrouvée, connu sous le nom de
Mine L près du rocher Sinai 357, est une ancienne
mine de turquoise remontant à l’époque du pharaon Amenemhat III,
souverain du Moyen Empire égyptien. Certains chercheurs identifient
ce pharaon comme le possible protagoniste égyptien de l’Exode,
celui qui aurait poursuivi les Hébreux fuyant l’esclavage. D’autres
inscriptions découvertes sur le site évoquent d’ailleurs des
surveillants, des esclaves, une répression violente et des
travailleurs en fuite, éléments qui alimentent l’hypothèse
d’un contexte similaire à celui relaté dans la Bible.
Cependant, la lecture proposée par Bar-Ron est loin de faire
l’unanimité. Le Dr Thomas Schneider, égyptologue à
l’Université de Colombie-Britannique, se montre particulièrement
critique. Selon lui, les identifications de lettres dans le
proto-sinaïtique — le plus ancien alphabet connu à ce jour — sont
extrêmement délicates et sujettes à
interprétation. Il met en garde contre des lectures «
arbitraires » qui risqueraient de dénaturer l’histoire
ancienne et de projeter des récits contemporains sur des
traces du passé encore mal comprises.
Le débat met en lumière les tensions récurrentes entre recherche
scientifique et interprétations à caractère religieux ou
idéologique. Si certains y voient un indice fascinant ouvrant de
nouvelles perspectives, d’autres insistent sur la nécessité de
prudence, de méthode et de rigueur dans l’étude des langues et des
civilisations anciennes.
En attendant une confirmation ou une réfutation plus étayée,
l’inscription de Serabit el-Khadim continuera sans doute
d’alimenter les discussions sur les traces possibles de Moïse dans
les archives archéologiques de l’humanité.
Une interview ancienne de Richard Banduric, aujourd’hui PDG de Field Propulsion Technologies et ancien ingénieur en propulsion pour la NASA et Lockheed Martin, refait surface et alimente de nouveau l’intérêt pour les allégations de technologies d’origine non terrestre. L’entretien, d’abord passé inaperçu, suscite désormais l’attention de certains cercles scientifiques et du grand public à la faveur d’un regain de spéculations autour des objets volants non identifiés (OVNI) et de programmes secrets gouvernementaux.
Banduric affirme que le gouvernement américain, en collaboration
avec des groupes privés de recherche, aurait mené des opérations
clandestines visant à étudier et à rétroconcevoir des matériaux
avancés, supposément récupérés sur des engins d’origine inconnue.
Selon lui, certaines de ces technologies seraient si avancées
qu’elles dépasseraient de plusieurs siècles notre compréhension
actuelle de la physique.
Parmi les éléments les plus marquants de ses déclarations figure
l’évocation d’un "éclat métallique" capable, selon ses dires, de se
reconfigurer et de se camoufler dans son environnement. Ce
comportement l’aurait convaincu de l’origine extraterrestre de
l’objet. Banduric va plus loin, affirmant que des
"trillions de dispositifs extraterrestres
invisibles" seraient disséminés à travers le monde,
agissant comme des vecteurs de surveillance ou de manipulation de
l’espèce humaine.
Il soutient également que ces dispositifs seraient conçus pour
s’autodétruire en cas de tentative d’analyse, et qu’aucune
technologie terrestre ne permettrait de les reproduire ou d’en
comprendre le fonctionnement.
Néanmoins, aucune preuve tangible n’a été
présentée pour étayer ses propos. L’ancien ingénieur n’a
fourni ni documentation, ni échantillon, ni témoin corroborant ses
affirmations. La communauté scientifique reste donc extrêmement
prudente, voire sceptique.
Alors que certains y voient un appel à reconsidérer la nature de
certains phénomènes inexpliqués, d'autres dénoncent une tentative
de réactiver les récits ufologiques les plus spéculatifs. La
multiplication des révélations de ce type, sans fondement
vérifiable, contribue à brouiller la frontière entre science,
fiction et désinformation.
En attendant, la question demeure : s’il existe réellement des
trillions de dispositifs invisibles autour de nous… où sont-ils, et
pourquoi rester si discrets ?
Vous êtes magnétiseur ? Voyant ? Vous organisez un événement autour de la spiritualité ? Vous possédez un site web lié au paranormal ? Vous pouvez en faire votre publicité gratuitement via notre site de petites annonces.