La révélation a de quoi intriguer les historiens, faire frémir les amateurs de phénomènes inexpliqués, et relancer les débats sur les technologies secrètes de l’après-guerre froide. Harald Malmgren, ancien conseiller influent de quatre présidents américains – John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson, Richard Nixon et Gerald Ford – emportait avec lui un lourd secret. Désormais disparu, c’est sa fille, l’économiste réputée Dr. Pippa Malmgren, qui s’est enfin sentie libre de partager un épisode que son père lui avait confié : une étrange rencontre entre une arme expérimentale américaine et ce qu’il appelait une « orbe blanche », lors de l’un des moments les plus tendus de la Guerre froide.
Un test de missile au cœur de la crise des missiles de Cuba
Nous sommes le 25 octobre 1962. Le monde est suspendu à un fil : les États-Unis et l’Union soviétique sont au bord de l’affrontement nucléaire à cause des missiles soviétiques déployés à Cuba. C’est dans ce contexte explosif qu’un missile américain est lancé, selon Malmgren, dans le cadre d’un test classifié.
Ce missile ne serait pas ordinaire : « Il était équipé d’un dispositif que mon père appelait une sorte de machine à rayons X dans la tête du missile », confie Dr. Malmgren. Une technologie expérimentale destinée à neutraliser les ogives ennemies en utilisant de puissants rayonnements. Mais ce n’est pas un missile ennemi qu’elle aurait désactivé ce jour-là.
« Ce que mon père a vu, c’est une orbe blanche, qui s’est mise à tournoyer autour du missile après son lancement. La radiation du dispositif a semblé l’endommager. Elle est tombée dans l’océan et a été récupérée par la Navy. »
Les "tagalongs" : des visiteurs silencieux ?
Selon le témoignage de Harald Malmgren, ces orbes n’étaient pas une nouveauté. Il les appelait des tagalongs – littéralement, des « suiveurs » ou « passagers clandestins » – et affirmait qu’ils avaient été observés, abattus et récupérés à plusieurs reprises. Il suggérait également qu’il ne s’agissait pas de simples drones soviétiques ou d’appareils espions conventionnels.
« Mon père détenait les plus hauts niveaux d’habilitation de sécurité », explique sa fille. « Il avait été informellement briefé par Richard Bissell de la CIA, l’homme derrière le programme U-2, le Skunk Works, et les projets d’Area 51. Ce qu’il a entendu là-bas, c’était... ce qu’ils appelaient des technologies d’origine non humaine. »
Une révélation à la croisée des mondes
Jusqu’à sa mort, Harald Malmgren n’avait jamais osé rendre ces informations publiques. Trop risqué, trop sensible. Il ne les avait transmises qu’en privé, à sa fille, une économiste ayant conseillé la Maison Blanche et plusieurs gouvernements.
Pourquoi parler aujourd’hui ? « Je pense que le moment est venu », dit Dr. Malmgren. « Les discussions autour des UAPs (phénomènes aériens non identifiés) ont franchi un cap. Le Congrès enquête, les agences reconnaissent leur ignorance. Mon père voulait que cette part de vérité ne soit pas perdue. »
Une pièce de plus dans un puzzle mondial
Le récit de Harald Malmgren, s’il est véridique, s’ajoute à une liste de témoignages émanant de militaires, de pilotes et d’anciens responsables ayant fait état d’objets volants aux capacités hors norme, souvent surveillant des installations nucléaires. Le Pentagone lui-même, depuis 2020, a ouvert plusieurs enquêtes sur ces incidents.
Reste que cette affaire, comme tant d’autres, demeure enveloppée de mystère, sans documents officiels, sans vidéos, sans preuve tangible. Et pourtant, elle émane d’un homme qui fut au cœur de l’État profond américain, et qui n’avait aucun intérêt à alimenter des fantasmes.
En filigrane, une question vertigineuse demeure : et si, depuis les premiers jours de la course nucléaire, quelqu’un d’autre surveillait l’humanité ?
Grok, CC0, https://x.com/
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