La vidéo retrace la vie de Thérèse Neumann, une
mystique allemande du XXe siècle, célèbre pour avoir vécu
35 ans sans manger ni boire, un phénomène appelé
inédie. Ce cas, longtemps étudié par des médecins,
demeure inexpliqué par la science. En plus de son jeûne extrême,
Thérèse aurait présenté des stigmates – des
marques correspondant aux blessures du Christ – ainsi que des
transes mystiques durant lesquelles elle revivait la Passion. Ces
manifestations surnaturelles ont été observées à plusieurs
reprises, renforçant, selon certains croyants, la véracité de la
foi chrétienne. Thérèse Neumann reste une figure fascinante à la
frontière entre foi, mysticisme et énigme médicale.
Dans cette vidéo captivante, Sylartichot
revient sur l'une des affaires les plus énigmatiques de l'ufologie
française : l'observation d'un OVNI à Cussac, un
petit village du Cantal, en 1967. Deux enfants affirment alors
avoir vu un étrange objet volant et de curieuses entités humanoïdes
noires, avant que l'engin ne s’envole à toute vitesse sous leurs
yeux.
Le récit, pris au sérieux à l'époque par les autorités, a été
consigné dans un rapport officiel de la gendarmerie. Depuis,
l’affaire de Cussac intrigue autant qu’elle divise : certains y
voient une rencontre du troisième type, d'autres une expérience
militaire ou une hallucination d’enfants.
Avec rigueur et neutralité, Sylartichot explore les différentes
hypothèses, les éléments du dossier, et les zones d’ombre qui
persistent plus de 50 ans après les faits. Témoignages, archives,
reconstitutions : tout est réuni pour raviver la flamme de ce
mystère non élucidé. Militaires, phénomènes naturels ou autre chose
encore ? Le doute demeure, et Cussac reste une énigme.
Un objet volant non identifié métallique a été
photographié à proximité de la ville de Lentswelemoriti, dans l'Est
du Botswana. La photo est visible sur Google Maps. De quoi s'agit-il
? Difficile à dire ...
Dans la paisible ville de Toormina, située en Nouvelle-Galles du Sud, un habitant affirme avoir été témoin d’un phénomène aérien aussi furtif qu’inexplicable. Le témoignage, relayé par le National UFO Reporting Center (NUFORC), fait état de l’observation d’un objet triangulaire non identifié, aux allures silencieuses et aux lumières tamisées, survolant la ville à basse altitude dans les premières heures du 31 mars 2025.
Selon le témoin, l’observation a duré environ 25 secondes, aux
alentours de 4h du matin. Se trouvant à l’extérieur de son
domicile, situé non loin du centre commercial de Toormina, il a
d’abord cru apercevoir un groupe d’oiseaux ou de chauves-souris
volant en formation. Mais très vite, la régularité géométrique du
déplacement, la taille massive de l’objet — estimée à celle d’un
terrain de basket — et la présence d’une douzaine de lumières
ternes à son avant, l’ont convaincu qu’il s’agissait de tout autre
chose.
« C’était comme une formation en triangle, parfaitement
structurée, qui venait du nord-ouest et se dirigeait vers le
sud-est, à une altitude comparable à celle des avions en phase
d’atterrissage à l’aéroport voisin… mais dans la mauvaise direction
», témoigne l’observateur. Pris de court par la brièveté de
l’événement, il raconte s’être précipité à l’extérieur pour
prolonger son observation, mais l’objet s’était déjà évanoui dans
l’obscurité. « Je suis resté deux heures dehors à espérer qu’il
revienne », confie-t-il.
L’objet, silencieux, se déplaçait selon lui à une vitesse
comparable à celle d’un Boeing 737, soit environ 800 km/h, ce qui
écarte la possibilité d’un drone ou d’un appareil conventionnel
volant à basse altitude.
Pour l’heure, aucune autre personne n’a confirmé cette
observation, et aucun signalement officiel n’a été fait par les
autorités aéroportuaires locales. Le témoignage, bien que
solitaire, vient toutefois s’ajouter à une longue liste de
phénomènes aériens non identifiés rapportés en Australie ces
dernières années, en particulier sur la côte est.
Mexico, 5 octobre 2022 — Une vidéo spectaculaire relance les spéculations sur l’existence d’une base extraterrestre cachée sous le célèbre volcan mexicain Popocatépetl. L’ufologue américain Scott C. Waring, connu pour ses recherches assidues sur les phénomènes aérospatiaux inexpliqués, a partagé des images impressionnantes capturées par une caméra de surveillance fonctionnant 24 heures sur 24.
Selon Waring, l'objet filmé ce jour-là présente des
caractéristiques hors normes : il s'agit d'un engin de près de 100
mètres de long, se déplaçant à grande vitesse et pénétrant
directement dans le cratère du volcan. « La bouche du Popocatépetl
mesure entre 600 et 700 mètres de diamètre, ce qui permet d’estimer
la taille de l’OVNI à environ 100 mètres », explique-t-il dans une
déclaration.
Fidèle observateur du Popocatépetl depuis plus de 15 ans, Waring
affirme avoir déjà repéré de nombreux objets mystérieux autour du
volcan, mais il considère cet événement comme exceptionnel : «
C'est absolument fantastique par sa taille, sa forme, sa vitesse...
mais surtout par sa destination. »
Waring avance également une hypothèse fascinante : selon lui, le
Popocatépetl cacherait une base extraterrestre située environ cinq
kilomètres sous sa surface. Une théorie en écho aux croyances
ancestrales : les Aztèques, impressionnés par la puissance du
volcan, le vénéraient autrefois comme une divinité.
Légende - Photo Scott C. Waring, Copyright, https://www.ufosightingsdaily.com/
Dans Le Projet Blue Beam, Serge Monast expose une
théorie complexe et inquiétante selon laquelle des élites mondiales
orchestreraient une conspiration d'ampleur planétaire pour
instaurer un Nouvel Ordre Mondial en imposant une
religion universelle du Nouvel Âge, dirigée par un
faux messie, l'Antéchrist. Selon l’auteur, ce plan
serait mis en œuvre en quatre étapes majeures :
Révision des connaissances archéologiques : À
l’aide de séismes artificiels et de fausses découvertes, il
s'agirait de discréditer les religions traditionnelles et les
fondements historiques de la foi.
Spectacle spatial holographique : Un
gigantesque "Space Show" projetterait, dans le ciel, des
hologrammes en 3D représentant des figures religieuses adaptées à
chaque culture, créant ainsi l'illusion de la venue d'un sauveur
mondial.
Télépathie électronique : Grâce aux nouvelles
technologies, notamment par ondes et signaux électroniques, il
serait possible de transmettre directement des pensées dans
l'esprit des gens, influençant ainsi leurs croyances et
comportements de manière massive.
Manifestations surnaturelles technologiques :
De faux événements, comme une invasion extraterrestre ou des
apparitions divines, seraient simulés afin d'accroître la peur,
justifiant l’instauration d’un gouvernement mondial autoritaire.
Cela passerait aussi par l’implantation de micropuces sur les
individus pour un contrôle total.
À travers son ouvrage, Monast dénonce un plan méthodique visant
à abolir les religions traditionnelles, instaurer un culte unique,
et soumettre l’humanité par des manipulations psychologiques et
technologiques sans précédent.
Auteur : Serge Monast ISBN 10 : 8412386280 ISBN 13 : 978-8412386288 Nombre de pages : 43 Editeur : Ethos éditions Date de publication : 1 novembre 2021
Son nom évoque un parfum d'Amérique d'antan, entre mysticisme populaire et politique tourmentée. Jeane Dixon, célèbre voyante du XXᵉ siècle, est de nouveau sous les projecteurs près de trois décennies après sa mort en 1997. Grâce à des prédictions exhumées de son livre de 1969, My Life And Prophecies, certains se demandent aujourd'hui si cette mystérieuse figure n'avait pas vu juste, une fois encore.
Dixon est devenue une icône de la culture américaine dans les
années 1960 après avoir prétendu avoir prédit l'assassinat du
président John F. Kennedy et la démission prématurée de Richard
Nixon. Sa chronique astrologique hebdomadaire, publiée dans des
centaines de journaux, la rendait incontournable, au point que son
influence dépassait parfois celle des experts politiques et des
commentateurs sérieux.
En 2025, c'est une autre de ses prophéties qui attire
l'attention. Dans My Life And Prophecies, elle écrivait qu'entre
2025 et 2037, une guerre éclaterait entre la Chine et la Russie.
Selon elle, "en 2025, la Chine rouge aura atteint une stabilité
économique et politique suffisante pour aller de l'avant et devenir
le Grand Conquérant", tandis que "la Russie aura également élargi
sa sphère d'influence directe, qui ne se limitera plus aux pays
d'Europe de l'Est, mais inclura la Libye, l'Éthiopie, l'Iran et une
grande partie de l'Afrique".
À une époque où les tensions géopolitiques entre Pékin et Moscou
sont palpables, certains observateurs, autrefois sceptiques,
jettent un regard nouveau sur les écrits de Dixon. Bien sûr, ses
prédictions sont loin d'avoir toujours été précises : elle avait
notamment annoncé l'arrivée d'un "enfant messianique" né en 1962
qui changerait le monde avant l'an 2000, prophétie qui, de toute
évidence, ne s'est pas réalisée.
Dans Les momies non humaines de Nazca, Thierry Jamin,
explorateur et chercheur français reconnu, livre pour la première
fois son récit de l'une des découvertes archéologiques les plus
troublantes de notre époque. L'histoire commence en octobre 2016,
lorsqu'il est approché par des "huaqueros", des pilleurs de tombes
péruviens, qui prétendent avoir exhumé d’étranges artefacts dans le
désert de Nazca. Parmi eux : des momies humanoïdes à l’apparence
déroutante, présentant des têtes allongées et des mains dotées de
seulement trois doigts.
Convaincu par l'authenticité de ces trouvailles, Jamin et son
équipe de l'Institut Inkari-Cusco se lancent dans une enquête
approfondie. Très vite, les spécimens suscitent un immense intérêt,
tout autant qu'une vive controverse, secouant à la fois la
communauté archéologique péruvienne et la sphère ufologique
mondiale. Sur fond d’analyses scientifiques, de pressions
politiques et de scepticisme académique, Thierry Jamin retrace dans
cet ouvrage les quatre années d’une aventure hors du commun.
L’affaire, qualifiée par certains de "Roswell de l’archéologie
moderne", questionne non seulement notre compréhension de
l’histoire précolombienne, mais ouvre aussi des perspectives
vertigineuses sur l’origine et l’évolution de la vie sur Terre.
Auteur : Thierry Jamin ISBN 10 : 2362770923 ISBN 13 : 9782362770920 Nombre de pages : 470 Editeur : Atlantes Editions Date de publication : 27 novembre 2020
Un mystérieux objet volant non identifié a été
photographié en plein jour sur une route isolée, non loin de
Binchera, dans le nord du Ghana. Cette image intrigante, difficile
à expliquer, est visible sur Google Maps, suscitant la curiosité
des internautes du monde entier.
Une vieille légende de la guerre froide refait surface avec fracas : un incident extraterrestre supposé, survenu à la fin des années 1980 en Ukraine soviétique, alimente à nouveau les débats après la redécouverte de documents déclassifiés dans les archives de la CIA. Selon ces rapports, pas moins de 23 soldats soviétiques auraient été... transformés en pierre, suite à l'explosion d'un vaisseau spatial d’origine inconnue.
L'histoire, tout droit sortie d’un film de science-fiction,
aurait été consignée dans un rapport de 250 pages rédigé par le
KGB. Les faits se seraient déroulés en 1989 ou 1990. Des soldats,
en manœuvres dans une région non précisée d’Ukraine, auraient
aperçu un engin volant en forme de soucoupe évoluant à basse
altitude. Croyant à une menace, ils auraient aussitôt lancé un
missile sol-air. L'objet aurait été abattu, provoquant l’apparition
de cinq créatures humanoïdes « de petite taille, à grosse tête et
aux grands yeux noirs ».
Le plus troublant survient ensuite : les créatures auraient
fusionné en une seule entité sphérique, dont la taille aurait
rapidement augmenté avant d’exploser. L’effet de cette explosion ?
Une transformation soudaine et incompréhensible : les 23 soldats
qui observaient la scène auraient été instantanément pétrifiés,
changés en véritables colonnes de pierre. Le rapport affirme que
les restes de ces soldats ainsi que ceux du vaisseau auraient été
transportés dans une base secrète près de Moscou.
Un scénario invraisemblable, que certains continuent pourtant à
prendre au sérieux. Le document en question a été découvert dans
les archives déclassifiées de la CIA, mais il ne s’agit pas d’un
rapport d’analyse de l’agence elle-même. Il provient en réalité du
Foreign Broadcast Information Service, un service de surveillance
des médias étrangers, qui l’aurait repris… du magazine canadien
Weekly World News, célèbre pour ses récits farfelus, ainsi que du
journal ukrainien Holos Ukrayiny.
De quoi jeter un froid sur la crédibilité de cette affaire,
reléguée aux frontières du folklore conspirationniste. Mais dans
une époque toujours avide de mystères et de vérités cachées, cette
légende soviétique, entre mythe et manipulation, continue
d’alimenter les fantasmes. Et qui sait ? Si une telle technologie
d’attaque ou de défense venait un jour à exister, elle ne serait
pas de trop dans un monde en proie à tant d’incertitudes.
Un fait divers ? Une opération de désinformation ? Ou la vérité
qui dépasse l’entendement ? À chacun d’en juger.
En fouillant les annales de l’étrange, un événement survenu en 1639 au large des côtes de Cape Ann, dans le Massachusetts, continue de hanter l’imaginaire collectif. À cette époque, des dizaines — voire des centaines — de témoins affirmaient avoir vu une créature marine d’une taille colossale fendre les eaux de l’Atlantique. Décrite comme un gigantesque serpent de mer, cette bête aurait même été aperçue rampant sur le rivage, se lovant comme un reptile mythique échappé des profondeurs.
Les récits, abondants et concordants, parlent d’un animal
serpentiforme mesurant environ 100 pieds de long (soit plus de 30
mètres), sa tête s’élevant à plus de 2,5 mètres au-dessus des
flots. Certains observateurs évoquaient une peau sombre, luisante,
et des mouvements ondulatoires d’une fluidité inquiétante. Ce qui
devait être une simple apparition passagère en mer se transforma
rapidement en phénomène local : la bête se serait aventurée près
des terres, allant jusqu’à ramper sur les plages sablonneuses de
Cape Ann, sous les yeux médusés des habitants.
Les journaux de l’époque, toujours avides de sensationnel,
s’emparèrent de l’affaire avec enthousiasme. On pouvait lire en une
: « Un monstre marin monstrueux, le plus grand jamais vu en
Amérique ! » ou encore « La Bête de Cape Ann terrorise la côte ».
L’événement fit grand bruit dans les colonies, à une époque où le
mystère et le merveilleux n’étaient jamais bien loin de la foi et
de la peur.
Mais que devons-nous réellement croire ? Était-ce le fruit d’une
imagination collective, peut-être nourrie par les superstitions
puritaines de l’époque ? Un canular habilement orchestré ? Ou une
simple méprise, comme cela peut arriver en mer, où les jeux
d’ombres, les vagues et la faune peuvent facilement tromper les
sens ?
Certains historiens avancent l’hypothèse d’un cétacé ou d’un
congre géant, mal identifié par une population peu familiarisée
avec la biodiversité marine. D’autres évoquent une hystérie
collective, déclenchée par un besoin de merveilleux dans une époque
austère. Plus rares sont ceux qui laissent ouverte la porte à une
créature encore inconnue, évoquant d'autres observations similaires
à travers l’histoire, notamment en Scandinavie ou au large de
l’Écosse.
Près de quatre siècles plus tard, le mystère demeure entier. Le
serpent de mer de Cape Ann a-t-il réellement existé ? Ou s’agit-il
simplement d’un écho lointain, amplifié par le tumulte des peurs
humaines et le silence insondable de l’océan ? Une chose est sûre :
l’Atlantique n’a pas livré tous ses secrets.
Légende - Photo TimothyDexter, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=35491744
Dans la nuit du 14 au 15 avril 2025, un couple a vécu une expérience des plus étranges depuis le balcon de leur domicile à Sharjah, aux Émirats Arabes Unis. Ce qui devait être une paisible observation de la pleine lune et des lumières de Dubaï s’est transformé en une scène sortie tout droit d’un roman de science-fiction. Selon leur témoignage déposé sur le site du National UFO Reporting Center (NUFORC), ils auraient aperçu un objet volant non identifié, de forme diamant, fonçant à une vitesse fulgurante dans le ciel.
L’observation, bien que brève — estimée à une à deux secondes
seulement —, a laissé une forte impression sur les deux témoins. Le
couple précise que l’objet, de couleur noire, semblait plus petit
qu’un Boeing 737 et se déplaçait à environ 800 km/h. Il aurait
traversé le ciel d’est en ouest, se dirigeant de Sharjah vers
Dubaï, à une altitude et une distance estimées à environ 5
kilomètres de leur position, avec un angle d’élévation de 45
degrés.
Le témoignage prend une tournure encore plus intrigante lorsque
la femme, occupée à tester l’appareil photo de son téléphone
portable sur la lune, aurait aperçu l’objet passer subitement au
sud-ouest de l’astre nocturne. L’objet semblait, selon ses mots,
"tomber du ciel" tant sa vitesse et son apparition soudaine étaient
saisissantes. L’effet optique aurait même donné l’impression qu’il
s’agissait d’une chute, bien qu’aucune trajectoire descendante
claire n’ait été identifiée.
Si le phénomène n’a duré qu’un instant, la description précise,
la présence de deux témoins oculaires, et le contexte d’observation
(depuis un point fixe avec vue dégagée) ont suscité l’intérêt de
plusieurs amateurs d’ufologie sur les réseaux. Notons que ce type
d’apparition est rare dans cette région du monde, encore que
plusieurs rapports émanant du Moyen-Orient ont été collectés ces
dernières années par différentes organisations civiles de
surveillance du ciel.
Le NUFORC a enregistré ce signalement dans ses archives,
mentionnant également une possible allusion à un enlèvement dans
les "caractéristiques" du phénomène — une mention laissée ouverte,
sans détails supplémentaires. Les autorités locales, quant à elles,
n’ont pas encore commenté cette observation, et aucun radar civil
n’aurait pour l’instant confirmé la présence d’un objet non
identifié dans l’espace aérien émirati à cette heure.
Entre illusion d’optique et visite inexpliquée, le mystère reste
entier. Une chose est sûre : cette nuit du 15 avril ne sera pas
facilement oubliée par ce couple, témoin involontaire d’un ballet
céleste aussi énigmatique que fulgurant.
Légende - Photo Mueed Ahmed, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=50574502
Le 5 octobre 2022, le rover Curiosity de la NASA a immortalisé
une scène intrigante sur la planète Mars. En haut à droite de la
photo, une étrange tâche apparaît, suscitant de nombreuses
interrogations. Certains y voient la possible présence d’un
objet volant non identifié.
Chaque début d’année ramène son lot de spéculations et de prophéties, et parmi les figures les plus mystérieuses du XXe siècle, Baba Vanga continue de captiver l’imaginaire collectif. Décédée en 1996, cette voyante bulgare aveugle, surnommée la "Nostradamus des Balkans", est réputée pour avoir prédit de nombreux événements majeurs, de la chute de l’Union soviétique aux attentats du 11 septembre.
Pour 2025, les prédictions attribuées à Baba Vanga suscitent à
la fois curiosité et inquiétude. Bien qu’il soit difficile de
vérifier l’authenticité exacte de ses paroles, plusieurs
"prophéties" circulent sur Internet et dans les médias spécialisés.
Voici les principales tendances annoncées pour l’année à venir.
1. Une crise géopolitique majeure en Europe
Selon certaines sources, Baba Vanga aurait prédit une grave
crise en Europe, liée à des tensions politiques et économiques
accrues. Des troubles sociaux, voire un effondrement de certaines
institutions européennes, pourraient marquer cette période. Cette
prophétie, bien que vague, entre en résonance avec les incertitudes
politiques actuelles dans plusieurs pays de l’Union.
2. Une avancée technologique révolutionnaire
Paradoxalement, 2025 serait également une année marquée par une
percée scientifique ou technologique majeure. Certains interprètent
cette vision comme l’arrivée de l’intelligence artificielle à un
niveau supérieur, d’autres évoquent des découvertes médicales
spectaculaires, notamment dans la lutte contre le cancer ou les
maladies neurodégénératives.
3. Des catastrophes naturelles accrues
Toujours selon les prédictions attribuées à Baba Vanga, des
catastrophes naturelles pourraient frapper plusieurs régions du
globe en 2025. Inondations, séismes ou éruptions volcaniques sont
évoqués, dans un contexte de dérèglement climatique de plus en plus
préoccupant.
4. Un nouvel ordre mondial ?
Enfin, certains textes attribués à la voyante font allusion à
une transformation profonde de l’équilibre mondial. Un nouveau
"centre du pouvoir" émergerait, bouleversant les relations
internationales. La Chine, l’Inde ou une coalition de pays du Sud
global sont souvent évoqués comme les possibles acteurs de ce
changement.
Entre croyance et légende
Il convient toutefois de prendre ces prédictions avec prudence.
Peu de documents officiels attestent de leur véracité, et beaucoup
sont le fruit de spéculations posthumes ou de réinterprétations.
Baba Vanga, qui a prédit des événements jusqu’à l’an 5079, est
aujourd’hui au cœur d’un phénomène médiatique et spirituel, parfois
alimenté par des récits populaires plus que par des faits.
Mais qu’on y croie ou non, ces visions continuent de nourrir un
besoin humain fondamental : celui de comprendre l’avenir, de donner
du sens à l’incertitude, et de se préparer, mentalement et
spirituellement, à ce que demain nous réserve.
Une étrange apparition céleste a troublé la quiétude du ciel breton, jeudi soir, au-dessus du supermarché Lidl de Pornic. Selon un témoignage publié sur le site du NUFORC, un employé de maintenance affirme avoir observé un objet volant non identifié de forme triangulaire, doté de trois lumières rouges, aux alentours de 22h05.
Le témoin, qui travaillait de nuit dans l’établissement, raconte
avoir été envoyé à son véhicule pour récupérer un aspirateur
lorsqu’il a levé les yeux et aperçu une « grande masse » en forme
de triangle », évoluant lentement et sans bruit dans le ciel
étoilé. L’objet, qu’il estime à environ 200 mètres de distance et
très imposant, semblait flotter au-dessus du parking du
magasin.
Alerté par la scène, il s’est tourné vers un couple stationné
dans une voiture à proximité. La femme, visiblement paniquée, a
exprimé sa peur, tandis que l’homme, stupéfait, a commencé à filmer
la scène avec son téléphone.
Le témoin a ensuite couru chercher ses collègues à l’intérieur
du magasin. Mais à leur retour, l’objet avait disparu. Toutefois,
le jeune homme du couple a confirmé ses dires et montré la vidéo
qu’il avait capturée. Ensemble, ils ont alors observé une dernière
lumière rouge, lointaine, qui effectuait des mouvements inhabituels
avant de disparaître à son tour.
Selon les informations communiquées au NUFORC, la durée totale
de l'observation aurait été d’environ 15 minutes. L’objet était vu
à angle droit par rapport à l’horizon (90°), ce qui suggère qu’il
se trouvait presque à la verticale des témoins au moment de
l’observation.
Ce type de témoignage n’est pas isolé : des objets volants en
forme de triangle ont déjà été signalés à plusieurs reprises à
travers le monde, souvent décrits comme silencieux et dotés de
lumières rouges ou blanches.
Pour l’instant, aucune explication officielle n’a été donnée sur
ce phénomène observé à Pornic. La vidéo capturée par l’un des
témoins pourrait cependant apporter un éclairage précieux à ceux
qui tentent de comprendre ces manifestations inexpliquées.
Légende - Photo François de Dijon, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=77095171
C’est une histoire qui semble tout droit sortie d’un conte fantastique, et pourtant elle figure noir sur blanc dans les écrits d’un chroniqueur médiéval anglais réputé, Gervase de Tilbury. Le fait remonte à l’an de grâce 1211, dans le bourg de Cloera, alors que les fidèles étaient rassemblés pour la messe dominicale. Ce jour-là, un phénomène étrange se serait produit, défiant toute explication rationnelle.
Selon le témoignage de Gervase, alors que la cérémonie battait
son plein dans l’église dédiée à Saint Kinarus, une ancre serait
soudainement tombée du ciel. Accrochée à une corde, elle se serait
fichée dans l’arche de la porte de l’édifice, sous les yeux médusés
des paroissiens.
Mais ce n’est pas tout. Peu après, une embarcation aurait été
aperçue flottant dans les airs, semblable à un navire naviguant non
pas sur les flots, mais dans le ciel. Des hommes auraient été
visibles à son bord. L’un d’eux se serait jeté par-dessus bord pour
descendre le long de la corde jusqu’à l’ancre, tel un plongeur en
apnée, agissant comme s’il nageait dans l’eau.
Pris de panique ou de curiosité, les villageois auraient tenté
de l’empoigner, mais l’évêque, présent sur les lieux, les aurait
dissuadés. Il aurait craint pour la vie de cet homme étrange,
affirmant qu’un contact pourrait lui être fatal. Libéré, celui-ci
aurait alors rejoint précipitamment le navire, dont l’équipage
aurait coupé la corde avant de disparaître dans les cieux.
Le plus troublant ? L’ancre, affirme-t-on, serait restée dans
l’église de Cloera, conservée comme une relique témoignant de cet
événement prodigieux.
Plus de huit siècles plus tard, le mystère reste entier.
Était-ce une vision surnaturelle, une légende enjolivée au fil du
temps, ou bien un épisode mal interprété par les standards de
l’époque ? Certains y voient une preuve ancienne de phénomènes
aériens inexpliqués, voire un indice d’un contact avec des mondes
parallèles.
Quoi qu’il en soit, cette étrange chronique continue d’alimenter
les débats parmi les historiens, les folkloristes et les passionnés
de l’étrange. Et si le ciel avait réellement abrité autrefois des
navires ?
Au cœur de l’Antiquité, alors que les grandes campagnes d’Alexandre le Grand redessinaient les contours du monde connu, un événement énigmatique, oublié des manuels d’histoire, aurait eu lieu dans le ciel de Phénicie, au-dessus des remparts imprenables de la cité de Tyr. C’est un récit venu des confins de l’histoire militaire et des chroniques antiques que rapporte l’ufologue italien Alberto Fenoglio : celui d’une étrange apparition aérienne lors du célèbre siège de 332 av. J.-C.
La cité de Tyr, bastion maritime solidement fortifié, résistait
farouchement aux assauts macédoniens. Ses murailles, hautes de
quinze mètres et construites avec une telle robustesse que les
machines de siège n’en venaient pas à bout, semblaient
invulnérables. Les défenseurs tyriens, réputés pour leur
savoir-faire en ingénierie militaire, neutralisaient une à une les
attaques d’Alexandre, repoussant projectiles et flèches
incendiaires.
Mais un jour, le ciel se chargea de mystère. Selon un
chroniqueur anonyme dont le récit a été relayé par Fenoglio, cinq
objets étranges apparurent dans le ciel. Décrits comme des «
boucliers volants », ils évoluaient en formation triangulaire, l’un
d’entre eux – le plus grand – ouvrant la marche, suivi de quatre
plus petits. Devant des milliers de soldats sidérés, alliés comme
ennemis, ces mystérieux engins survolèrent lentement la ville.
Puis survint l’inexplicable : du plus grand « bouclier » jaillit
un éclair foudroyant. Il frappa les murailles de Tyr qui
s’effondrèrent comme de simples constructions d’argile. Plusieurs
éclairs suivirent, réduisant en poussière tours et remparts. Ce qui
n’avait pu être accompli par des semaines de siège fut réalisé en
quelques instants, ouvrant la voie à l’invasion de la ville. Les «
boucliers volants », après avoir survolé la cité conquise,
disparurent aussi soudainement qu’ils étaient apparus, se fondant
dans l’azur du ciel méditerranéen.
Ce témoignage, bien que marginal et relayé des siècles plus
tard, fascine autant qu’il interroge. S’agit-il d’une métaphore
poétique ? D’un ajout légendaire à la gloire d’Alexandre ? Ou d’un
récit sincère d’un phénomène aujourd’hui classé parmi les
observations d’objets volants non identifiés ? À l’heure où les
archives militaires modernes commencent à reconnaître certains
phénomènes aériens inexpliqués, ce récit venu de l’Antiquité
résonne étrangement avec les interrogations contemporaines.
L’histoire, comme le ciel, conserve parfois ses secrets. Et il
semble qu’en 332 av. J.-C., au-dessus de Tyr, un fragment de
l’inconnu ait traversé le champ de bataille.
Légende - Photo Heretiq, CC BY-SA 2.5, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=555926
La révélation a de quoi intriguer les historiens, faire frémir les amateurs de phénomènes inexpliqués, et relancer les débats sur les technologies secrètes de l’après-guerre froide. Harald Malmgren, ancien conseiller influent de quatre présidents américains – John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson, Richard Nixon et Gerald Ford – emportait avec lui un lourd secret. Désormais disparu, c’est sa fille, l’économiste réputée Dr. Pippa Malmgren, qui s’est enfin sentie libre de partager un épisode que son père lui avait confié : une étrange rencontre entre une arme expérimentale américaine et ce qu’il appelait une « orbe blanche », lors de l’un des moments les plus tendus de la Guerre froide.
Un test de missile au cœur de la crise des missiles de
Cuba
Nous sommes le 25 octobre 1962. Le monde est suspendu à un fil :
les États-Unis et l’Union soviétique sont au bord de l’affrontement
nucléaire à cause des missiles soviétiques déployés à Cuba. C’est
dans ce contexte explosif qu’un missile américain est lancé, selon
Malmgren, dans le cadre d’un test classifié.
Ce missile ne serait pas ordinaire : « Il était équipé d’un
dispositif que mon père appelait une sorte de machine à rayons
X dans la tête du missile », confie Dr. Malmgren. Une
technologie expérimentale destinée à neutraliser les ogives
ennemies en utilisant de puissants rayonnements. Mais ce n’est pas
un missile ennemi qu’elle aurait désactivé ce jour-là.
« Ce que mon père a vu, c’est une orbe blanche, qui s’est mise à
tournoyer autour du missile après son lancement. La radiation du
dispositif a semblé l’endommager. Elle est tombée dans l’océan et a
été récupérée par la Navy. »
Les "tagalongs" : des visiteurs silencieux ?
Selon le témoignage de Harald Malmgren, ces orbes n’étaient pas
une nouveauté. Il les appelait des tagalongs –
littéralement, des « suiveurs » ou « passagers clandestins » – et
affirmait qu’ils avaient été observés, abattus et récupérés à
plusieurs reprises. Il suggérait également qu’il ne s’agissait pas
de simples drones soviétiques ou d’appareils espions
conventionnels.
« Mon père détenait les plus hauts niveaux d’habilitation de
sécurité », explique sa fille. « Il avait été informellement briefé
par Richard Bissell de la CIA, l’homme derrière le programme U-2,
le Skunk Works, et les projets d’Area 51. Ce qu’il a entendu
là-bas, c’était... ce qu’ils appelaient des technologies
d’origine non humaine. »
Une révélation à la croisée des mondes
Jusqu’à sa mort, Harald Malmgren n’avait jamais osé rendre ces
informations publiques. Trop risqué, trop sensible. Il ne les avait
transmises qu’en privé, à sa fille, une économiste ayant conseillé
la Maison Blanche et plusieurs gouvernements.
Pourquoi parler aujourd’hui ? « Je pense que le moment est venu
», dit Dr. Malmgren. « Les discussions autour des UAPs (phénomènes
aériens non identifiés) ont franchi un cap. Le Congrès enquête, les
agences reconnaissent leur ignorance. Mon père voulait que cette
part de vérité ne soit pas perdue. »
Une pièce de plus dans un puzzle mondial
Le récit de Harald Malmgren, s’il est véridique, s’ajoute à une
liste de témoignages émanant de militaires, de pilotes et d’anciens
responsables ayant fait état d’objets volants aux capacités hors
norme, souvent surveillant des installations nucléaires. Le
Pentagone lui-même, depuis 2020, a ouvert plusieurs enquêtes sur
ces incidents.
Reste que cette affaire, comme tant d’autres, demeure enveloppée
de mystère, sans documents officiels, sans vidéos, sans preuve
tangible. Et pourtant, elle émane d’un homme qui fut au cœur de
l’État profond américain, et qui n’avait aucun intérêt à alimenter
des fantasmes.
En filigrane, une question vertigineuse demeure : et si, depuis
les premiers jours de la course nucléaire, quelqu’un
d’autre surveillait l’humanité ?
Un habitant de la région de la capitale islandaise a rapporté une observation des plus inhabituelles sur le site du National UFO Reporting Center (NUFORC), suscitant la curiosité des amateurs de phénomènes aériens non identifiés.
Le témoignage, déposé le 8 avril 2025, relate l’apparition d’une
lumière blanche brillante, de la taille approximative d’une
voiture, évoluant à basse altitude au-dessus de l’océan, le long du
littoral d’Alftanes, dans la municipalité de Garðabær, à quelques
kilomètres seulement de Reykjavik.
Selon le témoin, l’objet – décrit comme une lumière en forme
d’étoile ou de diamant – se serait déplacé à une vitesse estimée
entre 60 et 80 km/h, à seulement quelques mètres au-dessus de la
surface de l’eau. « Il semblait léviter, sans jamais toucher ni la
mer ni le sol, et se déplaçait sans bruit, sans friction, comme
s’il glissait dans l’air », explique-t-il.
L’observation a duré environ deux minutes. L’auteur du
signalement, alors dans sa chambre en train de discuter avec son
conjoint, a immédiatement quitté la maison pour suivre le
phénomène. Il rapporte avoir observé la lumière pendant près d’une
minute supplémentaire avant de la perdre de vue lorsqu’elle a
bifurqué vers l’intérieur des terres. « Elle a manœuvré au-dessus
des rochers avec une fluidité qui défie les capacités des véhicules
connus », affirme-t-il.
Le silence de l’objet a également marqué l’observateur : « Aucun
bruit ne provenait de cette lumière, ce qui est étrange pour un
appareil évoluant à une telle vitesse, surtout si proche du sol.
»
Selon ses dires, ses voisins auraient également remarqué la
lumière depuis la fenêtre arrière de leur maison, confirmant ainsi
qu’il n’était pas seul à avoir été témoin de cette scène
étrange.
Aucune explication officielle n’a été donnée à ce jour.
L’aéroport de Reykjavik n’a signalé aucune activité inhabituelle
dans ce secteur à l’heure de l’incident. Les autorités locales
n’ont pas encore commenté l’événement.
L’Islande, réputée pour ses paysages spectaculaires et son ciel
souvent dégagé, a été le théâtre de plusieurs observations
inexpliquées au fil des années, bien que rares soient celles
décrites avec autant de précision.
Le phénomène soulève une fois de plus la question de la présence
potentielle de technologies inconnues, naturelles ou non, dans
notre environnement proche. Les témoignages comme celui-ci, bien
qu’isolés, continuent d’alimenter le débat autour des objets
volants non identifiés.
Légende - Photo Steinninn, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=4298511
Récemment, une découverte étonnante a émergé grâce aux images
satellites de Google Maps : quatre objets volants non
identifiés (OVNI) de teinte rosâtre ont été repérés en
plein cœur de l’Antarctique, une région parmi les plus
inaccessibles de notre planète. Disposés de manière étrange, ces
objets semblent s’être écrasés dans cette étendue glacée depuis
bien longtemps.
Certains internautes passionnés par les mystères du monde
avancent une théorie fascinante : ces OVNI seraient restés enfouis
sous la glace pendant des milliers d’années, jusqu’à ce que le
réchauffement climatique provoque la fonte des glaces, révélant
leur présence au grand jour. L’isolement de la région et les
conditions extrêmes de l’Antarctique auraient ainsi permis à ces
objets mystérieux de rester cachés du regard humain jusqu’à
aujourd’hui.
S’agit-il d’appareils venus d’un autre monde, ou d’une simple
illusion d’optique ? Le débat est lancé, mais une chose est sûre :
l’Antarctique n’a pas fini de révéler ses secrets…
Dans les contrées isolées de la province de Yaroslavl, près du paisible village de Shuknavolok, une étrange affaire continue d’alimenter les légendes locales près d’un siècle plus tard. Ce soir-là, des témoins ont observé un phénomène céleste inhabituel : un objet incandescent, crachant des flammes, aurait plongé dans les eaux sombres du lac Vedlozero.
Si cette vision spectaculaire évoque spontanément celle d’une
météorite tombant du ciel, les événements qui ont suivi ont semé le
doute. Peu de temps après l’impact supposé, des villageois ont
commencé à rapporter des apparitions pour le moins troublantes : de
petites créatures humanoïdes rôdant autour du lac ou émergeant de
ses eaux. Surnommés les « gobelins de l’eau », ces êtres
étaient décrits comme de petite taille, à la tête ronde et
dépourvue de cheveux, dotés de bras et de jambes particulièrement
longs et fins.
Mais ce qui frappe le plus dans les récits des témoins, c’est
leur tenue : selon plusieurs témoignages, ces êtres étranges
portaient des combinaisons métalliques et brillantes, évoquant des
habits futuristes bien au-delà des standards de l’époque.
Certains chercheurs et sceptiques avancent une explication plus
terre-à-terre : les témoins auraient tout simplement aperçu des
phoques, espèce qui, bien que rare, peut apparaître dans le lac.
Toutefois, la forme humanoïde et l’aspect métallique des créatures
décrites continuent d’intriguer.
L’absence de documents officiels ou d’enquêtes approfondies
laisse planer une brume d’incertitude sur cette affaire. Était-ce
réellement un crash d’objet non identifié ? Des créatures d’un
autre monde ou une simple méprise amplifiée par le bouche-à-oreille
? Aujourd’hui encore, le mystère du lac Vedlozero demeure entier,
entre faits inexpliqués, folklore local et fascination pour
l’inconnu.
Légende - Photo Kevoch, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=49154447
Dans Ovnis, le secret des secrets, Fabrice Bonvin livre
une enquête approfondie et audacieuse sur les dessous méconnus du
phénomène OVNI. S'appuyant sur une documentation dense et souvent
inédite, il met en lumière l'implication discrète mais persistante
des gouvernements, en particulier des États-Unis, dans l'étude de
ces manifestations inexpliquées. Bonvin dénonce les opérations de
désinformation, la manipulation des médias et la marginalisation
orchestrée de la recherche scientifique indépendante.
L’auteur révèle pour la première fois des informations
confidentielles sur les projets ultrasecrets, les personnalités
clés de ces programmes, et les implications stratégiques des
technologies en jeu. Il explore notamment le rôle des armes
géophysiques, telles que le projet HAARP, et les théories entourant
les chemtrails, en les reliant à certaines manifestations
d’OVNIs.
Mais Bonvin va plus loin, en convoquant l’hypothèse d’une
"matrice", selon laquelle notre réalité serait une simulation
dirigée par une intelligence supérieure. En appliquant cette grille
de lecture aux schémas d’apparition des OVNIs, il ouvre une
perspective fascinante sur la nature même de notre monde.
À la croisée de la science, de la géopolitique et de la
métaphysique, cet ouvrage invite à une réflexion profonde sur les
enjeux cachés du phénomène OVNI et sur notre place dans
l’univers.
Auteur : Fabrice Bonvin ISBN 10 : 2357841206 ISBN 13 : 9782357841208 Nombre de pages : 220 Editeur : JMG éditions Date de publication : 20 décembre 2021
Depuis des siècles, la Franc-Maçonnerie et l’Ordre de la Rose-Croix fascinent par leur aura mystérieuse, leurs rituels ésotériques et leur quête spirituelle. Bien que ces deux mouvements partagent certaines similitudes, ils divergent sur de nombreux points, tant sur le plan historique que philosophique. Décryptage.
1. Origines historiques distinctes
La Franc-Maçonnerie, telle que nous la connaissons aujourd’hui,
trouve ses racines dans les guildes de bâtisseurs du Moyen Âge.
Officiellement structurée en 1717 avec la création de la Grande
Loge de Londres, elle s’est répandue dans le monde entier, se
divisant en différentes obédiences (Grande Loge Unie d’Angleterre,
Grand Orient de France, etc.).
La Rose-Croix, en revanche, apparaît au début du XVIIe siècle
avec la publication de trois manifestes anonymes (Fama
Fraternitatis, Confessio Fraternitatis et Les Noces chimiques de
Christian Rosenkreutz). Ces textes décrivent une fraternité secrète
dédiée à la connaissance hermétique et à la réforme spirituelle du
monde. Contrairement à la Franc-Maçonnerie, l’existence historique
de Christian Rosenkreutz, le fondateur mythique, reste
incertaine.
2. Structures et organisations différentes
La Franc-Maçonnerie est organisée en loges, regroupées en
obédiences. Elle fonctionne selon un système de grades (Apprenti,
Compagnon, Maître) dans la branche dite « bleue », avec des hauts
grades dans les rites annexes (Écossais, York, Memphis-Misraïm,
etc.).
La Rose-Croix, selon les branches (AMORC, Lectorium
Rosicrucianum, Société Rosicrucienne), propose souvent une
progression par degrés initiatiques, mais sans la structure
maçonnique. Certains groupes rosicruciens sont plus proches
d’écoles de mystères que de fraternités structurées.
3. Spiritualité et symbolisme
Les Francs-Maçons travaillent avec des symboles liés à l’art de
bâtir (équerre, compas, temple de Salomon) et mettent l’accent sur
la fraternité, la tolérance et l’amélioration de l’humanité. Leur
approche peut être déiste, théiste ou humaniste selon les
obédiences.
Les Rosicruciens s’inspirent davantage de l’alchimie, de la
kabbale et de l’ésotérisme chrétien. Leur symbolique tourne autour
de la rose et de la croix, représentant la transformation
spirituelle et l’union du matériel et du divin.
4. Secret et discrétion
La Franc-Maçonnerie, bien que discrète, n’est plus réellement
secrète : ses membres s’affichent souvent publiquement, et
certaines loges organisent des événements ouverts.
La Rose-Croix, en particulier l’AMORC (Ancien et Mystique Ordre
de la Rose-Croix), se présente comme une « tradition millénaire »
transmise secrètement. Certains groupes rosicruciens cultivent une
aura plus mystérieuse que les loges maçonniques.
5. Influence et héritage
Les deux mouvements ont marqué l’histoire intellectuelle et
spirituelle :
La Franc-Maçonnerie a influencé les Lumières, les révolutions
(américaine, française) et compte parmi ses membres des figures
comme Voltaire, Mozart ou George Washington.
La Rose-Croix a inspiré des courants ésotériques, l’alchimie
moderne et des penseurs comme Paracelse, Goethe ou même certains
surréalistes.
Conclusion : Deux voies parallèles ?
Si la Franc-Maçonnerie est avant tout une société initiatique
axée sur le perfectionnement moral et la fraternité, la Rose-Croix
se présente plutôt comme une école de mystères visant la
connaissance ésotérique et la transformation intérieure. Malgré
leurs différences, ces deux traditions partagent une quête commune
: celle de la lumière, qu’elle soit symbolique ou spirituelle.
Une résidente de la région affirme avoir observé un phénomène aérien des plus intrigants, en compagnie de son jeune fils, alors qu’elle circulait en voiture en direction de Valcartier, samedi soir dernier.
Il était 20 h 58, selon le témoignage recueilli, lorsque la
conductrice aperçoit six lumières blanches extrêmement brillantes
planer au-dessus d’une montagne, non loin de la route. « Nous
étions en voiture, moi et mon garçon de 9 ans. Soudain, j’ai vu ces
lumières très claires dans le ciel. Je lui ai dit de regarder, et
il a tout vu aussi », confie la témoin.
Curieuse et troublée, elle s’est arrêtée sur le bord du chemin
pour mieux observer la scène. Selon son récit, cinq des lumières
étaient en mouvement, tandis qu’une sixième demeurait parfaitement
stationnaire. Quelques secondes plus tard, les cinq lumières
mobiles ont brusquement disparu, suivies immédiatement de la
lumière immobile, qui s’est volatilisée « d’un seul coup ».
La scène aurait duré à peine quelques instants, ne laissant pas
le temps à la mère de capturer l’événement en photo. « Ça s’est
passé tellement vite… je n’ai même pas eu le temps de sortir mon
téléphone », ajoute-t-elle.
Cette observation s’ajoute à une série de témoignages similaires
rapportés ces dernières années dans la région de la
Jacques-Cartier, souvent considérée comme un point chaud
d’apparitions inexpliquées. Aucun événement aérien officiel n’a été
enregistré à cette date par Transports Canada ni par la Défense
nationale, mais l’observation soulève à nouveau des questions sur
la nature de ces phénomènes lumineux.
Légende - Photo Gacard, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=139761681
Récemment, deux objets mystérieux ont été repérés sur Google
Maps dans une région totalement isolée, sans aucune trace
d’activité humaine. Aucune route, aucun sentier, ni infrastructure
n’est visible à des kilomètres à la ronde. Ce qui rend cette
découverte encore plus étrange, c’est la forme et la disposition
des objets : deux engins de type "Tic-Tac",
semblant avoir atterri ou s’être écrasés côte à côte.
Les objets mesurent environ 7,5 mètres de long sur 4 mètres de
large, des dimensions suffisantes pour contenir plusieurs occupants
de taille humaine. Leur aspect métallique et leur forme
aérodynamique rappellent les fameux "Tic-Tac UFOs" décrits par des
pilotes militaires américains. Le fait qu’ils se trouvent dans une
zone totalement vierge d’activité humaine renforce le mystère
entourant leur présence.
S’agit-il de véhicules extraterrestres accidentés ? D’un projet
secret abandonné ? Ou d’une simple illusion d’optique ? Pour
l’instant, aucun élément concret ne permet d’expliquer leur
origine. Mais une chose est sûre : ces deux objets posent plus de
questions qu’ils n’apportent de réponses.
En avril 1978, une étrange rencontre céleste a marqué à jamais les souvenirs d’un adolescent russe alors en vacances dans la région de Riazan, à environ 200 kilomètres au sud-est de Moscou. Aujourd’hui encore, l’événement soulève de nombreuses interrogations et alimente les discussions parmi les passionnés de phénomènes inexpliqués.
Valentin Valentinovitch Goubsky, âgé de 14 ans à l’époque,
profitait des vacances de printemps avec sa famille et quelques
amis dans la campagne brumeuse de la région. Ce qui devait être un
séjour tranquille prit un tournant inattendu une soirée où le
brouillard enveloppait les collines.
Selon le témoignage du jeune Valentin, alors qu’il se promenait
avec un ami dans la pénombre du crépuscule, une série de flashs
lumineux éclatèrent soudainement dans le ciel. Des éclairs
multicolores déchiraient le voile de brume, illuminant la nuit d’un
spectacle aussi magnifique qu’inquiétant. Peu après, les deux
garçons furent interpellés par un bourdonnement mécanique qui
semblait provenir d’une colline toute proche.
Intrigués mais inquiets, ils levèrent les yeux vers l’origine du
bruit. C’est alors qu’une silhouette étrange se dessina dans le
ciel, à une vingtaine de mètres de hauteur. À travers la brume, la
forme s’approchait lentement, planant au-dessus d’eux dans un
silence presque solennel. Les deux garçons furent stupéfaits : il
s’agissait, selon eux, d’un être humanoïde… un homme volant.
La figure paraissait porter une combinaison argentée,
métallique, qui réfléchissait les derniers éclats de lumière. Des
anneaux de métal semblaient enserrer ses bras et ses jambes, et une
sorte de ceinture volumineuse ornait son torse. Cette ceinture,
affirmait Valentin, semblait contenir un panneau de commande ou un
dispositif de contrôle intégré.
L'apparition passa au-dessus d’eux, puis disparut dans la brume,
sans qu’aucune trace ne soit retrouvée. Aucun bruit d’impact,
aucune preuve physique – seulement le récit bouleversé de deux
adolescents.
L’événement n’a jamais été officiellement reconnu par les
autorités soviétiques de l’époque. Était-ce un test militaire
secret ? Un phénomène naturel mal interprété ? Une hallucination
collective ? Ou bien, comme certains ufologues le pensent, une
rencontre du troisième type ?
Quarante-sept ans plus tard, l’affaire Goubsky demeure non
résolue. Pourtant, elle continue de fasciner ceux qui s’intéressent
aux mystères de notre monde et à la question toujours ouverte :
sommes-nous vraiment seuls dans l’univers ?
Légende - Photo Ghirlandajo, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=95670352
Une séquence étonnante capturée par un travailleur britannique a ravivé les spéculations sur les objets volants non identifiés (OVNIs). Danny Shaw, employé de l'usine Cummins Engine Plant, a aperçu plusieurs sphères lumineuses dans le ciel alors qu'il quittait son lieu de travail. Ayant la présence d'esprit d'enregistrer la scène avec son téléphone portable, il a rapidement partagé les images sur les réseaux sociaux et avec les médias.
Initialement, Danny Shaw pensait observer un avion de grande
taille en phase d'approche pour un atterrissage à l’aéroport de
Teesside. Cependant, en se rapprochant, il a vite réalisé que
l’objet ne correspondait à aucun appareil connu. « J’ai d’abord cru
qu’il s’agissait d’un avion volant à basse altitude, mais en
regardant de plus près, j’ai compris que ce n’était pas possible »,
a-t-il déclaré.
La proximité de la base militaire de Catterick, l’une des plus
grandes installations de l’infanterie britannique, a conduit Shaw à
envisager une origine militaire pour ces lumières. Il a évoqué
l’hypothèse de fusées éclairantes ou de tests d’armement, mais les
autorités militaires n’ont fourni aucune explication
officielle.
Dans un monde où les technologies militaires évoluent sans
cesse, certains observateurs se demandent s’il est temps pour
l'armée de moderniser ses systèmes de signalisation afin d'éviter
de telles confusions. Les signalements d’OVNIs sont souvent mêlés à
des essais d’appareils secrets, rendant l’identification de
phénomènes aériens inhabituels de plus en plus complexe.
Légende - Photo Dan892k9, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=7417102
Le 14 septembre 1998, alors que le soleil se couchait sur Athènes, deux femmes assises sur un balcon ont assisté à une scène pour le moins extraordinaire. Un objet volant non identifié est apparu dans le ciel, se déplaçant silencieusement en leur direction. Pensant d'abord à un hélicoptère, elles ont rapidement dû revoir leur jugement face à l'absence totale de bruit et à la nature singulière de l'apparition.
À mesure que l'objet se rapprochait, les deux témoins ont pu
distinguer une silhouette humanoïde flottant en position verticale,
vêtue d'une combinaison semblable à celle d'un astronaute. Ce
personnage étrange s'est alors posé dans un parc voisin avant
d'effectuer un saut impressionnant en direction de la forêt située
sur la colline d'Ardittos.
Ce qui s'est produit ensuite défie toute explication rationnelle
: l'humanoïde aurait commencé à planer au-dessus du sol avant de se
transformer en un point lumineux, puis de disparaître complètement
sous les yeux ébahis des deux femmes.
Cet événement, bien que largement inconnu du grand public, fait
partie des nombreuses observations inexpliquées rapportées à
travers le monde. Les experts en phénomènes paranormaux et
ufologiques restent divisés sur la nature de cette apparition :
simple illusion d'optique, canular ou véritable rencontre du
troisième type ? Aucune preuve concrète n'est venue confirmer ou
infirmer cette histoire, laissant planer le mystère sur ce qui
s'est réellement passé ce soir-là à Athènes.
Légende - Photo A.Savin, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=27549188
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