dimanche 27 juillet 2025

La Forêt Hoia Baciu : le Triangle des Bermudes de la Roumanie

La Forêt Hoia Baciu : le Triangle des Bermudes de la Roumanie

Située aux abords de la ville de Cluj-Napoca, au cœur de la région de Transylvanie, la forêt Hoia Baciu attire depuis plusieurs décennies la curiosité de chercheurs, d’amateurs de phénomènes paranormaux et de touristes en quête d’insolite. Surnommée par certains le « Triangle des Bermudes de la Roumanie », cette forêt dense et ancienne est entourée d’un mystère qui alimente les récits les plus étranges.

Une réputation née de témoignages inexpliqués

C’est dans les années 1960 que la notoriété de la forêt prend un tournant particulier, lorsqu’un biologiste roumain, Alexandru Sift, rapporte avoir observé des phénomènes lumineux étranges et capturé plusieurs clichés montrant des formes anormales dans les feuillages. Peu après, un technicien du nom d’Emil Barnea photographie ce qu’il décrit comme un objet volant non identifié flottant au-dessus de la canopée. Ces images, diffusées dans la presse locale, donnent rapidement naissance à une série d’histoires autour d’ovnis et d’apparitions mystérieuses.

De nombreux visiteurs affirment ressentir, en pénétrant dans la forêt, une sensation de malaise ou de vertige. Certains rapportent des pertes de mémoire temporaires, des irritations cutanées inexpliquées ou encore la panne soudaine de leurs appareils électroniques. Si ces expériences restent difficilement vérifiables, elles ont largement contribué à bâtir l’aura singulière du lieu.

Une forme circulaire intrigante

Parmi les éléments qui renforcent le mystère de Hoia Baciu figure une clairière parfaitement circulaire située en son centre, où la végétation semble refuser de pousser. Malgré plusieurs analyses du sol, aucune explication scientifique n’a pu être apportée à ce phénomène. Ce cercle, régulièrement photographié et filmé, est aujourd’hui considéré comme le point névralgique des activités paranormales supposées de la forêt.

Une attraction touristique controversée

Face à l’engouement croissant des amateurs de sensations fortes, la forêt est devenue un lieu de visites guidées, de randonnées nocturnes et même de tournages d’émissions consacrées au paranormal. Des agences locales proposent des excursions thématiques où les participants espèrent, souvent en vain, assister à un phénomène inexpliqué.

Toutefois, cette mise en scène touristique suscite également des critiques. Certains chercheurs accusent ces pratiques d’alimenter volontairement le folklore pour des raisons économiques, au détriment d’une approche rationnelle. D'autres soulignent le manque de preuves tangibles à l’appui des récits fantastiques, et appellent à la prudence face aux interprétations trop hâtives.

Entre légende et réalité

À l’intérieur même de la Roumanie, la forêt Hoia Baciu n’est pas toujours perçue de la même manière. Alors que le monde anglophone associe volontiers la Transylvanie au mythe de Dracula, les Roumains eux-mêmes entretiennent avec cette forêt une relation ambivalente. Pour certains, elle représente un simple bois aux formes tortueuses, tandis que pour d'autres, elle demeure un lieu chargé d’une énergie inexplicable.

Qu’il s’agisse d’une forêt à la géométrie troublante, d’un lieu d’activité électromagnétique inhabituelle ou simplement d’un endroit où l’imagination prend le dessus, Hoia Baciu continue de fasciner. Elle rappelle, à sa manière, combien la frontière entre le réel et le mystérieux peut parfois s’effacer, surtout dans un lieu aussi chargé d’histoire que la Transylvanie.

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Le mystère de l'Arche d'Alliance : une découverte secrète par la CIA ?

Le mystère de l'Arche d'Alliance : une découverte secrète par la CIA ?

Depuis des siècles, la localisation de l’Arche d’Alliance – ce coffre sacré censé contenir les tables originales des Dix Commandements – demeure un mystère non résolu. Si certains doutent même de son existence, d’autres y voient l’un des plus grands trésors spirituels et historiques de l’humanité. Mais un ensemble de documents déclassifiés de la CIA, datant des années 1980, relance aujourd’hui le débat. Ces textes évoquent une découverte possible de l’Arche dans le cadre d’un programme gouvernemental pour le moins surprenant : la vision à distance.

À l’origine de ces révélations, des participants à un projet secret de la CIA connu sous le nom de "Stargate Project". Ce programme, lancé en pleine Guerre froide, visait à développer les capacités de perception extrasensorielle chez certains individus, dans l’espoir de rivaliser avec des initiatives soviétiques similaires. Ces "espions psychiques", entraînés à voir à distance des lieux ou des objets qu’ils ne pouvaient percevoir par des moyens conventionnels, auraient affirmé avoir localisé l’Arche d’Alliance dans un lieu tenu secret, à l’issue de leurs expériences.

Selon les récits bibliques, l’Arche fut fabriquée par les Israélites peu après leur sortie d’Égypte, au XVe siècle avant notre ère. Moïse y aurait déposé les tables de pierre sur lesquelles Dieu grava les Dix Commandements. Objet de vénération, elle symbolisait l’alliance entre Dieu et son peuple. Sa disparition, au fil des siècles, a alimenté d’innombrables spéculations : certains la cherchent en Éthiopie, d’autres dans les ruines de Jérusalem, ou encore sous les sables d’anciennes cités du Moyen-Orient.

L’hypothèse selon laquelle des agents formés à la clairvoyance auraient pu repérer l’Arche dépasse le cadre des enquêtes historiques traditionnelles. Elle soulève des questions autant sur la nature de la recherche psychique que sur la véracité de cette prétendue découverte. Aucune preuve tangible n’a jamais été rendue publique, et la CIA elle-même n’a jamais confirmé avoir localisé un tel artefact.

Malgré cela, ces documents relancent l’imaginaire collectif autour d’un objet à la frontière du sacré, de l’histoire et du mythe. Si l’Arche d’Alliance existe encore quelque part, il est probable que son secret reste jalousement gardé – hors de portée, dans un silence aussi ancien que les textes qui l’ont fait naître.

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samedi 26 juillet 2025

Découverte d’un squelette géant dans un tumulus de l’Iowa – Une énigme archéologique datant de 1897

Découverte d’un squelette géant dans un tumulus de l’Iowa – Une énigme archéologique datant de 1897

En novembre 1897, le journal The Worthington Advance rapportait une découverte singulière dans l’État de l’Iowa, aux États-Unis. Lors de fouilles menées par la Division des Tumuli de l’Est, une branche de la Smithsonian Institution, les scientifiques mirent au jour un squelette d’une taille exceptionnelle.

Selon l’article, cette dépouille mesurait, d’après des mesures précises effectuées sur place, près de sept pieds et six pouces de haut — soit environ 2,29 mètres. L’état de conservation était toutefois précaire : les ossements, une fois exposés à l’air libre, se seraient rapidement désagrégés, ne laissant que peu de traces tangibles pour une étude approfondie.

Le directeur du Bureau d’Ethnologie de l’époque, John Wesley Powell, dont les travaux ont marqué la recherche ethnographique américaine, fut cité dans ce contexte, bien que les archives officielles restent silencieuses sur la suite donnée à cette découverte.

Ce type de trouvaille s’inscrit dans une série d’observations similaires, rapportées à la fin du XIXe siècle, lors de l’exploration de nombreux tumuli précolombiens disséminés dans le Midwest américain. Ces structures, érigées par des peuples autochtones depuis des siècles, constituent encore aujourd’hui une énigme archéologique majeure.

Si certains chercheurs contemporains suggèrent des erreurs de mesure ou des exagérations dans les récits de l’époque, d’autres s’interrogent sur la disparition ou le silence entourant certaines de ces découvertes. Le cas du squelette géant de l’Iowa reste, à ce jour, l’un des nombreux mystères liés aux anciens tumulus nord-américains.

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lundi 21 juillet 2025

Cette possession a été filmée : Le cas Maurice Thériault


Maurice Thériault, un homme apparemment ordinaire, va devenir malgré lui le centre d’un des cas de possession démoniaque les plus glaçants du XXe siècle. Entre comportements inexplicables, forces surnaturelles et phénomènes violents, son histoire va pousser les autorités religieuses à une décision inédite : filmer l'exorcisme. Une première mondiale, pour tenter de comprendre — et de prouver — l'impensable.


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Mystérieuses attaques de bétail à Tlacotepec de Benito Juárez : la rumeur du Chupacabra refait surface

Mystérieuses attaques de bétail à Tlacotepec de Benito Juárez : la rumeur du Chupacabra refait surface

Tlacotepec de Benito Juárez, Puebla – Une série d’attaques nocturnes sur des animaux d’élevage suscite l’inquiétude dans cette région rurale du sud-est du Mexique. Des agriculteurs et éleveurs de Tlacotepec de Benito Juárez et des villages voisins affirment avoir retrouvé des poules, des moutons et d’autres animaux morts, démembrés, présentant de profondes morsures attribuées à une créature inconnue.

Ces incidents ont donné lieu à une vague de rumeurs sur la présence du légendaire Chupacabra, une créature mythique bien ancrée dans le folklore latino-américain, réputée pour attaquer le bétail, notamment les chèvres, pour en sucer le sang.

Sur les réseaux sociaux, plusieurs vidéos au contenu particulièrement choquant ont circulé, montrant les cadavres d’animaux mutilés. Dans l’un des cas les plus marquants, un éleveur affirme avoir retrouvé vingt de ses moutons morts dans un enclos pourtant parfaitement clôturé. "Il n’y avait aucun signe d’effraction. C’est comme si la chose s’était volatilisée après le massacre", a-t-il déclaré à la presse locale.

Jusqu’à présent, seuls des moutons et des poules ont été attaqués, mais la peur gagne les exploitations avoisinantes. Les propriétaires de vaches, de dindes et surtout de chèvres craignent que le mystérieux prédateur ne s’en prenne bientôt à leurs bêtes.

Les autorités locales ont ouvert une enquête pour tenter d’identifier l’auteur de ces attaques. Elles appellent à la prudence et exhortent les habitants à ne pas agir de manière précipitée. Deux chiens ont récemment été retrouvés morts, apparemment empoisonnés, possiblement par des éleveurs en colère.

Bien que certains éléments laissent penser à l’intervention d’animaux sauvages ou errants, la croyance populaire autour du Chupacabra reste tenace. Pour beaucoup, cette créature insaisissable demeure le coupable idéal – ou, pour certains, une menace bien réelle.

Les autorités poursuivent leurs investigations, tandis que dans les campagnes de Puebla, le mystère alimente à nouveau les récits nocturnes et les veilles inquiètes.

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dimanche 20 juillet 2025

Le ministre des Transports irakien affirme que les Sumériens ont lancé des vaisseaux spatiaux il y a 7 000 ans

Le ministre des Transports irakien affirme que les Sumériens ont lancé des vaisseaux spatiaux il y a 7 000 ans

Bagdad – Lors d’une conférence de presse tenue cette semaine, le ministre des Transports irakien, Kazem Finjan al-Hamami, a surpris l’assistance en déclarant que les Sumériens, civilisation mésopotamienne antique, auraient lancé des vaisseaux spatiaux vers d’autres planètes il y a environ 7 000 ans.

S'exprimant dans la ville de Dhi Qar, non loin des ruines de l’ancienne cité sumérienne d’Ur, le ministre a affirmé que cette région « était le centre de la navigation spatiale à l’époque sumérienne ». Il a évoqué des recherches « menées par des experts irakiens et internationaux » pour appuyer ses propos, bien qu’aucune publication scientifique officielle ne vienne à ce jour corroborer ces affirmations.

Le ministre a notamment cité des travaux attribués à des chercheurs et historiens occidentaux, sans toutefois mentionner de sources précises. Selon lui, les Sumériens auraient conçu des engins capables de voyager dans l’espace, bien avant l’ère moderne. Il a également suggéré que des éléments de cette technologie ancienne seraient encore enfouis sur les sites archéologiques du sud de l’Irak.

Ces déclarations ont rapidement suscité de vives réactions, tant dans les milieux scientifiques que sur les réseaux sociaux. De nombreux experts en archéologie et en histoire ancienne ont exprimé leur scepticisme, rappelant qu’aucune preuve tangible ne vient étayer l’hypothèse d’un quelconque programme spatial sumérien.

Les Sumériens, civilisation florissante de la basse Mésopotamie entre le IVe et le IIIe millénaire avant notre ère, sont largement reconnus pour leurs contributions majeures dans des domaines tels que l’écriture, les mathématiques, l’astronomie et l’organisation sociale. Toutefois, aucune découverte archéologique connue à ce jour ne permet de conclure qu’ils auraient maîtrisé la technologie spatiale.

Cette sortie du ministre intervient dans un contexte où l’Irak tente de mettre en valeur son riche patrimoine historique, parfois au risque de brouiller la frontière entre mythe et réalité scientifique. Pour l’instant, aucune clarification officielle n’a été apportée par le gouvernement irakien à ce sujet.

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Khloé Kardashian évoque des phénomènes paranormaux et une rencontre avec un OVNI

Khloé Kardashian évoque des phénomènes paranormaux et une rencontre avec un OVNI

Los Angeles — Dans un épisode récent de son podcast, Khloé Kardashian a fait des révélations surprenantes sur des expériences qu’elle qualifie de paranormales, affirmant notamment avoir vu un objet volant non identifié alors qu’elle conduisait en compagnie de sa meilleure amie, Malika Haqq.

Les faits remonteraient à plusieurs années. « On roulait depuis un moment, et j’ai vu quelque chose dans le ciel », raconte la star de télé-réalité. « J’ai crié "Oh mon Dieu, Malika !" mais elle n’a pas regardé à temps. Et la chose a juste… disparu. » Malika n’aurait pas été témoin de la scène, mais cela n’empêche pas Khloé d’y croire fermement. « Je n’ai jamais revu d’OVNI depuis, mais je suis convaincue que les extraterrestres existent », affirme-t-elle.

Au-delà de cette rencontre inexpliquée, Khloé Kardashian affirme vivre régulièrement des phénomènes étranges. « J’entends souvent la voix d’un homme alors qu’il n’y a personne chez moi », confie-t-elle. Sa fille, True, aurait elle aussi été témoin de manifestations étranges. « Elle a vu le fantôme d’une petite fille, et une dame avec une voix bizarre », explique Khloé, précisant qu’elles ont pensé qu’il s’agissait de la mère décédée de Tristan Thompson, l’ancien compagnon de la star.

Les propos de Khloé Kardashian relancent les discussions autour du paranormal dans un monde où réalité et fiction se croisent souvent, notamment dans l’univers de la télé-réalité. Si certaines déclarations peuvent prêter à sourire, elles traduisent aussi un intérêt croissant pour les phénomènes inexpliqués, y compris chez les célébrités les plus médiatisées.

Alors, les extraterrestres sont-ils eux aussi captivés par les aventures des Kardashian ? La question reste ouverte.

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Un cinéaste britannique affirme que le Royaume-Uni détient des débris d'ovnis

Un cinéaste britannique affirme que le Royaume-Uni détient des débris d'ovnis

Mark Christopher Lee, cinéaste indépendant et chercheur passionné d’ufologie, affirme avoir récemment rencontré un lanceur d’alerte qui lui aurait confié une information explosive : le Royaume-Uni aurait récupéré au moins trois engins d’origine inconnue, écrasés sur son territoire ou dans ses eaux au fil des décennies.

Selon les révélations de Lee, ces objets seraient liés à trois incidents distincts, dont le mystérieux Pentyrch UFO Incident, survenu au Pays de Galles le 26 février 2016. Ce soir-là, plusieurs témoins ont rapporté avoir observé une énorme pyramide lumineuse dans le ciel, suivie de fortes explosions et d’une activité militaire inhabituelle dans la région. Officiellement, l’armée avait parlé d’un simple exercice militaire, mais depuis, des passionnés d’ufologie dénoncent une opération de dissimulation.

Le second cas évoqué serait lié à un crash supposé en Écosse — dont les détails n’ont pas été précisés — et le troisième à un incident datant de 1969, au large de Blackpool, où un objet volant non identifié aurait sombré dans les eaux britanniques.

Mark Christopher Lee va plus loin : il suggère que ces technologies exotiques auraient été analysées et rétro-ingénierées par le gouvernement britannique, permettant ainsi la création de technologies avancées testées en secret. Une affirmation qui, si elle se confirmait, relèverait du plus grand secret d’État depuis la guerre froide.

Interrogé sur ces allégations, un porte-parole du Ministère de la Défense (MoD) a déclaré que le gouvernement « n’a pas d’opinion sur l’existence d’une vie extraterrestre » et a rappelé que depuis 2009, le MoD ne mène plus d’enquêtes sur les signalements d’OVNI.

Face à ce silence officiel, Mark Christopher Lee envisage de produire un nouveau documentaire, dans la lignée de ses précédents travaux, pour donner la parole aux témoins et aux sources confidentielles. « Le public a le droit de savoir », martèle-t-il.

Vérité ou désinformation ? L’affaire ne manquera pas d’alimenter les débats entre sceptiques et passionnés de phénomènes inexpliqués. Une chose est sûre : l’ombre des OVNIs plane toujours sur le ciel britannique.

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samedi 19 juillet 2025

Ross Coulthart affirme : le “Tic Tac” de 2004 serait une technologie secrète de Lockheed Martin

Ross Coulthart affirme : le “Tic Tac” de 2004 serait une technologie secrète de Lockheed Martin

Dans un récent épisode de podcast qui fait déjà grand bruit dans les cercles ufologiques et les sphères de la défense, le journaliste d’investigation australien Ross Coulthart, spécialiste reconnu des dossiers liés aux objets volants non identifiés (OVNI), a jeté un pavé dans la mare.

Il affirme désormais avec certitude que l’étrange engin observé en 2004 par des pilotes de la marine américaine au large de la Californie — un incident désormais célèbre sous le nom de "sighting Tic Tac" — serait en réalité une technologie avancée développée par le géant de l’aéronautique Lockheed Martin.

« Je sais désormais de façon catégorique que le Tic Tac est Lockheed Martin », a déclaré Coulthart, sans ambages, lors de l’émission. Une affirmation lourde de conséquences, qui s’oppose à des années de spéculations sur une origine extraterrestre de l’objet, connu pour ses déplacements défiant les lois de la physique conventionnelle.

L’incident du "Tic Tac" est devenu emblématique dans la culture ufologique. En novembre 2004, plusieurs pilotes expérimentés, opérant à partir du porte-avions USS Nimitz, ont intercepté un objet blanc, de forme oblongue, capable d’accélérations fulgurantes, d’arrêts instantanés et de mouvements apparemment sans propulsion visible.

Mais là où l’affaire prend un tournant encore plus vertigineux, c’est lorsque Coulthart évoque les avancées supposées des États-Unis dans le domaine de la « gravité électromagnétique ».

« Je suis de plus en plus convaincu que les États-Unis ont réalisé des progrès en électro-gravité », a-t-il affirmé. « Des développements ont eu lieu, des percées ont été réalisées dans les années 1960. »

Selon lui, ces découvertes auraient été conservées dans l’ombre, développées à l’abri des regards dans ce que les spécialistes appellent le “black budget” — les programmes militaires ultra-secrets, hors du contrôle du Congrès ou du public.

« Ce que je soupçonne, c’est qu’il y a des personnes dans l’establishment de la sécurité nationale qui justifient ces actes par une “noble cause”, même lorsqu’il s’agit de s’approprier de la technologie », a-t-il ajouté, suggérant qu’une partie de ces avancées pourrait provenir d’un reverse engineering sur des technologies non conventionnelles — voire exotiques.

Pour autant, comme souvent avec Ross Coulthart, les déclarations chocs ne sont pas systématiquement accompagnées de preuves irréfutables. L’enquêteur, dont le travail a contribué à faire avancer le débat sur la transparence gouvernementale en matière d’OVNI, garde certaines de ses sources sous silence, invoquant la confidentialité ou la sécurité nationale.

Ces révélations surviennent dans un contexte où les États-Unis, par le biais de plusieurs commissions au Congrès, réexaminent activement les témoignages de pilotes, d’anciens agents du renseignement et d’ingénieurs de l’aérospatiale sur la réalité de programmes secrets portant sur des technologies “non humaines”.

La thèse avancée par Coulthart, si elle s’avérait exacte, poserait de sérieuses questions : pourquoi de telles technologies — potentiellement révolutionnaires pour l’énergie, les transports ou la défense — sont-elles gardées secrètes ? Et dans quel but ?

En attendant de nouveaux éléments, le mystère du "Tic Tac" continue d’alimenter les spéculations… terrestres cette fois.

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Mystérieux triangle noir dans le ciel de l’Arkansas : une apparition inexpliquée le soir du 4 juillet

Mystérieux triangle noir dans le ciel de l’Arkansas : une apparition inexpliquée le soir du 4 juillet

Alors que les festivités du 4 juillet battaient leur plein dans la petite ville de Melbourne, en Arkansas, un résident affirme avoir été témoin d’un phénomène aussi fascinant qu’inquiétant. Vers 22h35, un étrange objet volant de forme triangulaire aurait stationné silencieusement au-dessus de sa maison pendant près de deux minutes, avant de disparaître à une vitesse fulgurante.

Le témoin, un habitant de longue date de Melbourne, se trouvait dans son jardin, prêt à lancer des feux d’artifice en compagnie de sa petite-fille, lorsque l’événement s’est produit. « Je me suis retourné pour voir si ma femme arrivait et c’est là que je l’ai vu, juste au-dessus de notre maison », a-t-il déclaré. L’objet, selon ses dires, était de couleur noire, en forme de triangle, d’une taille estimée à une quinzaine de mètres de large, et semblait se tenir en suspension à environ 90 mètres d’altitude.

L’homme évoque un silence total, aucune vibration, aucun bruit moteur. L'engin était doté de lumières, mais aucune mention n’a été faite de leur couleur ou de leur mouvement. « Il est resté là, parfaitement immobile, pendant ce qui m’a paru être une minute et demie, peut-être deux. Puis, d’un seul coup, il est monté en biais et a disparu en une seconde. »

Ce type de témoignage n’est pas sans rappeler de nombreuses observations similaires rapportées à travers les États-Unis depuis plusieurs décennies : des engins triangulaires noirs, souvent silencieux, volant à basse altitude, parfois associés à des lumières blanches ou rouges. Les sceptiques évoquent des prototypes militaires classifiés, comme le fameux projet Aurora, tandis que d'autres penchent pour des origines plus… exotiques.

Le témoin, profondément troublé par cette expérience, regrette surtout que sa femme n’ait pas été présente pour le voir elle aussi. « J’ai eu la chair de poule tout de suite. J’ai su ce que c’était. Enfin, je savais que ce n’était pas quelque chose d’humain ordinaire. »

Aucune autre observation n’a, pour l’heure, été signalée dans la région de Melbourne ce soir-là. L’autorité locale, contactée par nos soins, n’a émis aucun commentaire officiel. De leur côté, les amateurs d’ufologie restent attentifs : une observation aussi nette, aussi précise, pourrait bien relancer le débat sur la présence d’objets volants non identifiés dans nos cieux.

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samedi 5 juillet 2025

Des extraterrestres hybrides parmi nous ? Les révélations du député américain Eric Burlison

Des extraterrestres hybrides parmi nous ? Les révélations du député américain Eric Burlison

C’est une déclaration qui secoue une fois de plus les fondations, déjà fragilisées, du discours officiel sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés. Le représentant républicain du Missouri, Eric Burlison, a récemment fait des révélations retentissantes sur les réseaux sociaux, affirmant que l’ancien officier du renseignement et lanceur d’alerte David Grusch lui aurait confié l’existence d’hybrides extraterrestres vivant actuellement parmi les humains.

Selon Burlison, Grusch — connu pour ses témoignages explosifs devant le Congrès en 2023 concernant des programmes secrets de récupération de vaisseaux non humains — aurait indiqué que l’ancien président Donald Trump avait été informé de manière “sensible” sur ce dossier. Un briefing que Trump aurait perçu comme “un événement existentiel” qui aurait profondément changé sa vision de la réalité.

“Il m’a dit que certains de ces hybrides étaient déjà sur Terre”, affirme Burlison dans une vidéo publiée sur X (anciennement Twitter). “Mais il n’a pas précisé s’ils étaient conscients de leurs origines.”

Nordiques et Gris : deux races, deux visages du mystère

Selon les dires rapportés par le député, Grusch aurait détaillé deux types d’êtres extraterrestres actuellement au cœur des préoccupations du renseignement américain :

  • Les “Nordiques”, humanoïdes à l’apparence proche de la nôtre, disposeraient d’une technologie plus avancée de quelques centaines d’années par rapport à la civilisation humaine.

  • Les “Grays”, célèbres figures de la culture ufologique, seraient quant à eux beaucoup plus évolués, capables notamment de piloter leurs engins par la pensée.

Grusch aurait également suggéré que les Nordiques seraient responsables du développement d’hybrides humains-extraterrestres, dont certains vivraient déjà sur notre planète.

Une information explosive… et une source discutable ?

L’inclusion de Donald Trump dans cette affaire ajoute une couche d’ambiguïté. Connu pour son franc-parler et son incapacité notoire à garder des secrets confidentiels, l’ancien président n’a jamais évoqué ce sujet publiquement. Cela laisse planer un doute sérieux sur la crédibilité de cette partie du récit.

Grusch, pour sa part, s’est attiré la sympathie de nombreux élus et citoyens curieux depuis ses premières révélations. Mais il a aussi été critiqué pour ses déclarations parfois jugées impossibles à vérifier ou basées sur des témoignages indirects.

Une narration qui alimente les doutes… et les fantasmes

Les déclarations de Burlison relancent le débat public sur la transparence des autorités américaines concernant les phénomènes inexpliqués. Elles renforcent aussi les craintes de certains analystes : ces affirmations, qu’elles soient vraies ou non, risquent d’alimenter les théories du complot déjà florissantes aux États-Unis et ailleurs.

Aucune confirmation officielle n’a été apportée par le Pentagone ou la Maison-Blanche. Trump, fidèle à lui-même, est resté silencieux.

Réalité cachée ou distraction spectaculaire ? Une chose est sûre : les révélations d’Eric Burlison donnent un nouveau souffle à l’un des mystères les plus fascinants — et controversés — de notre époque.

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La théorie de Danny Sheehan sur la guerre du Vietnam et les OVNI

La théorie de Danny Sheehan sur la guerre du Vietnam et les OVNI

Dans l’univers opaque des enquêtes sur les OVNIS, rares sont les voix aussi insistantes que celle de Danny Sheehan. Avocat chevronné et militant de longue date pour la transparence gouvernementale, Sheehan n’est pas un inconnu des milieux juridiques ou des cercles conspirationnistes. Mais ces dernières années, ses déclarations ont pris un tour encore plus saisissant. Selon lui, les États-Unis cacheraient depuis près de huit décennies une vérité fondamentale : celle d’un contact avec une intelligence extraterrestre.

Roswell, point de départ d’une dissimulation mondiale ?

Tout commence, selon Sheehan, en 1947, avec le célèbre incident de Roswell. L’armée américaine aurait récupéré un engin d’origine non terrestre, marquant le début d’une coopération secrète entre le Pentagone et la CIA. Cette alliance improbable aurait pour but de garder le contrôle exclusif de technologies extraterrestres — des artefacts capables de bouleverser l’équilibre des puissances militaires mondiales.

Mais pour Sheehan, le véritable choc vient de l’ampleur de cette dissimulation. Car selon lui, ce secret n’est pas seulement une affaire de science-fiction ou de documents classifiés : il aurait directement influencé la politique étrangère des États-Unis. Sa thèse : la guerre du Vietnam n’aurait pas uniquement été motivée par la peur du communisme, mais aussi par la volonté d’empêcher d’autres puissances – peut-être même d’autres civilisations – d’avoir accès à ces technologies révolutionnaires.

Karen Silkwood : une victime collatérale du silence ?

Sheehan pousse encore plus loin cette logique en invoquant le cas de Karen Silkwood. Chimiste et syndicaliste, elle est morte dans des circonstances troublantes en 1974 alors qu’elle s’apprêtait à révéler de graves manquements de l’entreprise nucléaire Kerr-McGee en matière de sécurité. Officiellement un accident de voiture. Mais pour Sheehan, Silkwood est bien plus qu’une lanceuse d’alerte du secteur nucléaire : elle incarne un exemple frappant de ce que l’État américain serait prêt à faire pour faire taire ceux qui approchent d’un trop grand secret.

« Il ne s’agit pas simplement de protéger des secrets industriels ou militaires, affirme-t-il dans plusieurs interviews récentes. Il s’agit de préserver une hégémonie technologique venue d’ailleurs. »

Une théorie qui gagne du terrain ?

Si ces affirmations peuvent paraître délirantes à première vue, elles trouvent un écho croissant dans une société où la confiance envers les institutions s’érode. Entre les révélations sur les programmes secrets du Pentagone liés aux phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN) et l’intérêt soudain des médias traditionnels pour ces questions, certains se demandent si les déclarations de Sheehan ne méritent pas au moins un examen critique.

Et pour ceux qui haussent les épaules face à de telles théories, Sheehan a une mise en garde : « Si vous pensez que ces menaces ne sont pas réelles, c’est que vous ne lisez pas l’actualité. »

Ligne rouge entre paranoïa et vérité ?

Reste une question fondamentale : où s’arrête la vérité et où commence la fiction ? La guerre du Vietnam, le programme nucléaire civil, les politiques de sécurité nationale… Tous ces domaines sont suffisamment opaques pour nourrir les hypothèses les plus vastes. Mais dans le sillage de figures comme Danny Sheehan, une frange de l’opinion publique semble décidée à demander des comptes — aussi vertigineuses que soient les questions posées.

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