Vol Ryanair Londres–Barcelone, altitude 10 000 mètres. Un passager pas comme les autres prend place à bord : invisible aux yeux de la plupart, mais pas de Chloé Smith. Médium reconnue au Royaume-Uni, elle affirme avoir vu un fantôme lui adresser un salut militaire en plein vol.
« Il était assis à côté d’un homme, cinq rangées devant moi »,
raconte Chloé Smith, encore troublée par l’expérience. « Il s’est
retourné vers moi, comme s’il savait que je pouvais le voir. » Le
geste était clair : un salut silencieux, une reconnaissance d’âme à
âme.
Pour Smith, ce genre de rencontre est presque banal. Elle dit
être visitée par des esprits « presque tous les jours » dans les
lieux les plus ordinaires : aéroports, hôtels, piscines. « Ils
trouvent toujours un moyen de me faire savoir qu’ils sont là. Une
main sur mon épaule, un regard soutenu, un objet déplacé... On
n’est jamais vraiment en vacances quand on est médium. Et surtout,
on n’est jamais vraiment seul. »
Quant à l’identité de ce passager fantomatique, Chloé ne veut
pas trancher. « C’était peut-être un ancien pilote, attaché à cet
avion, ou bien un proche venu rassurer un membre anxieux de sa
famille. Les raisons qui les retiennent ici sont multiples, mais
leur présence est souvent empreinte de bienveillance. »
Face à un monde de plus en plus nerveux à l’idée de voler,
l’idée d’un fantôme à bord pourrait sembler peu rassurante. Mais
pour Chloé Smith, au contraire, c’est parfois le signe d’une
protection invisible. « Ils ne sont pas là pour faire peur.
Souvent, ils veillent. »
Alors, la prochaine fois que vous embarquez pour une destination
ensoleillée, jetez un œil autour de vous. Si un salut vous est
adressé par un passager que seul vous semblez remarquer,
souvenez-vous : il s’agit peut-être d’un simple bonjour… ou d’un
adieu.
Un étrange objet volant non identifié (OVNI) a
récemment été repéré au-dessus du mont Shasta, en Californie, via
Google Maps. Visible sur une image satellite, l’objet semble
suspendu dans le ciel, juste au-dessus du sommet enneigé. Sa forme
discoïdale et métallique intrigue les internautes, certains y
voyant la preuve d’une présence extraterrestre, d'autres évoquant
une anomalie d'image. Le mont Shasta, lieu mystique et chargé de
légendes, est depuis longtemps associé à des phénomènes
paranormaux. Cette nouvelle observation ne fait qu’alimenter les
spéculations autour de cette montagne énigmatique.
Dans les vallées brumeuses des Hautes-Pyrénées, entre sources thermales et sommets enneigés, une prophétie oubliée semble défier le temps et l’entendement. Rédigée en l’an 1700 selon certains récits, la "Prophétie de Cauterets" ressurgit au début du XXe siècle, publiée dans Le Figaro au moment du déclenchement de la Grande Guerre. Ce texte énigmatique, découvert dans les archives de la ville thermale de Cauterets, dépeint avec une précision troublante non seulement l’arrivée des technologies modernes, mais aussi les grandes lignes du conflit mondial de 1914-1918.
Une anticipation saisissante de la modernité
La prophétie commence par deux vers aussi courts que
visionnaires :
"Quand les voitures sillonneront les routes sans chevaux
;
Quand on se parlera d'un bout à l'autre du monde ;"
Difficile de ne pas y voir une allusion directe à l’avènement de
l’automobile et des moyens de communication tels que le téléphone,
la radio et, plus récemment encore, Internet. En 1700, l’idée même
de se déplacer sans chevaux ou de parler à distance paraissait
purement fantaisiste. Et pourtant, ces vers prennent tout leur sens
à la lumière des évolutions technologiques du XXe et du XXIe
siècles.
Une chronologie glaçante de l’année 1914
Mais c’est surtout par sa description presque journalistique des
événements de 1914 que le texte fascine :
"En l’an 1914 :
Mai parlera de guerre,
Juin la décidera,
Juillet la déclarera,
Août, on verra des pleurs dans les yeux des épouses et des
mères…"
Cette séquence, aussi poétique qu’effrayante, suit fidèlement le
déroulement de l’été 1914 : les tensions diplomatiques de mai,
l’attentat de Sarajevo en juin, la mobilisation générale en juillet
et le déferlement de violence en août. Chaque mois semble résumé en
une phrase prophétique, comme un funeste calendrier déjà écrit.
"Octobre verra du sang jusqu'aux genoux dans trois
villes de Prusse", ajoute-t-elle, évoquant peut-être les
terribles combats de l'Est, tandis que "Novembre, un homme
blanc décidera la paix" laisse place à interprétation —
serait-ce une préfiguration de la diplomatie internationale, ou du
rôle d’un chef d’État ?
La conclusion, optimiste, annonce une France victorieuse et en
paix en décembre. Si l’Armistice n’eut lieu qu’en novembre 1918, la
prophétie semble condenser le conflit dans l’année 1914, comme si
le destin en était scellé dès le départ.
Prophétie ou habile supercherie ?
L’origine exacte du texte demeure floue. Aucune trace concrète
ne permet d’en authentifier la rédaction en 1700, et certains
historiens suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un canular littéraire
publié à posteriori, au début de la guerre, dans un climat propice
aux récits surnaturels et aux signes du destin. Le fait que
Le Figaro l’ait publié en 1914 tend à accréditer
son existence antérieure au conflit, mais le mystère reste entier
quant à son auteur.
Un écho fascinant
Aujourd’hui encore, la "Prophétie de Cauterets" intrigue et
inspire. Dans une époque où le monde semble parfois vaciller, elle
soulève des questions sur la possibilité d’une conscience hors du
temps, ou sur notre besoin collectif de trouver du sens dans le
chaos de l’Histoire. Qu’elle soit authentique ou construite de
toutes pièces, elle demeure un témoignage fascinant de l’imaginaire
collectif face à l’inconnu.
À Cauterets, nichée dans ses montagnes, la prophétie continue de
traverser les siècles, comme un murmure énigmatique venu d’un autre
temps.
Alors que la thèse dominante attribue les nombreux objets volants non identifiés (OVNIs) observés à la frontière américano-mexicaine à des drones utilisés par les cartels de la drogue, une voix discordante s’élève. Bob Thompson, vétéran de l’armée américaine et ancien agent des douanes et de la protection des frontières (CBP), affirme que la réalité pourrait être bien plus étrange… et plus inquiétante.
Invité d’un podcast spécialisé dans les phénomènes inexpliqués,
Thompson a dévoilé une vidéo inédite capturée début 2020 par un
avion de reconnaissance de la CBP près de la frontière de
l’Arizona. L’engin en question, surnommé The Cigar (« Le
Cigare ») en raison de sa forme cylindrique compacte, ne présentait
ni ailes, ni hélices, ni trace thermique détectable — un défi
sérieux pour l’hypothèse du drone.
« Ce n’est pas un drone de cartel », tranche Thompson. « Il
allait à une vitesse incroyable, sans faire le moindre bruit. »
Selon lui, l’appareil défiait les capacités technologiques connues,
civiles ou militaires. Il n’exclut cependant pas qu’il puisse
s’agir d’un missile expérimental, mais insiste : « Cela mérite une
enquête sérieuse. »
Plus troublant encore, Thompson affirme avoir interrogé plus
d’une centaine de collègues de la CBP ayant été témoins de
phénomènes similaires. « J’ai vu des orbes à l’horizon, des engins
en forme de cigare, des triangles… Ce ne sont pas des
hallucinations collectives », affirme-t-il.
Mais le point le plus déroutant de son témoignage concerne ce
que plusieurs agents qualifient de véritables « portails »
s’ouvrant dans le ciel. « Ce ne sont pas des ronds de fumée »,
précise Thompson. « Ce sont autre chose. On ne comprend pas ce que
c’est, mais c’est terrifiant. »
Les services frontaliers, souvent en première ligne des
questions sécuritaires, seraient-ils également en première ligne
d’un mystère plus vaste encore ? Faute de reconnaissance officielle
ou d’enquête fédérale, ces incidents restent cantonnés à des
rapports informels et des vidéos classées.
La communauté ufologique s’emballe, tandis que les autorités
restent silencieuses. Pour certains sceptiques, l’idée même
d’objets extraterrestres survolant le désert du Sonora frôle le
fantasme. Pour d’autres, c’est le silence officiel qui alimente le
plus les soupçons.
Et si certains plaisantent en se demandant quand les
extraterrestres passeront du cigare au vape pen, d’autres, comme
Thompson, ne rient pas. « Ce n’est pas une question de croyance.
C’est une question de faits. Et les faits, on les ignore trop
facilement. »
Dans une époque où les frontières deviennent des zones de haute
technologie, peut-être est-il temps d’ouvrir un autre type de
frontière : celle de notre compréhension.
En 1938, une équipe d'archéologues dirigée par un professeur
chinois découvre des squelettes de petite taille et des disques de
pierre gravés dans une langue inconnue dans les montagnes reculées
de Bayankara-Ula. Ces artefacts suscitent de nombreuses
spéculations et, quand ils finissent par être compris, les
autorités font tout pour étouffer l'affaire, car la vérité serait
trop perturbante pour être révélée…
Une découverte étrange dans les montagnes de
Bayankara-Ula
En 1938, l'archéologue chinois Chi Pu Tei
dirigeait une expédition dans une région montagneuse reculée à la
frontière entre la Chine et le Tibet, connue sous le nom de
Bayankara-Ula. Cette zone, peu explorée à
l’époque, recèle de grottes mystérieuses creusées à flanc de
falaise, semblables à des tombes anciennes. Ce que l’équipe y
découvre dépasse rapidement les frontières de la science officielle
: des squelettes mesurant à peine 1,20 mètre, au
crâne disproportionné, à l’allure fragile, mais surtout
différents de toute population humaine connue.
À leurs côtés, des objets en pierre en forme de
disques – plus tard nommés les disques de
Dropa – sont mis au jour. Ces disques, de la taille d’un
33 tours, possèdent un trou en leur centre et sont gravés
de minuscules caractères spiralés qui défient toute
identification linguistique classique.
Des artefacts incompréhensibles… puis
traduits
Durant des années, ces disques intriguent les chercheurs. Il
faut attendre les années 1960 pour qu’un autre scientifique
chinois, Tsum Um Nui, affirme avoir
déchiffré les inscriptions. Selon sa traduction,
les disques raconteraient l’histoire d’un peuple venu d’un
autre monde, écrasé sur Terre il y a des milliers
d’années. Ces étrangers, appelés les Dropa, se
seraient retrouvés isolés dans les montagnes, sans possibilité de
retour, et auraient tenté de coexister avec les tribus locales.
Ce récit, à la fois troublant et fascinant, contredit de
nombreuses certitudes historiques et archéologiques. Il insinue une
présence extraterrestre ancienne sur Terre et
l’existence d’un contact oublié avec une civilisation d’un autre
monde. Une telle hypothèse, si elle était avérée,
bousculerait les fondements mêmes de notre compréhension de
l’histoire humaine.
Silence officiel et disparition des
preuves
Peu de temps après la publication de la traduction de Tsum Um
Nui dans un journal scientifique de Pékin, les autorités
chinoises réagissent étrangement : l’article est
rapidement censuré, Tsum Um Nui est discrédité, et les disques sont
retirés des collections visibles au public.
Plusieurs témoins affirment qu’ils auraient été entreposés dans un
musée de Xi’an avant de disparaître
mystérieusement.
L’affaire des Dropa devient alors un sujet tabou. La Chine, en
pleine mutation politique, étouffe toute tentative d’étude
indépendante, craignant peut-être que cette histoire ne
serve de prétexte à des récits conspirationnistes ou à des
croyances jugées dangereuses.
Entre mythe et vérité : que faut-il croire
?
Aujourd’hui, l’histoire du “Roswell chinois”
divise les chercheurs. Pour certains, tout cela n’est qu’un
canular bien ficelé, nourri par l’imaginaire
ufologique du XXe siècle. Ils pointent du doigt l'absence de
preuves matérielles solides, la disparition soudaine des disques,
et le flou autour de l'existence même de Tsum Um Nui (qui
n'apparaît dans aucun registre officiel connu). D'autres,
cependant, rappellent que de nombreuses découvertes
archéologiques ont été volontairement mises sous silence à
travers l'histoire, lorsqu'elles remettaient en cause les dogmes
établis.
Des chercheurs indépendants continuent à traquer les traces de
cette affaire. Certains affirment avoir vu des photos des disques,
d'autres parlent de documents classifiés, et des légendes locales
tibétaines semblent évoquer une époque où des “êtres venus
des étoiles” auraient vécu dans les montagnes.
Conclusion : une vérité trop dérangeante
?
L’affaire de Bayankara-Ula soulève une question fondamentale :
jusqu’où les autorités sont-elles prêtes à aller pour
protéger une version officielle de l’histoire ? Que cette
histoire soit vraie, exagérée, ou pure invention, elle révèle une
chose : notre fascination pour l’inconnu, pour l’idée que nous ne
sommes peut-être pas seuls – ni aujourd’hui, ni hier.
Dans un monde où les découvertes scientifiques se heurtent
parfois aux intérêts politiques et culturels, l’énigme des Dropa
reste un rappel troublant : la vérité ne se trouve
pas toujours là où l’on nous dit de la chercher.
Dans un monde où la frontière entre science et spiritualité semble de plus en plus ténue, une déclaration récente vient secouer les sphères diplomatiques, religieuses et ufologiques. Daniel Sheehan, avocat de renom, militant politique et fervent défenseur de la divulgation des dossiers sur les objets volants non identifiés (OVNI), affirme que le pape actuel, Leo XIV, pourrait devenir le souverain pontife qui ouvrira enfin les archives secrètes du Vatican sur les extraterrestres.
Dans une interview accordée à un média indépendant spécialisé
dans les divulgations gouvernementales, Sheehan – qui fut également
conseiller du Vatican et de la Maison-Blanche dans les années 1970
– soutient que le pape Leo XIV souhaite réconcilier foi et science
dans une perspective résolument tournée vers l’avenir. Une démarche
qui, selon lui, placerait le Vatican à l’avant-garde d’un
bouleversement civilisationnel : la reconnaissance officielle d’une
intelligence non humaine dans l’univers.
Un héritage astronomique
L’annonce a de quoi surprendre, mais elle s’appuie sur une
continuité historique. Sheehan rappelle en effet que le
prédécesseur spirituel de l’actuel souverain pontife, le pape Leo
XIII (et non Leo XII, comme parfois rapporté), avait fondé en 1891
l’Observatoire du Vatican. Un geste visionnaire qui, dès l’époque,
avait nourri les spéculations sur les véritables intérêts
astronomiques du Saint-Siège.
« Il existe depuis longtemps au sein de l’Église un courant
intellectuel qui considère que la découverte d’une vie
extraterrestre ne contredirait pas la foi catholique », explique
Sheehan. « Le pape Leo XIV s’inscrit dans cette lignée. Il veut
créer un dialogue profond entre la théologie et la cosmologie
moderne. »
Un pont entre deux mondes
Selon l’avocat, qui avait personnellement été chargé par le
président américain Jimmy Carter dans les années 1970 de dialoguer
avec des responsables du Vatican au sujet des OVNI, cette ouverture
papale pourrait être historique. Rappelons que Jimmy Carter
lui-même avait rapporté avoir observé un OVNI dans les années 1960,
et s’était engagé lors de sa campagne présidentielle à faire toute
la lumière sur ces phénomènes.
« Je pense que le pape Leo XIV est prêt à aller là où aucun
autre pape n’a osé aller, » affirme Sheehan. « Il veut moderniser
l’Église en l’alignant sur les grandes vérités émergentes de notre
époque, dont l’existence probable d’une civilisation extraterrestre
avancée. »
Une coopération transatlantique en vue ?
Mais le projet du pape ne se limiterait pas aux murs du Vatican.
Sheehan suggère qu’une telle démarche pourrait aussi faire pression
sur le gouvernement américain pour qu’il déclassifie davantage de
ses propres dossiers sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés
(PAN). Selon lui, l’actuel président des États-Unis pourrait voir
dans une collaboration avec le Vatican une occasion politique sans
précédent : être celui qui dévoile officiellement l’existence d’un
contact extraterrestre à l’humanité.
« Si le pape s’exprime publiquement sur ce sujet, cela pourrait
créer un précédent moral et spirituel si puissant que les
gouvernements n’auront plus le choix », estime-t-il.
Une Église en mutation
Au sein du Vatican, aucune déclaration officielle n’a encore été
faite à ce sujet. Mais plusieurs analystes observent une ouverture
croissante des autorités religieuses aux sujets jusqu’ici jugés
tabous. Des jésuites influents de l’Observatoire du Vatican ont
déjà déclaré par le passé que l’idée d’une vie extraterrestre
n’était pas incompatible avec la doctrine chrétienne.
Alors que le monde entre dans une nouvelle ère de transparence
sur les phénomènes inexpliqués, la voix de Rome pourrait bien
s’avérer déterminante. Et si Sheehan voit juste, l’humanité
pourrait se trouver à l’aube d’un dialogue inespéré entre les
étoiles et les autels.
Légende - Photo Wabbuh, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=165186581
Un témoignage troublant vient s’ajouter à la longue liste des signalements d’objets volants non identifiés répertoriés par le National UFO Reporting Center (NUFORC). Le 22 mai 2025, à 14h20 heure locale, un ancien technicien aéronautique de la Royal Navy affirme avoir été le témoin d’un phénomène aussi bref que stupéfiant dans le ciel de Johnstown, au Pays de Galles.
Alors qu’il était assis dehors pour fumer une cigarette, l’homme
– dont l'identité n’a pas été divulguée – a observé pendant environ
cinq secondes trois lumières blanches, disposées en triangle, se
déplaçant à très haute altitude et à une vitesse estimée à
plusieurs milliers de kilomètres par heure.
« Ce n’était ni un satellite, ni un avion », affirme le
témoin dans sa déposition au NUFORC. Fort de ses sept années de
service en tant que technicien principal dans la marine
britannique, il insiste sur le fait que le comportement des objets
ne correspondait à aucun mouvement aérien conventionnel. « La
vitesse n’avait rien à voir avec ce que j’ai pu observer en
service. Et il n’y avait absolument aucun bruit »,
précise-t-il.
Détail intrigant : l’un des trois objets aurait dévié légèrement
de sa trajectoire, laissant penser qu’il ne s’agissait pas d’un
seul appareil triangulaire doté de trois lumières, mais bien de
trois engins distincts, évoluant en formation – ou presque.
L’observation, bien que brève, soulève de nombreuses questions.
L’altitude des objets, jugée trop élevée pour en estimer la
distance avec précision, pourrait se situer à « plusieurs milliers
de pieds », selon l’ex-militaire. Mais c’est le silence absolu et
l’accélération fulgurante qui semblent avoir le plus marqué ce
témoin expérimenté. « J’étais bouche bée. Je n’ai aucune idée
de ce que cela pouvait être. C’était tout simplement
incroyable », conclut-il dans son rapport.
Dans une ambiance mêlant ferveur religieuse et curiosité scientifique, le corps de Sainte Thérèse d’Avila, mystique carmélite du XVIe siècle, a récemment été exposé au public dans la basilique de l’Annonciation de Notre-Dame du Mont Carmel. Décédée en 1582, la sainte espagnole est au cœur d’une croyance profondément enracinée dans la tradition catholique : l’incorruptibilité. Ce phénomène spirituel, selon lequel le corps de certains saints ne se décomposerait pas après la mort, est considéré par de nombreux fidèles comme un signe de sainteté divine.
Pourtant, cette réouverture du tombeau se déroule dans un
contexte particulier. Pour la première fois depuis plus d’un
siècle, des chercheurs sont autorisés à examiner le corps momifié
de la sainte afin d’élucider les raisons de sa surprenante
conservation. Une initiative qui ne manque pas de susciter des
débats, entre foi, science et scepticisme.
Un corps « intact »... ou presque
Des photos de l’exhumation précédente, datant de 1914, ont été
comparées aux images actuelles du corps. Mais la comparaison se
heurte à une difficulté technique : les clichés de l’époque sont en
noir et blanc, rendant les analyses visuelles peu concluantes. « Il
est difficile de juger l’état réel de conservation simplement à
partir d’images anciennes », concède l’un des experts présents sur
place, sous couvert d’anonymat.
Autre source de controverse : le corps de Sainte Thérèse n’est
pas complet. Au fil des siècles, plusieurs parties – dont son cœur,
un bras, une main et une dent – ont été prélevées et dispersées à
travers le monde catholique comme reliques. Une pratique courante à
l’époque, mais qui compromet aujourd’hui l’intégrité du corps et
pose un défi supplémentaire aux chercheurs.
Une sainteté sous la loupe scientifique
Les premières observations indiquent que le corps présente une
momification naturelle, un phénomène qui, bien que rare, n’est pas
inédit. L’humidité, la température, et les conditions de
l’inhumation pourraient en être les causes. Mais pour les croyants,
il ne fait aucun doute que l’état du corps est d’origine divine. «
C’est un miracle, tout simplement. Thérèse est restée intacte par
la volonté de Dieu », affirme María del Pilar, une pèlerine venue
de Séville.
Les scientifiques, quant à eux, restent prudents. Des analyses
biologiques et chimiques sont en cours pour tenter de déterminer
les facteurs réels de cette conservation exceptionnelle. En
attendant, les sceptiques dénoncent ce qu’ils considèrent comme un
mythe pieux reposant sur des bases fragiles. « Tant que la science
n’aura pas livré ses conclusions, parler d’incorruptibilité reste
prématuré », insiste un anthropologue espagnol spécialisé dans les
momies historiques.
Un baptême du feu pour le nouveau pape
Cette affaire tombe à un moment symbolique pour l’Église
catholique, alors que le pape récemment élu, Léon XIV, entame son
pontificat. La gestion de ce dossier sensible, à la croisée des
croyances populaires et des investigations scientifiques, pourrait
bien être son premier grand test. Doit-il soutenir la tradition de
l’incorruptibilité ou encourager une approche plus rationnelle ? La
réponse pourrait donner le ton d’un pontificat attendu entre
modernité et fidélité aux dogmes anciens.
Légende - Photo Tiberioclaudio99, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=607324
Une nouvelle révélation d’un haut gradé américain relance le débat sur la transparence du gouvernement des États-Unis face au phénomène OVNI. Dans un rapport explosif publié par la Sol Foundation, un centre de recherche dédié aux phénomènes anormaux non identifiés (ou UAPs en anglais), le colonel à la retraite Karl E. Nell, aujourd’hui cadre dirigeant dans l’aérospatiale, affirme que les États-Unis – à travers des agences gouvernementales et des entreprises privées – détiendraient des matériaux et technologies « potentiellement non humains ».
Ces artefacts, prétendument récupérés lors d’incidents
impliquant des objets volants non identifiés, seraient étudiés dans
un vide juridique et politique, échappant à tout
contrôle civil ou législatif. Le témoignage de
Nell, loin d’être isolé, s’ajoute à une série de déclarations de
responsables militaires et du renseignement qui, ces dernières
années, réclament une plus grande transparence sur un sujet
longtemps cantonné aux marges du discours officiel.
Une loi pour sortir de l’ombre
Pour faire face à cette opacité, le colonel Nell soutient
activement le Unidentified Anomalous Phenomena Disclosure
Act. Cette proposition de loi vise à établir une
commission civile indépendante, dotée d’un accès
illimité à toutes les informations classifiées relatives aux UAPs.
Cette instance aurait également pour mission d’évaluer les
implications en matière de défense et de sécurité nationale.
Le texte prévoit même que le pouvoir exécutif puisse
invoquer le droit d’expropriation (eminent domain) pour
récupérer ces objets, si ceux-ci sont entre les mains d’acteurs
privés. Autre innovation majeure : un plan de divulgation
contrôlée, permettant de préparer les autorités, les
citoyens et la communauté internationale à l’impact d’éventuelles
révélations majeures.
Trop de plans, pas assez d’actions ?
Mais alors que les annonces se multiplient, une question demeure
: la divulgation est-elle freinée par une surabondance de
comités et de stratégies, au détriment d’actions concrètes
?
Pour certains analystes, les efforts législatifs en cours
représentent un tournant historique, un premier pas vers la vérité.
Pour d’autres, il ne s’agit que de poussière jetée aux yeux
du public pour gagner du temps, éviter la panique… ou
préserver des intérêts bien moins nobles que la recherche
scientifique.
La Sol Foundation appelle à faire de cette divulgation un projet
global, diplomatique, partagé. Mais entre les
enjeux de sécurité, les répercussions géopolitiques et les
bouleversements culturels potentiels, l’humanité est-elle vraiment
prête à entendre que nous ne sommes peut-être pas seuls ?
En 1980, Coluche faisait trembler la République avec sa candidature à l’élection présidentielle. Mais peu se souviennent qu’un autre trublion du rire, Pierre Dac, avait, 16 ans plus tôt, déjà tenté l'aventure. C’était en 1965. L’humoriste à la moustache en guidon de vélo avait alors créé le MOU, le Mouvement Ondulatoire Unifié, un parti farfelu, mais sa candidature fit trembler bien des certitudes.
Un parti qui ne manquait pas d’ondes
Lorsque Pierre Dac annonce sa candidature, la surprise est
générale. Ce n’est pas un inconnu qui surgit des planches pour
amuser la galerie politique : l’homme est une figure respectée du
paysage humoristique français, artisan du « loufoque » et compagnon
de Francis Blanche. Avec son parti, le MOU, il promet de gouverner
selon « des principes ondulatoires susceptibles d’être redressés à
tout moment ».
Le programme, bien sûr, est délirant. Mais derrière les jeux de
mots et les slogans absurdes se cache une satire mordante du jeu
politique. L’humoriste tourne en ridicule les promesses creuses,
les alliances opportunistes, et les discours vides des
professionnels de la politique. Le MOU propose par exemple
d’instaurer la paix définitive entre les ascenseurs et les
escaliers mécaniques, ou encore d’imposer la sieste obligatoire
pour les membres du gouvernement.
Un canular qui devient sérieux
Ce qui devait n’être qu’une vaste plaisanterie devient peu à peu
un phénomène. Les médias relaient la candidature avec amusement,
mais le public y voit un souffle nouveau. Le ton est
rafraîchissant, les critiques font mouche. À une époque où
l’opposition est morcelée et le général de Gaulle solidement
installé au pouvoir, la figure de Dac séduit. Certains sondages
(non officiels) lui attribuent une popularité croissante, au point
de faire vaciller l’image sérieuse des autres candidats.
En coulisse, la nervosité monte. Le risque d’un vote
protestataire autour de Pierre Dac n’est plus à exclure. La classe
politique commence à s’inquiéter d’un effet de contamination
burlesque dans une élection jugée capitale.
L’appel du Général
C’est alors que le Général de Gaulle, informé de l’ampleur du
phénomène, aurait personnellement demandé à Dac de se retirer. Ce
dernier, qui avait combattu dans la Résistance et gardait un
profond respect pour le chef de la France libre, choisit
d’obtempérer. Par fidélité à celui qu’il appelait « le Grand
Charles », et conscient des risques d’une candidature satirique en
pleine guerre froide, Pierre Dac retire sa candidature dans la
discrétion.
L’épisode du MOU est ainsi rangé au rayon des souvenirs
drolatiques de la Ve République, mais il marque une étape
importante : celle où l’humour flirte avec le pouvoir, où la satire
devient instrument politique. En quelque sorte, il préfigure les
happenings de Coluche, les coups de gueule de Guillon, les
détournements d’un Stéphane Guillon ou les satires d’un Gaspard
Proust.
L’héritage d’un précurseur
Pierre Dac n’a jamais cessé de manier la langue pour mieux
désarmer l’absurde. En 1965, il prouvait qu’on pouvait rire de
tout, même d’une campagne présidentielle, sans jamais être
superficiel. Son retrait fut un geste de loyauté, mais son
initiative demeure une leçon de liberté. Dans une époque de
tensions politiques et de crispations idéologiques, il osa
introduire une onde de dérision dans le plus solennel des rituels
républicains.
Comme il le disait lui-même, « la vérité est au fond de la
marmite, mais encore faut-il oser soulever le couvercle ». Pierre
Dac l’a soulevé, avec panache.
Légende - Photo Tisourcier, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=131968724
Alors que la NASA fait face à d'importantes restrictions budgétaires menaçant plusieurs de ses missions martiennes – notamment le retour sur Terre des précieux échantillons de roche et de sol collectés par le rover Perseverance – une controverse inattendue refait surface. Selon l'astrobiologiste Barry DiGregorio, la véritable raison de ce désengagement progressif serait bien plus troublante : l’agence spatiale américaine détiendrait déjà, depuis 2020, des preuves visuelles de vie extraterrestre sur la planète rouge.
DiGregorio, fondateur de l'International Committee Against Mars
Sample Return (ICAMSR), une organisation connue pour ses positions
critiques envers les missions de retour d’échantillons martiens,
affirme que des clichés pris par Perseverance montrent des
structures fossilisées évoquant des formes de vie simples. “Des
choses vermiformes, peut-être des poissons, possiblement des
méduses, des choses vraiment anciennes qui bougeaient autrefois",
décrit-il dans une interview récente.
Selon le chercheur, ces formes de vie auraient disparu lorsque
"le climat de Mars a changé et que l'atmosphère s'est effondrée",
provoquant la disparition de la quasi-totalité de l'eau à la
surface – absorbée par le sol ou dispersée dans l’espace sous
l’effet du vent solaire.
Mais plus encore que la découverte elle-même, c’est l’attitude
de la NASA qui soulève l’indignation de DiGregorio. Il accuse
l’agence de dissimuler délibérément ces informations au public, de
crainte que la révélation de microbes martiens potentiellement
dangereux ne compromette le soutien aux futures missions humaines,
ou ne pousse à l’annulation pure et simple du retour d’échantillons
vers la Terre. "Ils savent qu'il y a un risque biologique, mais ils
préfèrent ne pas alarmer l’opinion", affirme-t-il.
Ces allégations, que la NASA n’a pas officiellement commentées,
ne manquent pas de relancer le débat sur les protocoles de sécurité
planétaire. L’idée de ramener sur Terre de la matière provenant
d’un environnement extraterrestre inconnu suscite depuis longtemps
des réserves dans la communauté scientifique, notamment sur le
risque – certes théorique – d’introduire des agents pathogènes.
Cependant, malgré ces polémiques et les incertitudes financières
qui pèsent sur l’agence gouvernementale, l’attrait pour Mars ne
faiblit pas. De nombreux partisans des missions habitées se
tournent vers le secteur privé, et notamment vers Elon Musk, dont
la société SpaceX continue de promettre une colonisation martienne
dans un avenir proche. Pour eux, qu’il y ait ou non des microbes
fossiles sous la poussière rouge, l’objectif reste le même : aller
sur place, coûte que coûte.
Le mystère de Mars ne cesse de s’épaissir. Et si la vérité est
réellement là-haut, comme le pense DiGregorio, reste à savoir si
nous sommes prêts à l’affronter.
Le 14 mai 2025, vers 14h19, deux personnes ont observé un phénomène inhabituel dans le ciel de Buildwas, en Angleterre. Selon leur témoignage transmis au NUFORC (National UFO Reporting Center), l'objet non identifié est resté visible pendant environ cinq minutes.
Repéré à environ 1,5 km au sud de leur position, à quelques
centaines de pieds d’altitude, l’objet avait une forme allongée
rappelant un cigare, arborant des couleurs argentées et noires.
D'abord pris pour un microlight – une observation courante dans la
région – il s’est rapidement distingué par son comportement et son
apparence étrange.
Les témoins ont décrit un objet brillant, changeant de couleur
sous la lumière, avec ce qui semblait être une boîte noire
suspendue en dessous. L’objet montait et descendait dans le ciel,
avant de s’éloigner et de disparaître sans qu’ils ne le voient
toucher le sol.
Bien qu’une explication plausible évoque un ballon météo
partiellement dégonflé, les témoins restent perplexes. Habitués aux
aéronefs de loisirs, ils affirment n’avoir jamais vu un engin
similaire dans cette région.
Ce témoignage vient s’ajouter aux nombreux rapports
d’observations inexpliquées, relançant une fois de plus la question
: ballon, drone… ou tout autre chose ?
Légende - Photo Gammock, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=62312513
C’est une histoire qui défie la science, interroge la foi et laisse les témoins partagés entre l’émerveillement et la stupeur. Le 2 mars 1993, Stanley Villavicencio, un père de famille philippin sans antécédents médicaux graves, est admis d’urgence à l’hôpital Chong Hua de Cebu City. Victime d’un malaise brutal, il sombre rapidement dans un état critique. Les médecins, malgré leurs efforts acharnés, ne peuvent que constater l’irréversible : Stanley tombe dans le coma… avant d’être déclaré cliniquement mort.
Un décès médicalement confirmé
À l’époque, les médecins du prestigieux établissement ne
laissent planer aucun doute. Les moniteurs sont muets, les
constantes vitales plates, et le teint du patient vire au gris
cadavérique. Le cœur a cessé de battre. Les pupilles sont fixes.
Tous les signes sont là : la vie a quitté le corps de Stanley. Sa
famille, anéantie, entame déjà les premières démarches en vue des
obsèques. Dans la salle mortuaire, des prières sont murmurées. On
parle déjà de veillée funèbre.
Et pourtant…
Un réveil inexpliqué
Trois jours plus tard, le 5 mars 1993, au petit matin, une
rumeur étrange se répand dans les couloirs de l’hôpital. Des
infirmiers affirment avoir vu du mouvement dans la chambre du
défunt. Des témoins évoquent une silhouette assise sur le lit. Les
sceptiques parlent d’hallucination collective… jusqu’à ce que
Stanley Villavicencio, vêtu de sa chemise d’hôpital, les yeux
grands ouverts, marche calmement dans le couloir comme si de rien
n’était.
« Je me souviens de tout. J’étais dans un endroit paisible,
lumineux. Puis j’ai entendu une voix qui m’a dit de revenir, que ce
n’était pas encore mon heure », confiera-t-il plus tard,
visiblement bouleversé mais lucide.
Une énigme médicale
Face à l’inexplicable, les médecins restent prudents, mais
abasourdis. Les examens post-réveil révèlent un état de santé
normal, voire surprenamment bon. Aucun organe n’a souffert de
l’arrêt prolongé. Aucune séquelle cérébrale. Une telle résurrection
après 72 heures de mort clinique dépasse tout ce que la médecine
moderne peut expliquer.
Le docteur Ramon Galvez, cardiologue en chef à l’époque, admet
son désarroi : « Scientifiquement, c’est impossible.
Médicalement, cet homme était mort. Mais il est là, vivant, et en
pleine possession de ses moyens. Nous n’avons pas
d’explication ».
Foi, miracle et controverse
Très vite, l’affaire prend une tournure mystique. Certains y
voient un miracle, un message divin. La communauté catholique
locale évoque une intervention surnaturelle, et des pèlerins
affluent à Cebu pour rencontrer l’« homme revenu de l’au-delà
».
D’autres, plus sceptiques, pointent du doigt une possible erreur
de diagnostic, une anomalie médicale encore non identifiée, voire
une mise en scène. Mais aucune preuve ne vient étayer cette
dernière hypothèse. Et face à la cohérence du témoignage de Stanley
et à l’absence d’explication rationnelle, les doutes s’effacent peu
à peu.
Un homme transformé
Depuis cet épisode, Stanley Villavicencio a consacré sa vie à
partager son histoire. Il a donné des conférences, témoigné à
travers le monde, notamment dans des églises, et publié des écrits
sur sa « rencontre avec l’au-delà ». Selon ses proches, cet
événement l’a profondément changé : plus serein, détaché des biens
matériels, animé d’une foi inébranlable.
Conclusion : entre mystère et lumière
L’histoire de Stanley Villavicencio demeure l’un des cas les
plus énigmatiques du XXe siècle. Ni les avancées scientifiques ni
les dogmes religieux ne parviennent à l’expliquer pleinement. Ce
qui est certain, c’est qu’en ce matin de mars 1993, un homme, que
l’on croyait définitivement disparu, s’est levé et a marché. Et
avec lui, une question éternelle s’est ranimée : où s’arrête la
science, et où commence le miracle ?
Légende - Photo Thewideawake1, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=128831496
Dans Ovnis et Forces Armées Françaises, Laurent Esnard
explore l’intersection méconnue mais troublante entre les
phénomènes aérospatiaux non identifiés et les structures militaires
françaises. S’appuyant sur des témoignages de pilotes, des
incidents survenus près ou au sein de bases militaires
stratégiques, ainsi que sur des documents officiels difficilement
accessibles, l’auteur met en lumière une série de cas troublants
restés sans explication rationnelle.
Ce premier volume s’attache à démontrer que le phénomène OVNI ne
se limite pas à des récits populaires ou à des spéculations
marginales. Il s’inscrit, au contraire, dans un cadre national de
sécurité où les observations inexpliquées croisent des enjeux
militaires sensibles. À travers une analyse rigoureuse et
documentée, Esnard invite le lecteur à considérer ces apparitions
sous un jour nouveau, entre mystère technologique, enjeux de
défense et nécessité de transparence.
À mi-chemin entre enquête journalistique et réflexion
stratégique, ce livre constitue une contribution originale au champ
de l’ufologie francophone, en mettant l’accent sur la spécificité
du contexte militaire français.
Auteur : Laurent Esnard ISBN 13 : 9798302297303 Nombre de pages : 178 Editeur : CreateSpace Independent Publishing Date de publication : 3 décembre 2024
Il était un peu plus de 22 heures, ce jeudi soir, lorsque le calme habituel d’Owasso a été troublé par une étrange apparition dans le ciel. Un habitant, seul témoin de la scène, a rapporté avoir observé pendant cinq à dix minutes un objet sombre et silencieux flottant au-dessus de la région, près du campus de Tulsa Tech.
Selon le témoignage, publié sur le site du National UFO
Reporting Center (NUFORC), l’objet, de forme rectangulaire et d’une
taille comparable à celle d’un gros fourgon ou camion de livraison,
se déplaçait lentement — à une vitesse estimée entre 20 et 30 mph
(environ 30 à 50 km/h) — en direction ouest après avoir survolé
l’autoroute, en provenance du nord. Le phénomène, visible à une
faible altitude (angle d’observation d’environ 30°), aurait évolué
sans bruit, sans lumières, et dans un ciel parfaitement dégagé.
« J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un avion traversant un
nuage », confie le témoin dans son rapport, avant de préciser
qu’il n’y avait en réalité ni nuage ni vent ce soir-là. Ce qui l’a
frappé, c’est l’étrangeté de la forme, qui rappelait une grande
cape ou une bâche rigide. Bien qu’il ait d’abord songé à une
illusion, l’absence totale de mouvement des "vagues" dans la
structure lui a rapidement confirmé qu’il s’agissait d’un objet
solide. Son apparence sombre, presque noire ou gris anthracite, ne
réfléchissait aucune lumière propre, mais était faiblement
perceptible grâce à l’éclairage ambiant des commerces voisins.
Autre détail troublant : la présence d’un avion dans les
environs à ce moment-là, ce qui laisse planer le doute sur une
possible coïncidence… ou un survol simultané sans lien
apparent.
Ce témoignage vient s’ajouter à une longue série d’observations
inexpliquées dans la région du Midwest américain, un territoire
qui, depuis plusieurs décennies, est régulièrement le théâtre de
phénomènes aériens non identifiés. Les experts du NUFORC n'ont pour
l'instant fourni aucune explication officielle, mais l’enquête
reste ouverte.
Faut-il y voir une technologie militaire secrète, une simple
méprise, ou l’écho d’un mystère plus vaste ? Une chose est sûre :
l’affaire relance les interrogations sur la présence possible
d’objets volants non identifiés dans notre espace aérien — et sur
notre capacité à les comprendre.
Légende - Photo Ichabod, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=33852880
Dans une déclaration aussi surprenante que déconcertante, la chanteuse russe Katya Lel a livré ses conseils à celles et ceux qui redoutent d’être un jour enlevés par des extraterrestres. Une prise de parole qui ne doit rien au hasard : selon l’artiste, elle-même aurait été enlevée à l’âge de 16 ans, un épisode qui aurait marqué sa vie de façon indélébile – au point de lui coûter plusieurs dents, prétendument échangées contre rien de moins… que le salut de l’humanité.
Interrogée récemment par un média local, Katya Lel, aujourd’hui
âgée d’une cinquantaine d’années, a relaté son expérience
d’enlèvement avec un calme troublant. « Ils m’ont prise, ils ont
enlevé mes dents », raconte-t-elle, affirmant que cette opération
mystérieuse faisait partie d’un “échange” visant à empêcher une
guerre nucléaire. Sans fournir davantage de détails techniques,
elle insiste sur le fait que cette intervention a eu des
répercussions positives à l’échelle planétaire – un sacrifice
dentaire pour la paix mondiale, en quelque sorte.
Face à l’intérêt renouvelé du public pour les phénomènes
extraterrestres, Katya Lel affirme vouloir « rassurer » ceux qui
pourraient vivre des expériences similaires. Selon elle, les
extraterrestres « vous rendront en sécurité » et « ne feront rien
sans votre consentement ». Toutefois, elle met en garde : « Il faut
immédiatement définir les limites. Et interdire catégoriquement aux
extraterrestres de prendre quoi que ce soit. » Un avertissement
qu’elle aurait aimé connaître plus tôt, dit-elle, pour éviter sa
mésaventure odontologique.
Mais au-delà du témoignage, c’est un véritable appel spirituel
que lance l’artiste à ses fans – et au monde entier. « Il est temps
de se réveiller, de s’éveiller et de travailler sur soi, d’élever
son niveau de conscience », déclare-t-elle. Selon elle, c’est à
cette condition que l’humanité pourra pleinement comprendre « ce
qui est dans l’Univers, et ce qui ne l’est pas ».
Dans une époque où les témoignages d’enlèvements et les
déclarations d’anciens militaires sur les OVNI se multiplient,
celui de Katya Lel ajoute une touche de surréalisme teintée de
sagesse new age. Entre spiritualité cosmique et leçon de prudence
dentaire, son message est clair : les extraterrestres, peut-être,
mais gardez votre mutuelle à jour.
Ce mystérieux humanoïde à la peau verte a été
repéré sur Google Maps. Il semble être assis sur un rocher sur la
rivière Naka, dans la ville de Itoshima (Préfecture de Fukuoka) au
sud du Japon.
De quoi s'agit-il ? Un extraterrestre ? Une créature encore
méconnue ?
Le mystère plane une fois de plus sur les rayonnages de la bibliothèque Willard, bâtiment victorien emblématique vieux de 140 ans, où l’histoire et le paranormal semblent cohabiter depuis des décennies. Une récente vidéo de surveillance fait aujourd’hui grand bruit dans cette paisible ville du Midwest : on y voit clairement une porte verrouillée s’ouvrir et se refermer seule, en pleine nuit… sans la moindre trace d’intervention humaine.
Depuis les années 1930, la Willard Library est le théâtre
d’apparitions inexpliquées attribuées à une entité féminine connue
sous le nom de la "Dame Grise". Selon la tradition locale, tout a
commencé lorsqu’un employé de maintenance aurait aperçu une
silhouette vaporeuse vêtue de gris rôder entre les étagères.
Depuis, les témoignages se sont multipliés, alimentant la légende
d’un fantôme attaché aux lieux.
Mais l’incident survenu récemment a marqué un tournant dans
cette chronique paranormale. Les caméras de sécurité de la
bibliothèque ont en effet capturé une scène aussi brève
qu’énigmatique : une porte, pourtant clairement verrouillée — comme
l’atteste la vidéo et le personnel de sécurité — s’est ouverte puis
refermée toute seule, sans le moindre bruit ni présence humaine à
proximité. Le système d’alarme, quant à lui, exige que toutes les
issues soient correctement fermées pour pouvoir s’armer, ce qui
confirme l’anomalie.
« Nous avons revu les images plusieurs fois », confie une
employée sous couvert d’anonymat. « On voit distinctement un
collègue verrouiller la porte. Quelques minutes plus tard, elle
s’ouvre doucement… puis se referme. Et pourtant, rien ne bouge,
aucun son, aucune trace d’effraction, pas même l’ombre d’un courant
d’air. »
Contrairement à d'autres épisodes supposément surnaturels vécus
par le personnel — tels que des effluves de parfum flottant sans
explication ou des objets déplacés sans logique — cette fois, aucun
autre indice tangible n’a été relevé. Pourtant, l’hypothèse d’un
dysfonctionnement technique a rapidement été écartée. « Nous
n’avons trouvé aucune anomalie mécanique. Tout fonctionne
parfaitement. »
Alors, la bibliothèque Willard serait-elle toujours habitée par
l’esprit de la Dame Grise ? Pour certains employés, la réponse ne
fait aucun doute : « Elle savait exactement où elle allait. Aucun
bruit. Aucune hésitation. C’était… intentionnel. »
Les sceptiques parleront de coïncidences ou d’un simple problème
de loquet. Les autres, eux, continueront de guetter la silhouette
floue d’une dame vêtue de gris, peut-être à la recherche d’un livre
oublié… ou d’un secret enfoui dans les profondeurs silencieuses de
cette bibliothèque pas comme les autres.
Légende - Photo Nyttend, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15949954
22 mars 2025, 19h00. Un couple londonien, en escapade sur les berges du Loch Ness, affirme avoir été les témoins d’un phénomène troublant qui relance, une fois de plus, la légende du plus insaisissable des monstres lacustres. Il s’agit de la première observation officiellement reconnue en 2025 par le Official Loch Ness Monster Sightings Registry.
Le couple, resté anonyme, se trouvait sur la rive nord, à
l’endroit où la rivière Taff rejoint le célèbre loch écossais. «
Nous avons entendu un léger clapotis, presque furtif, comme si
quelque chose glissait discrètement dans l’eau », ont-ils rapporté.
Intrigués, ils ont alors repéré un mouvement à la surface du lac, à
environ 40 à 50 mètres d’eux. Ce qu’ils décrivent comme une forme «
plus pâle que l’eau d’un noir de jais » fendait la surface, se
déplaçant « à une vitesse de 2 à 3 mètres par seconde ».
« C’était grand, vivant, et ça nageait dans l’eau »,
précisent-ils. Selon leur récit, la créature présentait un « dos en
forme de bosse » suivi d’une seconde masse, distante de 1,5 à 2
mètres. « Elle s’est lentement immergée en disparaissant, dans un
mouvement d’une grande grâce et dans un silence total »,
ajoutent-ils encore, convaincus d’avoir vu « une créature longue et
unique ».
Aucun cliché, ni vidéo n’a pu être pris — un détail qui fera
grincer les dents des sceptiques, habitués à ces récits aussi
fascinants qu’insaisissables. Pourtant, le témoignage a été jugé
suffisamment crédible pour être enregistré par le registre officiel
des apparitions du monstre du Loch Ness.
À chaque décennie son revival : cette nouvelle observation
intervient dans un contexte où le tourisme autour du loch repart à
la hausse, porté par la nostalgie, les réseaux sociaux et une
fascination toujours vive pour le mystère. Faut-il y voir un signe
de résurgence du monstre, ou simplement les effets conjugués d’un
bon whisky écossais et d’une lumière rasante sur l’eau ? La
question reste ouverte.
Une chose est sûre : Nessie n’a pas fini de faire des
vagues.
L'intérêt pour les objets volants non identifiés (OVNI) et les phénomènes extraterrestres ne cesse de croître, alimenté par des révélations officielles, des témoignages et des enquêtes passionnantes.Les lecteurs avides de mystères et de découvertes se tournent vers des ouvrages qui explorent ces sujets fascinants.Voici une sélection des cinq livres les plus vendus sur Amazon France en 2025 concernant les OVNI et les extraterrestres, chacun offrant une perspective unique sur ces énigmes célestes.
Fruit de plus de 40 années de recherche, cet ouvrage
explore les propriétés extraordinaires des voyages cosmiques et
aborde le sectarisme entourant les recherches sur les OVNI en
France.Les auteurs, Jean-Claude Bourret et
Jean-Pierre Petit, s'appuient sur des hypothèses fondées pour
affirmer l'existence d'autres planètes habitables.
Stéphane Allix, journaliste depuis 1998, présente une
enquête basée sur des témoignages de personnes ayant vu ou été en
contact avec des entités non humaines, qualifiées
d'extraterrestres.L'auteur expose diverses hypothèses
proposées par des scientifiques spécialisés dans le domaine,
offrant une exploration approfondie de ces phénomènes.
Le Dr. Michael Salla, spécialiste de la politique
internationale, révèle dans cet ouvrage des informations sur des
programmes secrets basés sur une technologie d'antigravité.Il explore également la contribution de Ronald Reagan à la
création d'un programme de la Ligue globale des nations et dévoile
l'existence d'alliances extraterrestres.
Paru en 2014, ce livre, connu sous le nom de rapport
COMETA, met en lumière l'ampleur internationale de l'existence
d'extraterrestres.Leslie Kean a consacré plus de 10
ans de recherche pour élaborer cet ouvrage, offrant des témoignages
de généraux, pilotes et officiels sur leurs expériences avec des
OVNI.
Publié initialement en 1968, cet essai est considéré comme
l'ouvrage fondateur de la théorie des anciens astronautes et de
l'astroarchéologie.Erich von Däniken propose que des
extraterrestres aient influencé les civilisations anciennes, une
thèse qui a suscité un vif intérêt et de nombreux
débats.
Dans À la découverte du pendule, Isabelle Cerf propose
une initiation accessible et complète à l’usage du pendule, un
outil divinatoire ancestral utilisé dans de nombreuses traditions à
travers le monde. L’autrice s’adresse particulièrement aux
débutants souhaitant explorer les multiples facettes de cet
instrument, qu’il soit utilisé à des fins divinatoires,
spirituelles, énergétiques ou médiumniques, ou en lien avec
l’énergie des pierres.
Le livre de 104 pages constitue un véritable guide pratique,
riche en protocoles clairs et détaillés pour apprendre à manier le
pendule et à l'intégrer dans une démarche spirituelle personnelle.
Il répond aux questions fréquentes des novices : comment choisir
son pendule selon sa forme ou sa matière, comment le purifier, le
programmer, et l'utiliser au quotidien.
Ce coffret didactique contient également plusieurs supports pour
passer à la pratique :
un pendule en métal idéal pour débuter,
20 planches thématiques pour expérimenter différents
protocoles,
3 planches vierges à personnaliser selon ses besoins,
un sachet de transport pour préserver l’outil.
Avec pédagogie et bienveillance, Isabelle Cerf offre un
accompagnement pas à pas pour faire du pendule un allié précieux
dans son cheminement intérieur.
Auteur : Isabelle Cerf ISBN 10 : 2361884852 ISBN 13 : 9782361884857 Nombre de pages : 104 Editeur : Guy Trédaniel Editeur Date de publication : 9 juin 2022
Les fantômes ont bon goût en immobilier, semble-t-il. Dans une interview aussi surprenante que savoureuse, la supermodèle Claudia Schiffer a révélé que Coldham Hall, son manoir Tudor niché dans la campagne du Suffolk, est hanté depuis des décennies… mais par des esprits « très amicaux ».
Schiffer, 54 ans, qui vit dans cette demeure historique depuis
23 ans avec son mari, le réalisateur Matthew Vaughn, et leurs trois
enfants, confie que les apparitions sont quasi-régulières et ont
été observées par toute la famille. « Ils ne font pas de mal, ils
sont juste là », dit-elle, sereine. « C’est leur maison autant que
la nôtre. »
Construit au XVIe siècle, Coldham Hall a un passé aussi dense
que ses murs de briques anciennes. Sous le règne d'Élisabeth Ire,
le manoir aurait servi de refuge aux prêtres catholiques
pourchassés durant les purges religieuses. C’est aussi à cette
époque qu’il aurait hérité de son nom insolite : la reine, en
visite impromptue, y aurait été choquée de se voir servir du
jambon... froid.
Parmi les esprits les plus souvent signalés, figure celui d’une
jeune nonne du nom de Penelope Rockwood, dont la présence se
manifesterait de manière douce et apaisante. « Elle veille sur la
maison », estime Schiffer. « Il y a une énergie spirituelle très
ancienne ici. »
Malgré l’ambiance bienveillante, le couple n’a pas pris de
risques à l’époque de leur installation. « On a quand même fait
venir un exorciste, pour être sûrs », sourit-elle. Un petit clin
d’œil à son passé sentimental ajoute à la légèreté du récit : après
sa rupture avec le magicien David Copperfield, Claudia plaisante en
disant que ce dernier « aurait probablement demandé plus cher que
l’exorciste ».
Entre charme gothique et anecdotes royales, Coldham Hall
s’impose comme un lieu aussi fascinant qu’énigmatique. Et si les
murs pouvaient parler, ils raconteraient sans doute des histoires
que même Hollywood n’oserait écrire.
Légende - Photo Naturiss, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=80577007
Une nouvelle enquête d’opinion réalisée par NewsNation et Decision Desk HQ jette un éclairage fascinant sur la perception du phénomène OVNI aux États-Unis. Selon ce sondage mené auprès de citoyens de tous bords politiques — démocrates, républicains, indépendants et autres — 44 % des Américains estiment que le gouvernement fédéral dissimule des informations sur les objets volants non identifiés (OVNI). En comparaison, seuls 28 % rejettent cette idée, tandis que 28 % demeurent incertains.
L’étude met en lumière des fractures générationnelles marquées :
près de la moitié des membres de la génération Z (49 %) et des
milléniaux (48 %) croient en une dissimulation gouvernementale,
contre 34 % seulement des baby-boomers, bien plus sceptiques.
Différences de perception selon le genre, le lieu de résidence
et l’appartenance politique
Les données révèlent également des écarts selon le genre et la
géographie. Les hommes seraient davantage enclins à croire à une
dissimulation que les femmes, et les citadins surpasseraient les
ruraux dans cette conviction.
Sur le plan politique, les républicains se montrent nettement
plus méfiants que les démocrates, avec 48 % convaincus que l'État
cache des éléments sur les OVNI, contre 39 % chez leurs adversaires
politiques.
Entre fascination populaire et scepticisme politique
Ce regain d’intérêt pour les théories de dissimulation survient
alors que le Congrès américain a, ces dernières années, multiplié
les auditions sur les "phénomènes aériens non identifiés", et que
certaines vidéos déclassifiées ont fait le tour du monde. Mais
malgré cette effervescence populaire, la classe politique demeure
largement indifférente.
Un conseiller politique anonyme confie : « Pour la plupart
des élus, ces sondages sont comme les photos d’OVNI : floues au
mieux, truquées au pire. »
Reste que cette croyance persistante témoigne d’un climat de
défiance envers les institutions, particulièrement chez les jeunes
générations. Si la vérité est réellement « ailleurs », comme le
proclamait une célèbre série télévisée, il semble qu’une large
partie des Américains continue d’y croire — avec ou sans
preuve.
Dans l’État américain du Michigan, une ancienne loi attire l’attention par son caractère insolite : elle stipule qu’une femme doit obtenir l’autorisation de son mari avant de se faire couper les cheveux.
Bien que cette règle semble anachronique, elle illustre les
vestiges d’un cadre juridique hérité d’une époque où les droits des
femmes étaient largement subordonnés à ceux de leur époux.
Il est important de noter que ce type de législation n’est
généralement plus appliqué aujourd’hui et pourrait même avoir été
abrogé ou invalidé sans mise à jour formelle dans certains textes.
Toutefois, cette loi continue d’alimenter la curiosité et les
discussions sur les aspects parfois surprenants du droit
américain.
Dans la nuit du vendredi 29 avril, vers 3h00 du matin, une résidente de Coombe Bissett, village paisible du Wiltshire en Angleterre, affirme avoir observé un phénomène lumineux étrange dans le ciel. L'observation, survenue dans un contexte de pluie d’étoiles filantes, a duré environ vingt minutes et reste à ce jour inexpliquée.
La témoin, une femme de 51 ans employée dans le secteur de la
santé mentale au sein du NHS, raconte s’être installée dans son
jardin pour observer les étoiles, profitant d’une nuit claire et
dégagée, typique des zones rurales peu affectées par la pollution
lumineuse. C’est alors qu’elle remarque une formation lumineuse
inhabituelle.
« J’ai d’abord cru à un amas d’étoiles, mais elles ne
scintillaient pas comme elles devraient. En y regardant de plus
près, j’ai distingué une structure composée d’environ 12 lumières
blanches, longues, disposées comme les repères d’un cadran
d’horloge analogique », confie-t-elle.
Le phénomène est resté stationnaire pendant plusieurs minutes
avant de disparaître brièvement, pour ensuite réapparaître en
mouvement, se déplaçant lentement de gauche à droite dans le ciel,
avec une intensité lumineuse réduite.
La témoin raconte s’être levée pour aller chercher son téléphone
dans l’intention de photographier l’objet mystérieux. Mais à son
retour, celui-ci avait disparu sans laisser de trace.
« Je ne prends aucun médicament, je n’avais pas bu d’alcool.
C’était une nuit splendide, parfaitement propice à l’observation du
ciel », précise-t-elle, insistant sur sa sobriété et sa lucidité au
moment des faits.
Bien qu’aucun autre témoin n’ait été recensé pour l’instant,
cette observation alimente les interrogations locales et suscite un
regain d’intérêt pour les phénomènes aériens non identifiés dans la
région. Aucune activité aérienne inhabituelle n’a été signalée par
les autorités locales ni par le ministère de la Défense.
Légende - Photo Ashley Pomeroy, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=135616139
Un fantôme est apparu derrière la fenêtre d'une
petite maison située à Jõhvi, dans la région du Virumaa oriental,
dans l'Est de l'Estonie. Quelle est l'origine de cette
silhouette démoniaque ?
Vous êtes magnétiseur ? Voyant ? Vous organisez un événement autour de la spiritualité ? Vous possédez un site web lié au paranormal ? Vous pouvez en faire votre publicité gratuitement via notre site de petites annonces.