Un témoignage récemment publié sur le site du National UFO
Reporting Center (NUFORC) fait état de l’observation de deux
objets aériens non identifiés dans la soirée du 6 décembre 2025, à
Kannapolis, en Caroline du Nord (États-Unis).
Selon le déclarant, unique témoin de la scène, l’observation a
eu lieu vers 21 h 50, heure locale, et a duré entre une et deux
minutes. Installé dans un champ, loin de toute pollution lumineuse,
il observait le ciel dans l’espoir d’apercevoir des météores liés à
l’essaim des Géminides, alors en cours.
Après une vingtaine de minutes d’observation, le témoin rapporte
avoir vu apparaître un premier objet de forme triangulaire, doté de
lumières vertes à chacun de ses trois angles. L’objet se déplaçait
lentement du sud-est vers le nord-ouest, directement au-dessus de
sa position, tout en effectuant une rotation progressive. Il aurait
été visible pendant environ trente secondes.
Peu après, un second objet de forme similaire, cette fois équipé
de lumières rouges aux coins, aurait suivi le premier à une
distance estimée à environ un mile. Contrairement au premier, ce
second objet ne semblait pas tourner sur lui-même. Le témoin
précise que les deux objets semblaient solides, car ils auraient
momentanément occulté les étoiles lors de leur passage.
Habitué au trafic aérien en raison de la proximité de l’aéroport
international de Charlotte-Douglas, le déclarant affirme que ces
objets ne correspondaient pas à des avions conventionnels. Il
souligne leur déplacement particulièrement lent et leur silence
total, des caractéristiques qu’il juge incompatibles avec les
appareils qu’il observe habituellement dans la région.
Le témoin indique enfin qu’il lui est difficile d’estimer la
taille ou l’altitude de ces objets, la clarté du ciel cette nuit-là
ne lui ayant pas fourni de point de comparaison précis. Aucune
explication officielle n’a, à ce stade, été associée à cette
observation.
Légende - Photo Bbarnette, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=133130854
À la fin des années 1970, dans l’État du Pará, au nord-est du
Brésil, la petite île de Colares a été le théâtre d’événements hors
du commun — nuits de terreur, témoignages hallucinants, blessures
mystérieuses infligées selon les habitants par des lueurs célestes…
Face à la panique, les autorités ont fait appel à l’armée. C’est
ainsi qu’a été lancée Operação Prato (Opération Prato), la première
opération menée par l’armée de l’air brésilienne (Força Aérea
Brasileira, FAB) contre des phénomènes aériens non identifiés.
Entre octobre et décembre 1977 (et, selon certains rapports,
jusqu’en 1978), les militaires dépêchés sur place ont documenté des
phénomènes troublants : des centaines de témoignages de civils, des
centaines de photographies, des heures de film Super-8 et Super-16,
des croquis, des cartes, des rapports détaillés.
Le récit des habitants : lumières, blessures et peur
Les habitants de Colares, terrorisés, avaient eux-mêmes inventé
un nom pour ces mystérieuses lumières : « Chupa‑Chupa » —
littéralement « sucer-sucer ». Selon leurs récits, les objets
volants infiltraient le ciel la nuit, tiraient des rayons lumineux
qui brûlaient la peau, provoquaient des plaies, des saignements,
des sensations de faiblesse, certains rapportant même un phénomène
de « succion » de sang ou d’énergie.
Ce climat de panique poussa la population à organiser des
veillées nocturnes, allumer des feux, tirer des feux d’artifice —
tentatives désespérées pour repousser ces « envahisseurs lumineux
».
Dans ce contexte, l’intervention de l’armée ne visait plus à
calmer des superstitions : plusieurs récits étaient crédibles,
convergents, persistants — au point que les autorités locales
considéraient la menace comme réelle.
Une enquête officielle… puis la clôture soudaine des
investigations
Sous le commandement du capitaine Uyrangê Hollanda Lima,
l’opération militaire s’est poursuivie pendant plusieurs mois.
L’équipe a collecté des témoignages, pris des photos, réalisé des
films. Certains soldats ont déclaré avoir eux-mêmes observé des
objets volants non identifiés — souvent décrits comme des «
assiettes », disques, cylindres ou d’autres formes inhabituelles,
se déplaçant silencieusement, parfois à basse altitude.
Pourtant, en dépit de cette abondance de preuves, l’opération a
été officiellement close, les rapports classés, et les autorités
ont conclu à… « aucun phénomène inhabituel » — un revirement qui a
profondément déconcerté les ufologues et nombre de témoins.
Mais des documents furent finalement « déclassifiés » — ou
fuités — dans les années 2000, permettant à des chercheurs et
amateurs d’ufologie d’accéder à des photographies, croquis,
rapports, et à des dizaines voire centaines de récits
corroborés.
Pourquoi cette affaire reste l’un des cas d’OVNI les plus
crédibles
L’implication officielle d’un État — l’armée — dans l’enquête,
avec des moyens techniques, du personnel, des protocoles
documentés. L’opération Prato ne relève pas d’un témoignage isolé
ou d’un amateur d’OVNI, mais d’une investigation d’État.
Un corpus de témoignages consistant : plusieurs centaines de
récits, de victimes présumées, d’observateurs civils et militaires,
de différentes localités, rapportant des phénomènes similaires.
Une documentation abondante — photos, films, cartes, croquis,
rapports — aujourd’hui partiellement accessibles, parfois examinée
par des ufologues indépendants.
Le caractère collectif et répétitif des événements : il ne
s’agit pas d’un cas unique mais d’une « vague » qui a touché
plusieurs villages, et persisté dans le temps.
De l’avis de nombreux chercheurs en ufologie, cette combinaison
— documentation + officialité + témoignages multiples — en fait un
« cas OVNI » parmi les plus solides jamais enregistrés.
La vidéo de Sylart : relance du débat et intérêt renouvelé
La vidéo « Operation Prato : le cas d’OVNI top secret le plus
crédible du Brésil » réalisée par le créateur Sylart s’inscrit dans
une tradition de remise en lumière des affaires anciennes
d’ufologie, mais avec l’atout des archives déclassifiées — photos,
documents, témoignages — désormais accessibles au public.
Elle offre un cadre narratif immersif : entre récits
d’habitants, interviews, extraits d’archives, reconstitutions, le
spectateur est invité à (re)découvrir l’affaire, à mesurer
l’ampleur de ce qu’il s’est passé, à juger par lui-même de la
crédibilité du phénomène.
Mais au-delà du spectaculaire, cette vidéo relance des questions
toujours d’actualité : Pourquoi, malgré les preuves, l’enquête
officielle a-t-elle été bouclée sans conclusion publique ? Que sont
devenus les milliers de documents collectés ? Que penser
aujourd’hui de la possibilité d’un contact — ou d’une présence —
non expliquée qui aurait affecté des populations entières ?
Enjeux et piste d’investigation : entre scepticisme et
fascination
L’affaire Opération Prato pose un dilemme majeur : accepter
qu’un phénomène « non conventionnel » — peut-être extraterrestre —
ait pu toucher des êtres humains, ou considérer qu’il s’agissait
d’un malentendu collectif, d’une sorte de panique / hystérie de
masse, voire d’un canular entretenu.
Certains chercheurs militent pour une réouverture complète du
dossier, la publication de tous les rapports, témoignages et
supports visuels, afin d’en permettre l’analyse scientifique —
photos, films, objets, blessures médicalement documentées… Dans un
contexte où l’ufologie peine souvent à être prise au sérieux,
l’Opération Prato reste une exception troublante.
Conclusion
L’affaire de l’Opération Prato — ravivée par la vidéo de Sylart
— est bien plus qu’une simple histoire d’OVNI. C’est un dossier
d’État mêlant peur, souffrance, enquête militaire, secret, doute et
intrigue. Pour beaucoup, c’est peut-être le cas le plus crédible
d’un contact possible avec l’inexpliqué. Pour d’autres, un
témoignage poignant d’une époque troublée, d’une ignorance des
phénomènes psychiques ou atmosphériques.
Aujourd’hui, alors que les archives sont en partie accessibles,
il revient à la communauté scientifique, aux journalistes, aux
historiens — et à chacun de nous — de décider si l’Opération Prato
est un mystère prêt à être élucidé, ou un fantôme du passé à
contempler avec prudence.
Saint Charbel est né en 1828 dans un village montagneux au
Liban, dans une famille pauvre. Très tôt, il ressent un appel à la
vie monastique et rejoint l’ordre maronite.
Il prend le nom de Charbel et, après plusieurs années au
monastère, choisit volontairement la vie d’ermite. Il vivra dans le
silence, la prière, le jeûne, le travail manuel et l’adoration —
une existence d’abandon total à Dieu.Il meurt le 24 décembre
1898.
Les phénomènes extraordinaires après sa mort
Rapidement après sa mort, des phénomènes remarquables sont
observés autour de sa tombe : l’un des plus marquants est
l’incorruptibilité de son corps — à plusieurs
exhumations, le corps reste intact, avec un liquide mystérieux
(huile, sang, sueur) visible.
Ce liquide, perçu comme signe surnaturel, est souvent qualifié
d’« huile de Saint-Charbel » et attire de très nombreux
pèlerins.
Les miracles attribués à son intercession
Depuis sa mort, plus de 30 000 miracles lui
sont attribués — guérisons physiques, libérations spirituelles,
conversions, etc. Ces miracles concernent des personnes de toutes
confessions et de nombreuses nationalités.
La vidéo met en lumière la dimension universelle de sa
réputation : de simples croyants, des malades incurables, des
non-chrétiens — tous cherchent son intercession, et des témoignages
abondent.
Impact spirituel et postérité
Saint Charbel est devenu un symbole de foi, de silence
contemplatif et de spiritualité humble pour des générations de
croyants, notamment dans le monde maronite et plus largement
chrétien, mais aussi parmi des personnes d’autres confessions.
Son monastère au Liban reste un lieu de pèlerinage très
fréquenté, et son culte s’est étendu bien au-delà du Liban.
À travers cette vidéo, l’auteur invite à contempler « la
puissance de Dieu dans le silence » — un appel à la foi, à la
prière, à l’espérance, inspiré par une vie de renoncement et de
service.
L’artiste britannique Brocarde, connue autant pour sa carrière
musicale que pour ses activités de chasseuse de fantômes, a
récemment traversé l’Atlantique pour mener une enquête singulière à
Hollywood. Son objectif : retrouver la trace de l’esprit de Marilyn
Monroe, dont la présence hanterait encore le Hollywood Roosevelt
Hotel, établissement où l’actrice vécut deux ans dans un bungalow
au bord de la piscine.
Brocarde a séjourné dans la suite Marilyn Monroe, la chambre
même qu’aurait occupée la star. Pourtant, selon son témoignage,
aucune manifestation paranormale ne s’y serait produite. C’est
finalement au bord de la piscine que la chanteuse affirme avoir
vécu une expérience troublante : elle dit avoir aperçu « une
silhouette lumineuse, reconnaissable entre toutes, flottant comme
si elle profitait de l’atmosphère, comme autrefois ».
La chanteuse rapporte également avoir entendu, à l’intérieur de
l’hôtel, des voix qu’elle attribue à d’autres esprits évoquant la
possibilité d’une apparition de Marilyn Monroe. Selon elle, cette
conjonction ferait de son observation un phénomène rare, voire
exceptionnel.
Aucun enregistrement, photographie ou élément matériel n’a
cependant été fourni pour étayer ces affirmations. L’absence de
preuves tangibles ne permet pas de vérifier les dires de Brocarde,
laissant ces déclarations dans le domaine du témoignage
personnel.
Le Hollywood Roosevelt Hotel, réputé pour ses récits de hantise,
continue ainsi d’alimenter les spéculations et les légendes qui
entourent la mémoire de Marilyn Monroe, plus de soixante ans après
sa disparition.
Légende - Photo Renamed user 995577823Xyn, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30153808
Le 26 novembre 2025, aux premières heures du jour, un habitant
de Queenborough, en Angleterre, a rapporté au National UFO
Reporting Center (NUFORC) avoir observé un phénomène aérien non
identifié. Le témoignage, sobre mais troublant, décrit l’apparition
brève—trois secondes à peine—d’un objet triangulaire noir dont
chaque angle semblait marqué par une lumière diffuse, presque
brumeuse.
Selon le témoin, l’observation s’est produite alors qu’il se
trouvait dans son jardin avec son épouse. Celle-ci aurait été la
première à remarquer la présence de l’objet, situé directement
au-dessus d’eux, à une altitude estimée à environ 200 mètres. La
forme était clairement perceptible : un triangle parfait d’environ
vingt mètres de côté, silencieux, doté de lumières opaques formant
une sorte de halo. L’ensemble semblait se découper sur le ciel du
petit matin.
L’engin se déplaçait très rapidement, si bien qu’il n’est resté
visible qu’un instant. Fait troublant, le témoin rapporte qu’à
peine une seconde après la disparition de l’objet, une « étoile
filante » traversa le ciel. Il affirme n’avoir jamais rien vu de
semblable et se dit profondément marqué par cet épisode.
Aucun enregistrement ni photographie n’a pu être réalisé dans le
court laps de temps où l’objet a été visible. Le témoin exprime sa
frustration de ne pouvoir documenter son observation, qu’il
qualifie d’« inexplicable ».
Si de nombreux témoignages de ce type peuvent trouver des
explications rationnelles — phénomènes atmosphériques, drones ou
illusions optiques — celui de Queenborough demeure, pour l’heure,
sans interprétation évidente. Sa brièveté, la netteté de la forme
décrite et la présence de deux observateurs lui confèrent néanmoins
un certain intérêt dans l’étude des phénomènes aériens non
identifiés.
Légende - Photo Doyle of London, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=92809370
Un nouveau documentaire, The Age of Disclosure, ravive
l’une des histoires les plus controversées de l’ufologie
américaine. Le film s’appuie notamment sur le témoignage du Dr Eric
Davis, astrophysicien et ancien consultant scientifique du
programme AATIP (Advanced Aerospace Threat Identification Program)
du Pentagone. Davis affirme qu’en 2003, l’ancien président George
H. W. Bush lui aurait confié des informations inédites sur un
incident qui se serait produit près de quarante ans plus tôt, en
1964, sur la base aérienne de Holloman, au Nouveau-Mexique.
Selon le récit rapporté dans le documentaire, trois appareils
non identifiés auraient approché la base militaire. L’un d’eux
aurait ensuite atterri sur une piste. Un être non humain aurait
quitté l’appareil et rencontré des membres de l’US Air Force ainsi
que des civils de la CIA. D’après Davis, Bush — informé de
l’incident en marge de ses fonctions — aurait tenté, après avoir
quitté la Maison-Blanche, d’obtenir des précisions supplémentaires.
Malgré son ancien statut de président des États-Unis et de
directeur de la CIA, l’accès lui aurait été refusé au motif qu’il «
n’avait plus besoin de savoir ».
Le film met ces déclarations en perspective avec ce que ses
auteurs appellent les « Legacy Programs », des programmes secrets
qui auraient traversé plusieurs administrations américaines. Ils
auraient été chargés, selon cette théorie, de récupérer et
d’étudier des engins d’origine inconnue, dans le but d’en
comprendre ou d’en reproduire les technologies.
Le documentaire donne également la parole à Hal Puthoff,
physicien spécialisé en physique quantique et ancien membre
d’AATIP. Celui-ci affirme que ces programmes « existent depuis
longtemps » et que des « corps de différents types biologiques »
auraient été récupérés au fil des décennies, notamment lors d’un
accident supposé survenu en Russie en 1988.
Aucune preuve matérielle n’est toutefois présentée dans le film
pour étayer ces affirmations. Les autorités américaines,
interrogées à plusieurs reprises sur l’existence de tels
programmes, n’ont jamais confirmé ces récits. The Age of
Disclosure s’inscrit ainsi dans une longue tradition de
documentaires qui mêlent témoignages, archives et spéculations,
alimentant un débat public où s’entremêlent fascination,
scepticisme et attentes de transparence.
Quelles que soient les intentions de ses auteurs, le film
relance une fois encore les discussions sur la gestion
gouvernementale des observations aériennes inexpliquées et sur les
limites du secret-défense à l’ère de l’information globale.
Légende - Photo Bwmoll3, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15533325
Une nouvelle observation présumée du célèbre monstre du Loch
Ness a été rapportée le 28 octobre dernier, aux alentours de 14 h
45. Le témoignage provient de Mishawn Mielke, une touriste texane
en visite au château d’Urquhart, l’un des points de vue les plus
prisés pour scruter les eaux sombres du loch.
Selon le Official Loch Ness Monster Sightings Register,
Mielke affirme avoir aperçu ce qui ressemblait à une tête émergeant
de la surface, semblant appartenir à une créature bien plus
imposante.
« J’ai d’abord vu quelque chose et je me suis dit : wow, ça
ressemble vraiment aux images que j’avais vues sur le site des
signalements », explique-t-elle. « Ce n’était pas une vague. On
aurait dit la tête de quelque chose qui sortait de l’eau. »
La témoin décrit également un mouvement de l’eau
particulièrement distinctif. « Ça a créé un motif dans l’eau que je
ne voyais nulle part ailleurs, un peu comme son propre sillage.
Puis c’est parti. De cette distance, je dirais que la perturbation
dans l’eau faisait au moins trois mètres de long. »
Comme souvent dans ce type d’observations, il demeure impossible
de déterminer avec certitude ce qui a été aperçu. Mielke a bien
pris une photographie, mais celle-ci, trop floue et capturée de
très loin, ne permet pas d’identifier clairement la forme observée
— une situation largement répandue dans les signalements liés à
Nessie.
Cette nouvelle observation s’ajoute à la longue liste de
témoignages qui alimentent, année après année, le mystère qui
entoure l’une des légendes les plus célèbres d’Écosse.
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