samedi 13 décembre 2025

Observation de deux objets triangulaires silencieux au-dessus de la Caroline du Nord

Observation de deux objets triangulaires silencieux au-dessus de la Caroline du Nord

Un témoignage récemment publié sur le site du National UFO Reporting Center (NUFORC) fait état de l’observation de deux objets aériens non identifiés dans la soirée du 6 décembre 2025, à Kannapolis, en Caroline du Nord (États-Unis).

Selon le déclarant, unique témoin de la scène, l’observation a eu lieu vers 21 h 50, heure locale, et a duré entre une et deux minutes. Installé dans un champ, loin de toute pollution lumineuse, il observait le ciel dans l’espoir d’apercevoir des météores liés à l’essaim des Géminides, alors en cours.

Après une vingtaine de minutes d’observation, le témoin rapporte avoir vu apparaître un premier objet de forme triangulaire, doté de lumières vertes à chacun de ses trois angles. L’objet se déplaçait lentement du sud-est vers le nord-ouest, directement au-dessus de sa position, tout en effectuant une rotation progressive. Il aurait été visible pendant environ trente secondes.

Peu après, un second objet de forme similaire, cette fois équipé de lumières rouges aux coins, aurait suivi le premier à une distance estimée à environ un mile. Contrairement au premier, ce second objet ne semblait pas tourner sur lui-même. Le témoin précise que les deux objets semblaient solides, car ils auraient momentanément occulté les étoiles lors de leur passage.

Habitué au trafic aérien en raison de la proximité de l’aéroport international de Charlotte-Douglas, le déclarant affirme que ces objets ne correspondaient pas à des avions conventionnels. Il souligne leur déplacement particulièrement lent et leur silence total, des caractéristiques qu’il juge incompatibles avec les appareils qu’il observe habituellement dans la région.

Le témoin indique enfin qu’il lui est difficile d’estimer la taille ou l’altitude de ces objets, la clarté du ciel cette nuit-là ne lui ayant pas fourni de point de comparaison précis. Aucune explication officielle n’a, à ce stade, été associée à cette observation.

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Bbarnette, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=133130854
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mardi 9 décembre 2025

Operation Prato : le cas d'OVNI top secret le plus crédible du Brésil


Quand l’armée brésilienne observe… et enquête

À la fin des années 1970, dans l’État du Pará, au nord-est du Brésil, la petite île de Colares a été le théâtre d’événements hors du commun — nuits de terreur, témoignages hallucinants, blessures mystérieuses infligées selon les habitants par des lueurs célestes… Face à la panique, les autorités ont fait appel à l’armée. C’est ainsi qu’a été lancée Operação Prato (Opération Prato), la première opération menée par l’armée de l’air brésilienne (Força Aérea Brasileira, FAB) contre des phénomènes aériens non identifiés.

Entre octobre et décembre 1977 (et, selon certains rapports, jusqu’en 1978), les militaires dépêchés sur place ont documenté des phénomènes troublants : des centaines de témoignages de civils, des centaines de photographies, des heures de film Super-8 et Super-16, des croquis, des cartes, des rapports détaillés.

Le récit des habitants : lumières, blessures et peur

Les habitants de Colares, terrorisés, avaient eux-mêmes inventé un nom pour ces mystérieuses lumières : « Chupa‑Chupa » — littéralement « sucer-sucer ». Selon leurs récits, les objets volants infiltraient le ciel la nuit, tiraient des rayons lumineux qui brûlaient la peau, provoquaient des plaies, des saignements, des sensations de faiblesse, certains rapportant même un phénomène de « succion » de sang ou d’énergie.

Ce climat de panique poussa la population à organiser des veillées nocturnes, allumer des feux, tirer des feux d’artifice — tentatives désespérées pour repousser ces « envahisseurs lumineux ».

Dans ce contexte, l’intervention de l’armée ne visait plus à calmer des superstitions : plusieurs récits étaient crédibles, convergents, persistants — au point que les autorités locales considéraient la menace comme réelle.

Une enquête officielle… puis la clôture soudaine des investigations

Sous le commandement du capitaine Uyrangê Hollanda Lima, l’opération militaire s’est poursuivie pendant plusieurs mois. L’équipe a collecté des témoignages, pris des photos, réalisé des films. Certains soldats ont déclaré avoir eux-mêmes observé des objets volants non identifiés — souvent décrits comme des « assiettes », disques, cylindres ou d’autres formes inhabituelles, se déplaçant silencieusement, parfois à basse altitude.

Pourtant, en dépit de cette abondance de preuves, l’opération a été officiellement close, les rapports classés, et les autorités ont conclu à… « aucun phénomène inhabituel » — un revirement qui a profondément déconcerté les ufologues et nombre de témoins.

Mais des documents furent finalement « déclassifiés » — ou fuités — dans les années 2000, permettant à des chercheurs et amateurs d’ufologie d’accéder à des photographies, croquis, rapports, et à des dizaines voire centaines de récits corroborés.

Pourquoi cette affaire reste l’un des cas d’OVNI les plus crédibles

  • L’implication officielle d’un État — l’armée — dans l’enquête, avec des moyens techniques, du personnel, des protocoles documentés. L’opération Prato ne relève pas d’un témoignage isolé ou d’un amateur d’OVNI, mais d’une investigation d’État.

  • Un corpus de témoignages consistant : plusieurs centaines de récits, de victimes présumées, d’observateurs civils et militaires, de différentes localités, rapportant des phénomènes similaires.

  • Une documentation abondante — photos, films, cartes, croquis, rapports — aujourd’hui partiellement accessibles, parfois examinée par des ufologues indépendants.

  • Le caractère collectif et répétitif des événements : il ne s’agit pas d’un cas unique mais d’une « vague » qui a touché plusieurs villages, et persisté dans le temps.

De l’avis de nombreux chercheurs en ufologie, cette combinaison — documentation + officialité + témoignages multiples — en fait un « cas OVNI » parmi les plus solides jamais enregistrés.

La vidéo de Sylart : relance du débat et intérêt renouvelé

La vidéo « Operation Prato : le cas d’OVNI top secret le plus crédible du Brésil » réalisée par le créateur Sylart s’inscrit dans une tradition de remise en lumière des affaires anciennes d’ufologie, mais avec l’atout des archives déclassifiées — photos, documents, témoignages — désormais accessibles au public.

Elle offre un cadre narratif immersif : entre récits d’habitants, interviews, extraits d’archives, reconstitutions, le spectateur est invité à (re)découvrir l’affaire, à mesurer l’ampleur de ce qu’il s’est passé, à juger par lui-même de la crédibilité du phénomène.

Mais au-delà du spectaculaire, cette vidéo relance des questions toujours d’actualité : Pourquoi, malgré les preuves, l’enquête officielle a-t-elle été bouclée sans conclusion publique ? Que sont devenus les milliers de documents collectés ? Que penser aujourd’hui de la possibilité d’un contact — ou d’une présence — non expliquée qui aurait affecté des populations entières ?

Enjeux et piste d’investigation : entre scepticisme et fascination

L’affaire Opération Prato pose un dilemme majeur : accepter qu’un phénomène « non conventionnel » — peut-être extraterrestre — ait pu toucher des êtres humains, ou considérer qu’il s’agissait d’un malentendu collectif, d’une sorte de panique / hystérie de masse, voire d’un canular entretenu.

Certains chercheurs militent pour une réouverture complète du dossier, la publication de tous les rapports, témoignages et supports visuels, afin d’en permettre l’analyse scientifique — photos, films, objets, blessures médicalement documentées… Dans un contexte où l’ufologie peine souvent à être prise au sérieux, l’Opération Prato reste une exception troublante.

Conclusion

L’affaire de l’Opération Prato — ravivée par la vidéo de Sylart — est bien plus qu’une simple histoire d’OVNI. C’est un dossier d’État mêlant peur, souffrance, enquête militaire, secret, doute et intrigue. Pour beaucoup, c’est peut-être le cas le plus crédible d’un contact possible avec l’inexpliqué. Pour d’autres, un témoignage poignant d’une époque troublée, d’une ignorance des phénomènes psychiques ou atmosphériques.

Aujourd’hui, alors que les archives sont en partie accessibles, il revient à la communauté scientifique, aux journalistes, aux historiens — et à chacun de nous — de décider si l’Opération Prato est un mystère prêt à être élucidé, ou un fantôme du passé à contempler avec prudence.


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dimanche 7 décembre 2025

Saint CHARBEL : le reportage sur le moine aux 30 000 miracles !


Qui est Saint Charbel

  • Saint Charbel est né en 1828 dans un village montagneux au Liban, dans une famille pauvre. Très tôt, il ressent un appel à la vie monastique et rejoint l’ordre maronite.

  • Il prend le nom de Charbel et, après plusieurs années au monastère, choisit volontairement la vie d’ermite. Il vivra dans le silence, la prière, le jeûne, le travail manuel et l’adoration — une existence d’abandon total à Dieu.Il meurt le 24 décembre 1898.

Les phénomènes extraordinaires après sa mort

  • Rapidement après sa mort, des phénomènes remarquables sont observés autour de sa tombe : l’un des plus marquants est l’incorruptibilité de son corps — à plusieurs exhumations, le corps reste intact, avec un liquide mystérieux (huile, sang, sueur) visible.

  • Ce liquide, perçu comme signe surnaturel, est souvent qualifié d’« huile de Saint-Charbel » et attire de très nombreux pèlerins.

Les miracles attribués à son intercession

  • Depuis sa mort, plus de 30 000 miracles lui sont attribués — guérisons physiques, libérations spirituelles, conversions, etc. Ces miracles concernent des personnes de toutes confessions et de nombreuses nationalités.

  • La vidéo met en lumière la dimension universelle de sa réputation : de simples croyants, des malades incurables, des non-chrétiens — tous cherchent son intercession, et des témoignages abondent.

Impact spirituel et postérité

  • Saint Charbel est devenu un symbole de foi, de silence contemplatif et de spiritualité humble pour des générations de croyants, notamment dans le monde maronite et plus largement chrétien, mais aussi parmi des personnes d’autres confessions.

  • Son monastère au Liban reste un lieu de pèlerinage très fréquenté, et son culte s’est étendu bien au-delà du Liban.

  • À travers cette vidéo, l’auteur invite à contempler « la puissance de Dieu dans le silence » — un appel à la foi, à la prière, à l’espérance, inspiré par une vie de renoncement et de service. 


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vendredi 5 décembre 2025

Une chanteuse britannique affirme avoir aperçu le fantôme de Marilyn Monroe

Une chanteuse britannique affirme avoir aperçu le fantôme de Marilyn Monroe

L’artiste britannique Brocarde, connue autant pour sa carrière musicale que pour ses activités de chasseuse de fantômes, a récemment traversé l’Atlantique pour mener une enquête singulière à Hollywood. Son objectif : retrouver la trace de l’esprit de Marilyn Monroe, dont la présence hanterait encore le Hollywood Roosevelt Hotel, établissement où l’actrice vécut deux ans dans un bungalow au bord de la piscine.

Brocarde a séjourné dans la suite Marilyn Monroe, la chambre même qu’aurait occupée la star. Pourtant, selon son témoignage, aucune manifestation paranormale ne s’y serait produite. C’est finalement au bord de la piscine que la chanteuse affirme avoir vécu une expérience troublante : elle dit avoir aperçu « une silhouette lumineuse, reconnaissable entre toutes, flottant comme si elle profitait de l’atmosphère, comme autrefois ».

La chanteuse rapporte également avoir entendu, à l’intérieur de l’hôtel, des voix qu’elle attribue à d’autres esprits évoquant la possibilité d’une apparition de Marilyn Monroe. Selon elle, cette conjonction ferait de son observation un phénomène rare, voire exceptionnel.

Aucun enregistrement, photographie ou élément matériel n’a cependant été fourni pour étayer ces affirmations. L’absence de preuves tangibles ne permet pas de vérifier les dires de Brocarde, laissant ces déclarations dans le domaine du témoignage personnel.

Le Hollywood Roosevelt Hotel, réputé pour ses récits de hantise, continue ainsi d’alimenter les spéculations et les légendes qui entourent la mémoire de Marilyn Monroe, plus de soixante ans après sa disparition.

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TagsFantôme
Un phénomène aérien non identifié observé à Queenborough

Un phénomène aérien non identifié observé à Queenborough

Le 26 novembre 2025, aux premières heures du jour, un habitant de Queenborough, en Angleterre, a rapporté au National UFO Reporting Center (NUFORC) avoir observé un phénomène aérien non identifié. Le témoignage, sobre mais troublant, décrit l’apparition brève—trois secondes à peine—d’un objet triangulaire noir dont chaque angle semblait marqué par une lumière diffuse, presque brumeuse.

Selon le témoin, l’observation s’est produite alors qu’il se trouvait dans son jardin avec son épouse. Celle-ci aurait été la première à remarquer la présence de l’objet, situé directement au-dessus d’eux, à une altitude estimée à environ 200 mètres. La forme était clairement perceptible : un triangle parfait d’environ vingt mètres de côté, silencieux, doté de lumières opaques formant une sorte de halo. L’ensemble semblait se découper sur le ciel du petit matin.

L’engin se déplaçait très rapidement, si bien qu’il n’est resté visible qu’un instant. Fait troublant, le témoin rapporte qu’à peine une seconde après la disparition de l’objet, une « étoile filante » traversa le ciel. Il affirme n’avoir jamais rien vu de semblable et se dit profondément marqué par cet épisode.

Aucun enregistrement ni photographie n’a pu être réalisé dans le court laps de temps où l’objet a été visible. Le témoin exprime sa frustration de ne pouvoir documenter son observation, qu’il qualifie d’« inexplicable ».

Si de nombreux témoignages de ce type peuvent trouver des explications rationnelles — phénomènes atmosphériques, drones ou illusions optiques — celui de Queenborough demeure, pour l’heure, sans interprétation évidente. Sa brièveté, la netteté de la forme décrite et la présence de deux observateurs lui confèrent néanmoins un certain intérêt dans l’étude des phénomènes aériens non identifiés.

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Doyle of London, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=92809370
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samedi 29 novembre 2025

Un documentaire relance les débats sur un prétendu contact extraterrestre à Holloman en 1964

Un documentaire relance les débats sur un prétendu contact extraterrestre à Holloman en 1964

Un nouveau documentaire, The Age of Disclosure, ravive l’une des histoires les plus controversées de l’ufologie américaine. Le film s’appuie notamment sur le témoignage du Dr Eric Davis, astrophysicien et ancien consultant scientifique du programme AATIP (Advanced Aerospace Threat Identification Program) du Pentagone. Davis affirme qu’en 2003, l’ancien président George H. W. Bush lui aurait confié des informations inédites sur un incident qui se serait produit près de quarante ans plus tôt, en 1964, sur la base aérienne de Holloman, au Nouveau-Mexique.

Selon le récit rapporté dans le documentaire, trois appareils non identifiés auraient approché la base militaire. L’un d’eux aurait ensuite atterri sur une piste. Un être non humain aurait quitté l’appareil et rencontré des membres de l’US Air Force ainsi que des civils de la CIA. D’après Davis, Bush — informé de l’incident en marge de ses fonctions — aurait tenté, après avoir quitté la Maison-Blanche, d’obtenir des précisions supplémentaires. Malgré son ancien statut de président des États-Unis et de directeur de la CIA, l’accès lui aurait été refusé au motif qu’il « n’avait plus besoin de savoir ».

Le film met ces déclarations en perspective avec ce que ses auteurs appellent les « Legacy Programs », des programmes secrets qui auraient traversé plusieurs administrations américaines. Ils auraient été chargés, selon cette théorie, de récupérer et d’étudier des engins d’origine inconnue, dans le but d’en comprendre ou d’en reproduire les technologies.

Le documentaire donne également la parole à Hal Puthoff, physicien spécialisé en physique quantique et ancien membre d’AATIP. Celui-ci affirme que ces programmes « existent depuis longtemps » et que des « corps de différents types biologiques » auraient été récupérés au fil des décennies, notamment lors d’un accident supposé survenu en Russie en 1988.

Aucune preuve matérielle n’est toutefois présentée dans le film pour étayer ces affirmations. Les autorités américaines, interrogées à plusieurs reprises sur l’existence de tels programmes, n’ont jamais confirmé ces récits. The Age of Disclosure s’inscrit ainsi dans une longue tradition de documentaires qui mêlent témoignages, archives et spéculations, alimentant un débat public où s’entremêlent fascination, scepticisme et attentes de transparence.

Quelles que soient les intentions de ses auteurs, le film relance une fois encore les discussions sur la gestion gouvernementale des observations aériennes inexpliquées et sur les limites du secret-défense à l’ère de l’information globale.

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Bwmoll3, Public domain, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15533325
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lundi 17 novembre 2025

Nouvelle observation intrigante du monstre du Loch Ness

Nouvelle observation intrigante du monstre du Loch Ness

Une nouvelle observation présumée du célèbre monstre du Loch Ness a été rapportée le 28 octobre dernier, aux alentours de 14 h 45. Le témoignage provient de Mishawn Mielke, une touriste texane en visite au château d’Urquhart, l’un des points de vue les plus prisés pour scruter les eaux sombres du loch.

Selon le Official Loch Ness Monster Sightings Register, Mielke affirme avoir aperçu ce qui ressemblait à une tête émergeant de la surface, semblant appartenir à une créature bien plus imposante.

« J’ai d’abord vu quelque chose et je me suis dit : wow, ça ressemble vraiment aux images que j’avais vues sur le site des signalements », explique-t-elle. « Ce n’était pas une vague. On aurait dit la tête de quelque chose qui sortait de l’eau. »

La témoin décrit également un mouvement de l’eau particulièrement distinctif. « Ça a créé un motif dans l’eau que je ne voyais nulle part ailleurs, un peu comme son propre sillage. Puis c’est parti. De cette distance, je dirais que la perturbation dans l’eau faisait au moins trois mètres de long. »

Comme souvent dans ce type d’observations, il demeure impossible de déterminer avec certitude ce qui a été aperçu. Mielke a bien pris une photographie, mais celle-ci, trop floue et capturée de très loin, ne permet pas d’identifier clairement la forme observée — une situation largement répandue dans les signalements liés à Nessie.

Cette nouvelle observation s’ajoute à la longue liste de témoignages qui alimentent, année après année, le mystère qui entoure l’une des légendes les plus célèbres d’Écosse.

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Gemini, CC0, https://google.gemini.com/
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TagsMonstre du Loch Ness, Cryptozoologie